Reguler La Masse Monetaire

Les politiques macroéconomiques autonomes Le fonctionnement du marché ne permettant pas toujours d'aboutir à une situation d'équilibre satisfaisante, l'intervention de l'Etat devient alors nécessaire pour réguler l'économie et ce dernier élabore une politique économique. I. Qu'est-ce que la politique économique ? Cette notion est apparue dans les années 1930 suite à une grande dépression : les gouvernements décident d'une intervention publique pour faire face aux grands problèmes économiques

Etat, objectif, instrument • Les principaux objectifs 1. Baisse du chômage, augmentation de l’emploi 2. Stabilité des prix 3. Croissance économique Ces objectifs (choix politiques) peuvent varier en fonction de l’époque. L’Etat a toujours régulé la vie économique pour le bien être commun. Pour les réaliser, les pouvoirs publics peuvent, soit modifier certaines autres variables éco (taux de réescompte de la BC), soit apporter des changements à l’organisation éco et sociale. Les objectifs

LES FONCTIONS DE LA MONNAIE A. La monnaie comme intermédiaire dans l’échange (doc 1) La monnaie est un instrument qui permet à l’Etat de diriger et relancer la consommation. ⇒Cf. 1999, traité de Maastricht cf. € gérée par la BCE (politique monétaire) ⇒Cf. 4 règles « pacte de stabilité et croissance » (dont ne pas dépasser le déficit budgétaire de 3.75% du PIE 1) Pourquoi, lors d’un troc doit-il y avoir une « double coïncidence » entre les besoins respectifs ? Le troc doit avoir une double

15ème siècle : apparition du billet à ordre. - la monnaie scripturale Il n’y a pas de création monétaire sans contreparties. Il y a 5 familles de théories : - les conceptions classiques : loi de Gresham, 1870 : Walras – Pareto => la monnaie est un voile, on n’a pas un comportement d’épargne. => la monnaie est une marchandise comme une autre. Théorie quantitative : M.V=P.Q M : masse monétaire V : vitesse de circulation de la monnaie P : prix Q : quantités échangées Une équation est

la valeur de son épargne ou l’augmenter? II - LES FORMES DE LA MONNAIE  DOC II Ses avantages ▪ Durable ▪ Divisible ▪ De faible encombrement La monnaie papier Appelée aussi monnaie fiduciaire : elle représente 3% de la masse monétaire totale. - La monnaie métallique devient vite insuffisante pour répondre aux besoins de l ’économie - c’est l’ensemble des billets émis par la Banque de France et détenus par les agents économiques - depuis 1848, la BDF détient le

liquides (monétaires par exemple, tels que les montants dans M1)Insolvabilité d'une banque : Voir l'explication sur la page discussion http://monnaie.wikispaces.com/message/view/Lexique/12716279Liquidité : La liquidité d'un marché financier représente la capacité à acheter ou à vendre rapidement les actifs qui y sont cotés sans que cela ait d'effet majeur sur les prix. Plus un marché est liquide, plus il est aisé, rapide et peu coûteux d'y réaliser des transactions.Les masses monétaires sont classées

d’écritures avec des moyens de paiement scripturaux (diffèrent de monnaie scripturale) La monnaie à 3 fonctions : Economie chapitre 4 Les effets de la variation de la masse monétaire -La masse monétaire est la quantité de monnaie en circulation dans l’économie par les agents non-financiers -Le volume de la masse monétaire influe sur la consommation des agents économique et sur l’inflation qu’elle peut entraîner (plus le volume de monnaie est important plus la consommation et l’inflation augmentera)

La politique économique conjoncturelle, apparue suite à la crise des années 30, est souvent définie, dans une optique keynésienne, comme l'ensemble des interventions de politique économique visant à réguler le niveau de la demande globale et/ou l'offre globale ainsi que l'ajustement entre ces deux paramètres. Aujourd'hui, l'inefficacité d'une telle politique semble faire consensus, pourtant les économistes ne sont pas unanimes quand à l'analyse de cette pratique. De nos jours, les gouvernements préfèrent

économique: individu ou groupe représentant un centre de décision autonome Secteurs: entreprises non financières (majorité), assurances, institutions de crédit, ménages, administrations publiques, reste du monde Flux réels (travail + production) / Flux monétaires (rémunération, dépenses de consommation) RN: revenu national = DN: dépense nationale (sommes pour tous les ménages) = PN: production nationale DN = consommation + investissement --> PN = C + I Les déterminants de la consommation et de l'épargne

le spectre de l'inflation s'agite de nouveau avec un taux au 3è trimestre de 3.9%. Cette tendance inflationniste liée à la hausse des prix du pétrole et des produits alimentaires conjuguée à la crise financière des subprimes expose les autorités monétaires à des choix de politique économique contradictoires (lutte contre l'inflation ou relance de la croissance). Le retour de l'inflation est-il à craindre ? L'inflation est définie comme étant le résultat d'un déséquilibre sur le marché des biens et