Remi de Reims

Conseil des grands 877 : mort de Charles, lui succède son fils Louis le Bègue→il doit renouveler les grands dans leur fonctions pour qu’ils l’élisent roi Royauté fait une tentative de contrôle II. La promesse du sacre →Hincmar, archevêque de Reims veut limiter la tutelle des grands sur la royauté. Il veut établir gouvernement par un Conseil des évêques L’Eglise ne veut pas supprimer la royauté En 877, Louis le Bègue pendant son sacre promet la protection de l’Eglise et le respect de ses privilèges

fermant l’École de philosophie d’Athènes et en obligeant tout fonctionnaire à être baptisé. C’est à la même époque que le chef des Francs qui avait envahi la Gaule, Clovis, se fit baptiser, lui et toutes ses troupes, pour se faire sacrer par Rémi, l’évêque de Reims en 496… *********** Et depuis lors, toute conception politique en Occident formalise un système de légitimation qui fonde toute « potestas » sur une « auctoritas » qui comporte toutes les caractéristiques formelles suivantes (qui sont

protecteurs de leur communauté face aux malheurs de l'époque, interlocuteurs du pouvoir militaire des rois germaniques qui se partagent la Gaule et derniers représentants de la culture romaine. Citons parmi ceux-ci Avit de Vienne, Nizier de Lyon, Remi de Reims, Grégoire de Tours. Le Moyen Âge et la formation de la France[modifier] Article détaillé : Moyen Âge. L'histoire de la France au Moyen Âge se caractérise par plusieurs périodes et événements marquant durant dix siècles : de Clovis à Charles

est victorieux sur les Alamans qui sont des barbares aussi. A partir de cette date, les invasions germaniques d’Est en Ouest sont définitivement stoppées. * 496 : année de la conversion de Clovis au christianisme (Baptême de Clovis) à Reims par l’évêque Rémi avec 3000 soldats. Donc il renonce à son ancienne religion : le Paganisme. Def paganisme : religion polythéiste ou fétichisme. C’était à l’origine la religion des romaines. Le mot paganisme a changé de sens, après le développement du christianisme

texte définit le serment des consuls ; on voit ensuite que c’est une société fermé (« nul étranger sera reçu dans ce consulat d’Arles sans la permission de l’archevêque seigneur et des consuls ») LA CHARTE DE BEAUMONT accordé par l’archevêque de Reims a servit de modèle à une centaine de chartes attribuées à des petites villes de Lorraines et aux Luxembourg. Cette charte dit : « Les bourgeois élise librement leur représentants ; cette élection se fait librement sans intervention du seigneur ». L’article

de celui de Reims, qui par ses liens avec le pouvoir politique, devient le lieu de production de l’histoire officielle. En 845, Hincmar, évêque de Reims, décide de continuer la rédaction des Annales regni francorum entreprise par Prudent sous Charles le Chauve. À la fin du IXe s., Flodoard, chanoine de l’église cathédrale, entame des Annales, après avoir écrit une Histoire de l’église de Reims. Vers 990, Richer 14 reprend cette tradition historiographique du scriptorium de Reims et rédige Quatre

dossiers, 1873-1876) ; - Lebrun : projet de voyage au Brésil (1886) ; - Leclerc (Louis Stéphane), directeur de la C de fermage africain : publications sur la culture du coton (1865) ; - Lecygne, représentant de commerce à Reims : commerce d’huile d’olive en Espagne (1865) ; - Leduc-Vic : récompense à l’exposition universelle de Vienne en 1873 (1883) ; - Lefebvre (Paul), secrétaire du Journal des haras et de la Lutte industrielle et commerciale : demande de publications

géographique. Il y a également des capitales qui se transforment ; au moment du partage du royaume, des capitales sont installées (pas au centre des lots) mais qui sont côte à côte avec les autres. Puis il y a un mouvement, qui recentre ces capitales (Reims devient Mes ; Soisson devient Paris ; etc.). Cela éclaire la territorialisation du royaume. Il y a ainsi un ancrage d’Aristocratie parce que les lignages portent serment et s’enracinent au territoire patrimonial. Il y a par conséquent une royauté

constitue une armée pour défendre Paris[64]. Mais Paris n’est pas le but des Allemands. Aussi pivotent-ils, toujours conformément au plan Schlieffen, en direction du sud-est pour encercler les armées françaises. Le 4 septembre, l’armée allemande occupe Reims. Le commandement voit là l’occasion d’attaquer les Allemands sur leur flanc. L’armée française fait demi-tour le 6 septembre et repart à l’attaque. Des renforts sont envoyés de Paris grâce à la réquisition de taxis parisiens. C’est la Première victoire

Dictionnaire des footballeurs étrangers du championnat professionnel français (1932-1997), Paris, L’Harmattan, 1998. B ARRERA Caroline, « Étudiants étrangers et coloniaux à Toulouse pendant l’entre-deux-guerres », communication au colloque de Nanterre et Reims, Étudiants en mouvements, juin et décembre 2006. BARZMAN John, Histoire et mémoires des immigrations en région Normandie, rapport Acsé Normandie, université du Havre, 2007. BATAILLE Philippe, WIEVIORKA Michel, « Crise industrielle, immigration et politique