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lutte contre l’inflation, la politique monétaire est restrictive et les autorités monétaires augmentent les taux d’intérêt (le coût du crédit) afin de réduire le crédit distribué par les banques et éponger le surplus de liquidité. Dans un contexte de relance de l’activité économique, la politique monétair est accomodante (diminution des taux d’intérêt) ; - La politique monétaire doit aussi défendre la valeur de la monnaie nationale vis-à-vis de l’extérieur. Pour cela, les autorités monétaires

peut être à l'origine de fluctuations de l'activité et de l'emploi. Ainsi, pour les monétaristes, les politiques de relance monétaire ne doivent leur efficacité qu'à l'illusion monétaire. Dans la mesure où les monétaristes considèrent cette illusion comme passagère, les effets des politiques de relance ne peuvent être que transitoires. Pour les monétaristes, une politique de relance monétaire, en augmentant la quantité de monnaie, provoque de l'inflation. Dans la mesure où les salaires nominaux sont

l’économie qui est toujours sujet de controverse entre les économistes. Cette question de l’impot impacte directement la question des politiques budgétaires. Les politiques budgétaires utilisent l’expansion des dépenses publiques (politique de relance) ou au contraire, ou la contraction des dépenses publiques (politique de d’austérité ou de rigueur). On cherche ainsi à stabiliser l’économie en contrant le cycle économique, lorsque l’économie se trouve en surchauffe ou au contraire en récession

instruments des politiques conjoncturelles et leur orientation général (doc6) 1- Orientation générale - La politique conjoncturelle contracyclique : Ensemble des mesures qui visent à inverser une tendance actuelle. Exemple une politique de relance pour stimuler la demande et la croissance économique en période de récession. - La politique conjoncturelle procyclique : Ensemble des mesures qui cherchent à agir en cohérence avec la tendance actuelle. Exemple des mesures de diminution de la dette

production (capital et travail) et donc chômage minimum ; La stabilité des prix ; L’équilibre extérieur. Réalisés à l’aide de deux principaux instruments La politique budgétaire La politique monétaire La politique de relance et la politique de rigueur La politique de relance pour lutter contre le chômage Mesures de politique budgétaire : des dépenses et/ou recettes => de la demande ( de la production) => embauches => du chômage Mesures de politique monétaire : des taux d’intérêt directeurs de

dosage des prélèvements directs et indirects en terme d’impôt sur le revenu, impôt sur le bénéfice, niveau de pression fiscale… Il existe deux grands types de politique conjoncturelle : une politique de relance et une politique de rigueur. a) La politique de relance : La politique de relance, d’inspiration keynésienne, consiste à stimuler le taux de croissance et lutter contre le chômage au moyen du budget de l’Etat ou de l’augmentation de la masse monétaire. Une politique budgétaire expansionniste

conséquence une nouvelle augmentation de l’inflation (prix du pétrole x5). III) l’économie de l’endettement à l’économie des marchés financiers. A) la nouvelle donne économie Nous sommes au début des années 80, l’échec de la politique de relance de 81, cet échec va amener les pouvoirs publics à mettre en place une politique de rigueur et surtout une politique monétaire restrictive. Au niveau monétaire, va être mis en place la « désinflation compétitive ». Nous sommes dans une politique

croissance et de la productivité. Le gouvernement Barre (1976) lutte activement contre l’inflation. Le résultat en est une hausse du chômage mais une baisse du déficit publique. En 1981, François Mitterrand mène une politique de relance vigoureuse de l’activité, mais cette relance isolée alors que tous les pays menaient une politique restrictive l’oblige à un retour à la rigueur. Le retour de la croissance est tardif en Europe, enclenché par le contre choc pétrolier de 1986. Mais l’écart de chômage avec

Effectivement, il n'y a aucun organisme mondial de régulation de l'économie, et les institutions nationales sont impuissantes sur le marché économique. Cependant, il est tout de même nécessaire que chaque État intervienne dans son économie interne, afin de relancer le processus de croissance. La sphère réelle et la sphère financière doivent être beaucoup plus proche, et ce rôle appartient aux institutions de l’État. L’Autorité des Marchés Financiers, qui fait parti des autorités administratives indépendantes

budgétaire : agit sur la vie économique par l’intermédiaire de l’état. • Politique de relance : o variante politique budgétaire. o Stimule la production et réduit le chômage o Utilise le déficit budgétaire, encourage l’investissement. • Politique restrictive : o pas égale P relance o met en frein à la surchauffe des prix et consommation, en utilisant