Reine De Beauté

La beauté Qu'est ce que le beau ? Le terme beau vient du mot latin bellus qui veut dire " beau , gracieux , elegant ". La conception de la beauté est défini comme une caracteristique de l'ésthetique . Elle se manifeste par une forme , un aspect , un mouvement qui doit etre attirant et " agréable pour l'esprit " selon Kant . Le canon ésthétique à travers les siecles : La beauté physique est déterminée par des normes, qui doivent être respectées par les individus s’ils veulent être considérés

Les tresses de ses cheveux sombres n'étaient touchées d'aucun givre, ses bras blancs et son clair visage étaient lisses et sans défaut, et la lumière des étoiles brillait dans ses yeux, gris comme une nuit sans nuage; elle avait de plus un port de reine, la pensée et le savoir se révélaient dans son regard comme dans celui de quelqu'un qui a connu maintes choses qu'apportent les années. Au-dessus de son front, sa tête était couverte d'un bonnet de dentelle d'argent, entrelacée de petites gemmes d'un

m'amène à vos genoux. LA COMTESSE : Vous ne l'aimez plus ? LE COMTE : Je l'aime beaucoup ; mais trois ans d'union rendent l'hymen1 si respectable ! LA COMTESSE : Que vouliez-vous en elle ? LE COMTE, la caressant : Ce que je trouve en toi, ma beauté... LA COMTESSE : Mais dites donc. LE COMTE : ... Je ne sais : moins d'uniformité peut-être, plus de piquant dans les manières ; un je ne sais quoi, qui fait le charme ; quelquefois un refus, que sais-je ? Nos femmes croient tout accomplir en nous

vrai, répondit-elle, que ce n'est ni le mérite, ni la fidélité de madame de Valentinois, qui a fait naître la passion du roi, ni qui l'a conservée, et c'est aussi en quoi il n'est pas excusable ; car si cette femme avait eu de la jeunesse et de la beauté jointes à sa naissance, qu'elle eût eu le mérite de n'avoir jamais rien aimé, qu'elle eût aimé le roi avec une fidélité exacte, qu'elle l'eût aimé par rapport à sa seule personne, sans intérêt de grandeur, ni de fortune, et sans se servir de son pouvoir

façon d'un peu se respirer le coeur, Et d'un peu se goûter, au bord des lèvres, l'âme ! ROXANE Taisez-vous ! CYRANO Un baiser, c'est si noble, madame, Que la reine de France, au plus heureux des lords, En a laissé prendre un, la reine même ! ROXANE Alors ! CYRANO, s'exaltant. J'eus comme Buckingham des souffrances muettes, J'adore comme lui la reine que vous êtes, Comme lui je suis triste et fidèle... ROXANE Et tu es Beau comme lui ! CYRANO, à part, dégrisé. C'est vrai, je suis beau, j'oubliais ! ROXANE

concentre sur la relation des trois femmes : la marâtre, sa fille, et l’héroïne. Le conte dit que « La femme se mit à détester cordialement sa belle-fille et ne sut qu’inventer pour lui rendre la vie de plus en plus dure ». Elle est jalouse de la beauté de sa belle-fille parce que sa vraie fille est « laide et repoussante ». On retrouve ici la même jalousie tant de fois retracée dans les contes de fées dans la relation (belle) mère/fille lorsque la mère est dans un complexe oedipien non résolu.

quasi-totalité de sa production poétique depuis 1840. Œuvre majeure de Baudelaire, publiée le 23 juin 1857 et rééditée en 1861, Les Fleurs du mal sont l’une des œuvres les plus importantes de la poésie moderne, empreinte d’une nouvelle esthétique où la beauté et le sublime surgissent, grâce au langage poétique, de la réalité la plus triviale. L'œuvre exerça une influence considérable sur Paul Verlaine, Stéphane Mallarmé ou encore Arthur Rimbaud. Baudelaire travaille ici une forme poétique qui est déjà

dans l’entourage du cardinal de Richelieu. Sa mère, fille d’un médecin du roi. Son père, Marc Pioche de la Vergne, écuyer du roi, meurt d'une balle dans le torse alors qu’elle n’a que quinze ans. L’année suivante, elle devient dame d’honneur de la reine Anne d'Autriche et commence à acquérir une éducation littéraire avec Ménage qui lui enseigne l’italien et le latin. Ce dernier l’introduit alors dans les salons littéraires en vogue de Catherine de Rambouillet, de la Marquise du Plessis-Bellière et

dans Mr de Nemours surprise et l'admiration : "il fut tellement surpris par sa beauté" "de donner des marques d'admiration" ------> bien qu'on puisse penser qu'ils se sont déja vu ,Mr de N. ne peut s'empecher d'être subjugue par sa cavalière et de la complimenter . l'embarras : "Mme de Clèves qui paraissait un peu embarassée" --->ce dernier traduit une gêne envers le roi et la reine mais peut etre également révèle les sentiments qu'elle pourrait éprouver pour Mr

grandiose. « Le crépuscule encor jette un dernier rayon », Le dernier rayon de soleil indique la fin du jour et cède la place à la nuit qui s’impose. Enfin, l’auteur évoque « le char vaporeux de la reine des ombres monte, et blanchit déjà les bords de l’horizon. » Les métaphores « char vaporeux » et « reine des ombres » renvoient aux nuages et à la lune. Il y a un contraste entre la lumière du crépuscule et l’obscurité de la nuit. Dans le 4ème strophe, Lamartine évoque le thème de la religieux par