Relativisme Culturel

nous apporte donc bon nombre de préjugés, et il est particulièrement difficile de se détacher de ses habitudes culturelles. Cependant, comme Levi Strauss et Montaigne l’ont fait avant nous, il est possible de prendre des distances vis-à-vis de cette culture commune, et de s’intéresser aux autres cultures sans préjugés méprisants. Il s’agit de ce que l’on appelle le relativisme culturel, c'est-à-dire le fait de considérer l’ethnocentrisme comme une illusion. Nous pouvons donc réfléchir par nous même

quelle idée ? (Vérité) Acquis. Ne variera plus. Considéré comme appartenant au domaine des sens ou de la sensibilité, l’art ne donne lieu qu’à des opinions subjectives ne jouant aucun rôle dans la connaissance du réel : l’art mène plutôt au relativisme (nous verrons que des jugements du type : « Tout est relatif », « à chacun ses goûts », « les goûts et les couleurs, cela ne se discute pas », « tous les goûts sont dans la nature » sont ce qu’on appelle des jugements relatifs c’est-à-dire : « c’est

l’histoire «politique», et promouvant une approche pluridisciplinaire, cette Ecole va mettre en valeur d’autres événements, qui sont autant de possibilités de comprendre le passé, en s’attachant à l’événement social, l’événement économique et l’événement culturel. L’Ecole des annales et des hommes comme Michel Foucault dans ses Histoire de la sexualité et Histoire de la Folie interroge la notion de «dignité» des événements. En effet, y a t-il des événements plus dignes que d’autres? Si oui, qui

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14 1. Présentation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14 2. Relativisme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15 3. Ordinarisme et externalisme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

sont véhiculées par l’éducation et qui permettent de juger ce qui est bon et ce qui est mauvais. [Annonce du sujet à partir des définitions] Le problème est qu’il n’existe pas une seule culture mais que chaque culture est confrontée à une diversité culturelle indéniable. Dès lors, quand un individu rencontre une culture qui lui est étrangère il fait l’expérience de pratiques et de valeurs qui créent une rupture avec ce à quoi il a été habitué. Le risque inhérent à cette confrontation est alors que cet

fondement de toute connaissance. Elle fait aussi référence a la construction d’un système de pensée pour établir la base d’un déisme et d’une morale capable de se débarrasser de croyances irrationnelles et autoritaires mettant fin ainsi au relativisme historique et culturel des différentes religions instituées. Au XVIII siècles, plusieurs philosophes et penseurs se sont impliqués dans cette recherche. Pour répondre a ces questions, nous étudierons l’interprétation que différents philosophes ont de la «

philosophie, mais en même temps, elle a ramené de nouveaux débats et difficultés philosophiques. Considérant l’aspect du temps dans le savoir, on remarque directement quatre interrogations inévitables : l’opposition entre le savoir absolu et le relativisme historique, l’opposition entre le sujet connaissant et l’objet connu, l’opposition entre la structure déterminant du système de savoir et le rôle de l’agence humaine, et enfin, après avoir fondé la théorie de la connaissance dans la dynamique du

le pouvoir hiérarchique qui comprend un expert ou un groupe d’expert qui exerce un pouvoir sur le reste de la population. Ces derniers sont constituées de marchands et de citoyens. La saine gouvernance est construit selon le mouvement de pensée relativisme et la cité idéal de Platon. D’autre part, Thrasymaque prône d’avantage le système au pouvoir monarchique qui met en valeur un seul dirigeant. Le plus riche, le plus fort et le plus puissant de la cité. Le reste de la population est sous le pouvoir

de la vérité : ceux qui affirment détenir la vérité sont en vérité ceux qui détiennent la maîtrise. Ce qui est vrai, c'est la compréhension singulière qu'on a du texte ; pour accéder à la liberté, il faut n'être ni maître ni esclave. C'est à un relativisme sceptique que le Discours invite à penser; question de point de vue.

par Pyrrhon. Ces sceptiques sont des gens qui pensent que la vérité est une simple illusion, la seule attitude pertinente consiste donc à ne jamais porter de jugement sur quoi que ce soit. Les arguments des sceptiques sont les suivants : - le relativisme : tout est relatif, il n’y a pas de vérité absolue, c’est à dire valable pour tout le monde. Chacun a sa propre vérité. « Vérité au delà des Pyrennés, erreur en deça » disait B. Pascal. Si la vérité existait, nous finirions par tomber d’accord