Religion grecque antique

II)les caractéristiques humanistes A)Un mouvement érudit (savent qui s’intéresse a la culture) L'humanisme désigne en premier lieu, cet intérêt nouveau pour les textes antiques , gréco-latin. Le mot « Humaniste » désigne celui qui étudie ou enseigne les lettres grecques et latines. « studia humanitatis » On admire la culture antique , on étudie, on traduit... B)Une réflexion qui place l'homme en son sens L'homme est considéré en lui-même , pour lui même et non pas seulement dans ses rapports

Cette notion de production semble ici importante, car elle va plus loin que la notion de représentation au sens strict du terme. Cependant, cette conception est assez récente (XVIIIème Siècle) et semble remettre en particulier en question la vision antique de l’art qui avait pour fonction première de refléter la beauté du Cosmos, c'est-à-dire de l’univers en tant qu’il est ordonné et harmonieux. D’une certaine façon, la citation de Kant traduit cette opposition entre les anciens et les modernes.

était la seule institution capable de faire face au changement et même de faire évoluer ses concepts de l’éducation. Le christianisme, en devenant la religion de l’Empire romain, a servi à justifier un ordre politique qui s’exerçait au nom de Dieu. L’église qui a joué un rôle médiateur entre plusieurs peuples, contrairement aux cultures juives grecques et romaines, d’où elle a puisé ses fondements, avait un message universel qui était d’accueillir tous les peuples et de propager un message d’espoir

ce qu'ils sont réellement, c'est à dire des êtres de grand talent. -Leur religion qui est le christianisme. CONSÉQUENCE -Leur système de valeur change se base sur les capacités de l'être humain - Les Grecs croient en leur propre destinée qui n'est plus entièrement décidée par les dieux. -Leur nouvelle conscience tout comme leur nouvelle foi permettent aux Grecques d'évoluer sur le plan intellectuel. PENSÉE RATIONNELLE GRECQUE Acteur : Socrate parcourut les rues pour connaître la vérité dans cette

expansion) à un monde romain (avc transfor*mation culturelle et politique) ? L’histoire grecque se découpe en 3 grdes périodes : Archaïque : 8 au 6èmesiècle av JC, colonisation grecque (expansion en méditerranée occident Espagne et de l’autre côté que l’on retrouve à travers la langue, les constructions, les cités), fondation d’une nouvelle cité à partir d’une fraction de l’ancienne (réplique : religion, administration, politique, mode de vie, architecture,…). Il ya instauration d’échange

La citoyenneté Les premières conceptions qui fondent la citoyenneté se forgent dans les sociétés antiques. L’idée même de citoyen naît avec la Cité grecque. Elle repose sur le principe d’isonomie qui fait de chaque citoyen le membre d’une communauté d’égaux. Le citoyen est celui qui obéit à des lois, non à un homme. Rome donne, par un processus d’extension progressive du droit de cité, une dimension universelle à la notion de citoyenneté. Quelle est exactement la place du citoyen dans chacun

copies, protection des nouvelles découvertes. Valorisation: sensibiliser le public limiter la visite à de petits groupes privilégier la visite des copies contextualiser les présentations Chapitre III: Art de l'Égypte antique Contexte spatial et temporel: Spatial: Egypte = vallée fluviale (Nil), entourée par 3 déserts (Arabie, Libye et Nubie) et la mer méditerranée. Environnement protégé par les déserts, par un accès réduit à la péninsule du Sinaï et les

d’organisations qui permettent de rechercher un embryon de relations   Page PAGE 2  internationales. Il y a eu 2 civilisations qui ont mit en place des relations internationales : ​ la civilisation grecque​ avec son organisation par cité (c’est un mouvement divers (pas d’autorité absolu) et homogène ( la culture grecque, beaucoup de traditions et un certain nombre de croyances qui étaient communes)), elles ont entretenues des relations pacifiques et conflictuelles qu’elles ont organisé entre elles et avec

siècle. Il désigne un professeur de grammaire et de rhétorique. Au XVIème, il désigne également un érudit qui étudie les langues antiques. Ce n’est qu’au XIXème que le terme d’humaniste désignera un penseur qui prend l’homme comme valeur suprême. Par humanisme, on entend une nouvelle conception de l’homme et de l’univers qui, en s’appuyant sur l’étude de l’antiquité grecque et latine, source de la culture occidentale, met l’homme au centre de ses préoccupations et tend vers un épanouissement de ses

vers de « Zone », la volonté de rupture du poète se manifeste clairement : « A la fin tu es las de ce monde ancien ». Cette volonté de rupture se décline plus familièrement au vers 3 : « Tu en as assez de l’antiquité grecque et romaine ». Le « monde ancien » et « l’antiquité grecque et romaine » font référence au siècle qui vient de s’achever (le XIXe) et aux formes d’art classique, jugées obsolètes par Guillaume Apollinaire. Le début du XXe siècle voit en effet fleurir des mouvements expérimentaux