Relation Mere Fils

choquant pour la bourgeoisie de l’époque. On retrouve tous ces aspects dans le roman Pierre et Jean ainsi que les thèmes fétiches  de Maupassant qui sont : le Havre, le port, la mer et la famille. Ce roman raconte l’histoire d’une famille, dont un fils, Pierre, apprend par hasard l’illégitimité de son frère, Jean, et cette révélation le pousse à quitter le milieu familial. Au cours de la lecture du roman, le lecteur est ému par le contraste entre la jalousie envahissante de Pierre, l’aîné, et l’innocence

entre deux flambées libidinales, celle de la petite enfance et celle de l’adolescence. Ce corps, lieu d’ancrage des pulsions, entre en latence si peut s’opérer une désexualisation des relations d’objet et des processus de pensée par le travail du refoulement et du déplacement pulsionnel, la transformation des relations avec les parents dans lesquelles primeraient la quête identificatoire et la tendresse alors que s’apaiserait l’œdipe. Nous rencontrons dans notre travail de plus en plus d’enfants excités

de tout autre chose qu’une relation « normale » entre frères ! L’héritage de jean va faire l’objet de l’enquête de Pierre qui va découvrir que Jean n’a aucune ressemblance avec son père (monsieur Rolland) et qu ‘il est en fait le fils de celui qui lui a légué ses biens : un maréchal dont le portrait est accroché chez monsieur et madame Rolland ! Nous pouvons donc nous interroger sur la raison pour laquelle Jean est le fils préféré de tous alors qu’il s’agit du fils illégitime ? Par la suite

qu’au niveau de la seconde partie il aborde le thème de l’écriture. II)Les mots A) Première partie : Lire Jean Paul Sartre ne connut pas très bien son père car ce dernier mourut alors que le jeune homme n’avait que deux ans. A la mort de son mari, la mère du petit Jean Paul, Anne-Marie Schweitzer emménagea chez ses parentsCharles Schweitzer et Louise Schweitzer. Jean Paul passa alors son enfance avec ses grands-parents. Le grand-père Charles, fut celui qui influença de façon positive l’éducation du

un aveugle, aux noms révélateurs des relations qui les unissent : Hamm peut être lu comme une abréviation de hammer, « marteau » en anglais ; Clov serait une déformation du mot clou ; Nell, une approximation de nail, « clou » en anglais, et Nagg une abréviation de Nagel, « clou » en allemand. L'onomastique des personnages suggèrerait ainsi un personnage central, associé au marteau qui tape et enfonce les clous que sont les autres personnages. I] Des relations qui structurent la pièce Les similitudes

I. Fin du mythe, du jeu des dieux 1. mère/fils Jocaste revient en tant que spectre purifiée de l’inceste par la mort : « Ta mère est morte, pendue Œdipe, je suis ta mère. ». Elle revient pour soutenir Œdipe dans le besoin d’être guidé, soutenu. On comprend que l’épouse est morte et laisse la place à la mère pour l’éternité comme elle aurait toujours dû l’être. Les surnoms qu’elle lui donne ont changé, ils n’ont plus aucune ambiguïté : « mon enfant, mon petit enfant ». Œdipe peut enfin laisser

des mauvais traitements qu’il subit de la part de sa mère. Son oncle Joseph lui fait connaitre un monde diffèrent celui des ouvriers dans lequel il est heureux. Au collège (son père y est surveillant) l’enfant se sent en prison. A l’inverse pendant les vacances,il se sent libre, il profite des plaisirs simple. Une nouvelle vie (chap 9 à 16) Son père a été nomme prof a Saint-Etienne la famille quitte le Puy. En l'absence de sa mère et en compagnie d’autre famille Jacques découvre des

la mort d'un ami. Celui-ci ne donne son héritage qu'à un seul des deux fils de cette famille. Nous verrons tout d'abord le mal être de Pierre, avant d'étudier ensuite son départ bénéfique. I)Le mal être de Pierre a)Tension avec la mère Pierre en veut à sa mère à laquelle il n'a jamais pardonné. L'emploi de l'intensif au vers 12 « je désire tant voir ta chambrette » suggère que Mme Roland souhaite se rapprocher de son fils et se faire pardonner auprès de lui. Mais Pierre refuse son aide et la

celui-ci (le fils, cité par Pierre dans son intro) s’oppose tant bien que mal à son père, lui reprochant les plaisirs auxquels il s’adonne ; pourtant, cela n’arrête pas ce vil manipulateur qui ne tient compte d’aucunes valeurs morales et se défend de sa conduite. I) L’opposition père-fils 1) Fabrice, un fils distant et idéaliste -Fabrice vouvoie son père « vous » (l.23-56) et garde alors une certaine distance avec ce dernier. - Ornifle n’éprouve lui aucun remord envers son fils « Honte de quoi

différents comportements avec les femmes, bien que ces relations aient des similarités. François Ier était un homme qui aimait énormément les femmes mais son grand amour reste sa mère, Louise de Savoie. Ils étaient très proches, celle-ci étant devenue veuve à dix-neuf ans, (son mari ne sera donc pas celui qui gouvernera la vie du futur roi de France), elle se consacre à l’éducation de ses deux enfants. Cette femme avait de grandes ambitions pour son fils, elle l’appelait même son « César ». Les deux autres