Relances Clients

deux premières années). Le problème est que ce déficit ne cessera plus jamais. L’Etat continue d’avoir des charges en croissance mais pas assez de ressources pour couvrir ces dettes croissantes. Aujourd’hui, l’Etat retire trop tôt sa politique de relance (ex : prime à la casse : soutien à l’industrie automobile fin en 2010). Ce passage de l’interventionnisme à la régulation a été considéré comme normal, le déficit est accepté. Guerre froide : course aux armements donc guerre économique entre Etats

les investissements influencent la croissance économique, vous préciserez le rôle qu’y joue l’innovation Depuis le début de la crise financier qui commence à toucher l’économie réelle, les gouvernements étatiques ont multiplié les plans de relance, le plan Paulson de 700  milliards de dollars pour les Etats-Unis, un fond stratégique d’investissement français de 20 milliards d’euros afin de retrouver la confiance, stabiliser les banques et que les entreprises relancent leurs investissements

d’euros ,1 946 000 000 000 d’euros la dette publique est égale à 83 % du PIB et 45,4 milliards d’euros de charge en 2011 le déficit des comptes public est de 7,7 % du PIB en 2011. La demande s’effondre en 2008. Les Etats ont pratiqué une politique de relance de l’économie afin d’amortir la dépression, en augmentant le montant des dépenses publique ce qui a creusé le déficit de l’Etat. Le prélèvement des impôts a amorti la dépression. En mai 2009 il y a un soutien au niveau du secteur financier. Les crédits

jugeant que « la France ne peut s’engager seule dans cette voie, ce serait désastreux pour notre compétitivité » (le journal la Dépêche 10/05/10). A quel point la réduction des dépenses publiques peut permettre de reduire la dette publique et ainsi relancer l’activité économique? Les dépenses publiques désignent l’ensemble des dépenses réalisées par les administrations publiques. Leur financement est assuré par les recettes publiques (prévèlements obligatoires) et par le déficit public. Le déficit

EN QUOI LES STRATEGIES DES ETATS POUR GERER LA CRISE ACTUELLE OBEISSENT A DES LOGIQUES A LA FOIS LIBERALE ET KEYNESIENNE ? 1 – LOGIQUES KEYNESIENNES * RELANCE PAR LA DEMANDE ( CONSO / INVEST ) En aidant les salariés, on aide les entreprises à trouver des débouchés pour écouler leur production. ↗Salaires , ↗ Conso ↗Demande ↗ Production et donc ↗ Investissement Dans cette logiques keynésienne la demande est le moteur qui détermine l’offre ( Contrairement au courant classique ) Ex :

la non anticipation des ménages, qui pensaient que la FED changerait ses plans, puis l’inflation diminua. La cause : La FED est devenue crédible. Cependant, les hypothèses sur lesquelles se fondaient la France pour mener à bien sa politique de relance étaient basées sur le fait que la FED ne serait pas prise au sérieux par les agents économiques américains. Ainsi, la France anticipait une revalorisation de sa monnaie par rapport au Dollars, car la situation actuelle aux USA (forte inflation et

réguler le niveau d’activité et particulièrement pour relancer la production lors des phases de moindres croissances. Cependant, avec l’échec des premières réponses à la crise de 1974, les limites de la politique budgétaires ont été soulignées par les théoriciens néoclassiques. Se sont les effets néfastes des déficits publics qui ont été mise en évidence. C’est pourquoi, la politique budgétaire a aujourd’hui renversé ses objectifs, plutôt que de relancer l’activité par les dépenses, c’est au contraire

Cet article intitulé « Relance : l’Europe n’est pas à la hauteur », extrait du mensuel Al-ternatives Economiques n°279 d’Avril 2009 a été rédigé par Guillaume Duval, rédacteur en chef adjoint de ce même journal. Il est notamment l’auteur de Le libéralisme n’a pas d’avenir. L’article fait référence au fait que la relance(1) effectuée par l’Europe est suffisante par rapports à ce que les Etats Unis ont déployés comme moyen. On justifie cela par le fait que le phénomène de mondialisation, est accéléré

monétaire adaptée (diminution des taux d’intérêt). Ce soutient a un effet multiplicateur : les investissements additionnels liés aux dépenses étatiques produisent un effet démultiplié sur le niveau de la production et de l’emploi. Cette politique de relance implique la pratique d’un déficit budgétaire qui sera réduit { terme par l’augmentation des recettes fiscales générée par le retour { la croissance. Il s’agit de déficits conjoncturels pour faire face aux crises, en évitant une aggravation du poids

: l'Etat, via une politique budgétaire expansionniste, peut dans certains cas alimenter le phénomène inflationniste (exemple : relance budgétaire de 1981) puisque sa demande s'ajoute à celle émanant du secteur privé Cette relation a été mise en évidence par Phillips qui, étudiant la relation inflation/chômage sur une longue période montre qu'une politique de relance de la part de l'Etat se traduit par une accélération de la hausse des prix. L'inflation par l'offre : une inflation par les