Relation Vendredi Robinson

Le droit sert à traduire et organiser. Le droit lié a la vie en société. Il est inhérent à la des Hommes en société. Si on vit en société le droit est nécessaire. Il faut obligatoirement des règles. Par exemple : Robinson, seul sur l’île, il n’y a aucun droits. Cependant quand Vendredi arrive la question de la propriété se pose. Cela souligne l’importance des règles. Toutes sociétés à un droit mais pas les mêmes règles. Les règles peuvent changer avec le temps (17ème ‡ d’aujourd'hui) ou avec

Droit, morale et religion « Aussi longtemps que Robinson vit en solitaire, il n’a que faire du droit (…). La rencontre de Vendredi change sa situation » (TERRE (F.), Introduction générale au droit, Dalloz, 7e éd., 2006, p : 7). La nécessité du droit n’apparait que lorsque l’homme doit vivre en groupe… Le droit permet que l’on dépasse une relation violente entre les hommes (la loi du plus fort). Il permet d’imposer l’ordre, le progrès et la justice. Selon le Doyen CORNU, « Le précepte juridique n’est

monadique, individuelle et engluée à l’intérieur d’elle-même mais toujours déjà jetée dans un monde, elle n’’est pas isolée mais entourée des autres. Le autres m’entourent, me jugent. Dans les conditions concrètes de l’existence, j’entretiens des relations permanentes avec l’autre (familiales, amoureuses, amicales, professionnelles, sociales...) l’autre n’est donc pas radicalement absurde pour moi, mon rapport à lui ne réside pas dans une impossibilité irréductible. Le découverte du je ne marque

La conscience n’est proprement qu’un réseau de relations d’homme à homme, - et c’est seulement en tant que telle qu’elle a dû se développer: l’homme érémitique et prédateur n’aurait pas eu besoin d’elle. Le fait que nos actions, nos pensées, nos sentiments, nos besoins, nos mouvements pénètrent dans notre conscience – au moins en partie -, c'est la conséquence d'un "il faut" ayant exercé sur l'homme une autorité terrible et prolongée. Il avait besoin, étant l’animal le plus exposé au danger, d’aide

d’établir un dialogue. Un monde sans autres serait appauvri, voire impossible. Il ne peut demeurer toujours seul avec soi-même, se contenter d’un dialogue de soi avec soi. Pour preuve, Michel Tournier, dans sa réécriture du célèbre Robinson Crusoé de Daniel Defoe, Vendredi ou les limbes du pacifique, décrit cet état de solitude que ressent le personnage principal après un naufrage. Et cette description est extrême, car il critique férocement la solitude et la considère comme “la suprême déchéance”.

Cher compagnon, Port de Hartlepool, le 19 décembre 1788 C’est ton fidèle ami Vendredi qui t’adresse ce courrier par l’intermédiaire d’un écrivain public étant donné que mon incapacité à rédiger cette lettre de façon autonome. Malgré le début de mon apprentissage et quelques progrès en littérature. Je t’ai quitté il y a un an quasiment jour pour jour et je te rassure, je

n'existe pas tout seul, il existe dans le monde et parmi d'autres sujets. II. Une conscience en relation et une liberté en situation Si nous affirmons qu'exister ce n'est pas simplement penser dans son fort intérieur mais être là dans le monde, exister en relation avec les autres, être reconnu par eux, alors on peut se poser la question de savoir si l'homme ne va pas subir des influences extérieurs, s'il n'est pas déterminé par

monadique, individuelle et engluée à l’intérieur d’elle-même mais toujours déjà jetée dans un monde, elle n’’est pas isolée mais entourée des autres. Le autres m’entourent, me jugent. Dans les conditions concrètes de l’existence, j’entretiens des relations permanentes avec l’autre (familiales, amoureuses, amicales, professionnelles, sociales...) l’autre n’est donc pas radicalement absurde pour moi, mon rapport à lui ne réside pas dans une impossibilité irréductible. - Le découverte du je ne

une langue maternelle etc. Cependant, ces relations avec les autres n’en sont pas pour autant simples et paisibles : elles sont ponctuées de conflits, d’incompréhensions, de rivalités, de déceptions voire même d’exaspérations diverses. Aussi, de manière confuse, éprouvons-nous tous une sorte d’ambivalence dans le rapport à la société qui nous entoure, qui tantôt nous protège et tantôt nous pèse. Celle-ci semble bien ne pas être le résultat de relations sociales insatisfaisantes ou qui resteraient

de se laisser y aller. C’est quand il a de l’esprit. Mais toujours, ce petit instant d’esprit échoue puisque le poète accentue à nouveau sa solitude avec les mots « seul »ou « personne ». On peut voir donc une relation avec Vendredi ou les limbes du Pacifique de Michel Tournier quand Robinson se trouve au début tout seul dans l’île et il commence à craindre de son sujet et son humanité. Beaucoup de fois, il se laisse aller par la folie mais des décisions comme son log book ou l’organisation de l’île