Relation Maitre Valet Les Bonnes

Dans les comédies antiques, le valet est un esclave ou un parasite. Plus tard, inspiré de la comédie italienne, il va devenir un être rusé, espiègle, préoccupé de nourriture, boissons, argent. Il occupe donc plusieurs rôles : · rôle comique par sa naïveté, ou sa grossièreté, par son habit, son comportement – (goinfre, ivrogne, paillard…). Sganarelle · rôle de faire-valoir – il valorise son maître plus fin, plus intelligent – Sganarelle chez Dom Juan· rôle d’auxiliaire

Les Bonnes de Jean Genet              Biographie             Jean Genet est né en 1910 à Paris. Il est élevé par l’assistance publique. Il commence à écrire en prison. Sartre et Cocteau le poussent à publier ses œuvres et ils deviennent ses mécènes. 1947 : il écrit les Bonnes Il a un côté provocateur, il est souvent censuré à cause des thèmes qu’il aborde. Les codes sont cassés : il n’y a ni acte ni scène.   Problématique Comment à travers cette violence, l’ambiguïté des relations entre maître/valet

évoque le plaisir des yeux. Pour lui l'amour est comme une comédie ou l'utilisation de la stratégie est impérative. Don Juan est éloquant Il utilise le langage soutenu de l'aristocratie, cela se voit par la richesse du lexique employé : il se révele maitre du langage. Conclusion Le theme de l'inconstance est tres a la mode au XVIIe siecle ( thopos ). Rien n'est nouveau pour les personnes a l'époque. Moliere veut nous montrer que Don Juan domine par son langage : c'est un retheur ; mais aussi qu'il

 écrite  en  1725  et  appartient  à  la  deuxième   catégorie  des  «  comédies  sociales  »  car  des  questions  politiques  et  morales  y  sont  abordées.     Ainsi,  deux  couples  «  maître/valet  »  d’Athènes  se  retrouvent  après  un  naufrage  sur  une  île  :  Iphicrate   et  Arlequin,  Euphrosine  et  Cléanthis.  Appelée  «  l’île  des  esclaves  »,  cette  île  appartient  au

TOINETTE. - Non ; je suis sûre qu’elle ne le fera pas. ARGAN. - Je l’y forcerai bien. TOINETTE. - Elle ne le fera pas, vous dis-je. ARGAN. - Elle le fera, ou je la mettrai dans un couvent. TOINETTE - Vous ? ARGAN. - Moi. TOINETTE. - Bon. ARGAN. - Comment, bon ? TOINETTE. - Vous ne la mettrez point dans un couvent. ARGAN. - Je ne la mettrai point dans un couvent ? TOINETTE. - Non. ARGAN. - Non ? TOINETTE. - Non. ARGAN. - Ouais ! Voici qui est plaisant ! Je ne mettrai pas ma fille dans un

elle lui donne une bague et lui ordonne de la garder. Il repart déçu mais arrivé à l’hotellerie, 1000 ducats lui sont livrés de la part de la marquise. Majuelo lui conseille de partir pour Madrid, faire fortune en épousant une femme riche avec un valet qu’il lui donne (Ambroise de Lamela) et deux mules que GB aurait acheté. Il suit son conseil et part pour Madrid. Chapitre 16 : Qui fait voir qu’on ne doit pas trop compter sur la prospérité Ils arrivent dans une hôtellerie à Valladolid. Une jeune

monarchie absolue ne leur convenait pas du tout car elle ne permettait pas tout cela. Les écrivains au XVIIIème siècle ont beaucoup critiqués les inégalités des classes sociales. Il y avait des rapports de force entre les différentes classes, cette relation est dénoncée par Beaumarchais dans sa pièce. Le Comte domine La Comtesse, celui-ci place la femme dans une position d'infériorité par rapport à l'homme. Cela se voit à maintes et maintes reprises, tout d'abord dans la scène se déroulant dans la

Cléante, aimée d’Harpagon. Elle était jouée par Mlle de Brie (1630-1706). Anselme, père de Valère et de Mariane Frosine, femme d’intrigue. Elle était jouée par Madeleine Béjart (1618-1672). Maître Simon, courtier. Maître Jacques, cuisinier et cocher d’Harpagon était joué par André Hubert ( ?-1700) La Flèche, valet de Cléante était joué par Louis Béjart (1630-1678). Dame Claude, servante d’Harpagon. Brindavoine et La Merluche, laquais d’Harpagon. Un Commissaire et son Clerc.     ACTE PREMIER.

Commentaire Littéraire L’île des esclaves L’île des esclaves, est une pièce de théâtre, écrite par Marivaux, auteur du XVIIIème siècle. Cette comédie dénonce la barbarie des rapports entre maître-valet similaire aux relations maîtres et esclaves de l’Antiquité Grecques. Le registre comique est largement dominant dans cette pièce, cela vise à critiquer les hommes en mettant en évidence leur défaut pour les corriger, pour faire passer un message, cependant dans l’extrait étudié, est mis en avant

une connotation un peu trouble à cause de l'ardeur au plaisir dont Beaumarchais a doté le page.         L'équivoque s'introduit aussi dans la pièce par la situation oedipienne que constituent aussi bien l'amour de Marceline pour Figaro que les relations de désir réciproques entre la marraine (la comtesse Almaviva) et son filleup- (Chérubin) qui se concrétiseront la nuit suivant la "folle journée" comme on l'apprend par La Mère coupable (II.1). Equivoque également est la scène où Chérubin déguisé