Religions Et Espace Publique

véritable « saut dans le néant ». Liée à la mort, la religion apparaît alors comme créatrice de bonheur. Elle apporte réconfort et confiance à l’homme par la promesse d’une autre vie meilleure. Cependant, si il apparaît que la religion, et ses promesses, ne sont qu’illusoires, alors le bonheur qu’elle a engendré l’est aussi. C’est ce que tendent à démontrer trois philosophes, sous différents angles. S. Freud, père de la psychanalyse affirme que la religion n’est qu’une illusion car elle est artificielle

d’activités sociale et privée ; dispositif juridico-légal accessoire suspende à la norme d’Etat d’exception ; appareil policier surdimensionné ; complexe éco centralisé, militarisé ; idéologie officielle (Vérité absolue s’imposant à tous par caractère de « religion séculière » = vision mythique du monde, mise en scène liturgique, promesse eschatologique). ( Penser la politique : effacer 150 ans de construction libérale pulvérisant notion des checks and balances + réduisant politique à son état le plus archaïque

fait une forme historique contextualité qui est le produit d'une histoire particulière. Cela n'est pas l'ultime forme d'organisation sociale. Il existe historiquement d'autres façons d'organiser le monde social. Les protestant ont trouvé dans leur religion des règles, des principes qu'ils vont appliquer à l'organisation sociale et économique. Tous ces principes d'inspiration religieuse vont servir à organiser un monde social. Mais s'il n'y avait pas eu ce type d'interprétation, le capitalisme n'aurait

Les droits peuvent être : •civils: l'ensemble des libertés individuelles (conscience, expression, se marier, avoir un avocat, aller et venir, être traité par la justice de façon égale pour tous, ....), •politiques: (participation à la vie publique, être électeur , être éligible, etc...., pour tous, y compris les étrangers). En retour, chaque individu est tenu à respecter les lois, à contribuer à la vie économique par les impôts par exemple ou encore à défendre la société si elle se trouve

confessions et de religions » : « réformés, catholiques romains, luthériens, brounistes, indépendants, arminiens, anabaptistes, sociniens, ariens, enthousiastes, quacquiers (quakers) ou trembleurs, borrélistes, arméniens, moscovites, libertins, et autres « chercheurs », sans compter les juifs, les Turcs et les Persans,… » Dans une Europe où, presque partout, la religion du prince a force de loi, la République des Provinces-Unies déroute par sa diversité et sa liberté de religion. Toutefois, les

paré et me présenterais en une marche étudiée. Je veux qu'on m'y voie en ma façon simple, naturelle et ordinaire, sans contention et artifice : car c'est moi que je peins. Mes défauts s'y liront au vif, et ma forme naïve, autant que la révérence publique me l'a permis. Que si j'eusse été entre ces nations qu'on dit vivre encore sous la douce liberté des premières lois de nature, je t'assure que je m'y fusse très volontiers peint tout entier, et tout nu. Ainsi, lecteur, je suis moi-même la matière

L’architecture globale se définit par son rapport au monde. Aujourd’hui une architecture moderne ne se lie plus au contexte de la ville, mais plutôt à celui du monde. Les villes / mégalopoles où nous habitons sont des mondes, toutes les cultures, toutes les religions s’y côtoient. « Le monde contemporain fabrique la ville contemporaine qui fabrique le monde contemporain » nous dit Marc Augé dans un entretien tenu en 2006 avec l’architecte Alain Renk. Nous n’évaluons plus une architecture moderne à son époque

l’homme qui l’utilise. (supprimons l’Homme est laissons les ordinateurs s’occuper de la technologie). Il pense que l’on peut confier à l’ordinateur les moyens de contrôle. A partir de ce premier débat, on en finira plus de discuter. Habermas écrit Espace public : pour lui, les technologies médiatiques ont transformé la communication politique (celle qui permet la démocratie). Les machines technologiques à communiquer vont empêcher la démocratie. Habermas écrit un livre dans lequel il explique

Ch 2: L'ETAT COMME PHENOMENE JURIDIQUE. Sur le plan juridique une personne morale de droit publique est une entité abstraite auquelle on va accorder des droits et des obligations. Cette antité est l'Etat. Quand sur plan juridique un Etat existe vraiment ? Un Etat est constituée quand 2 élements sont réunis. Section I: Les éléments constitutifs de l'Etat. - Elements substentiels. - Elements organiques. I- Une portion d'espace, le territoire. C'est une nécessité absolue pour un Etat d'avoir

moral de droit publique titulaire de la souveraineté du peuple et doté du monopole de la contrainte légitime. Forme d’organisation politique et juridique d’une société. Il a été précédé par la polis en grecque et la respublica en latin. Il est fixé sur un territoire déterminé où la population est soumise à l’autorité et au pouvoir qui repose sur la légitimité de l’Etat à gouverner. La Nation est un groupement de personnes qui ont des éléments communs, tel que le langage, la religion, le mode de