Rentabilité des capitaux propres

bilan . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Valeur comptable et valeur de marché des capitaux propres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . La valeur de marché de l’actif économique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Analyse de la structure financière a) Equilibre financier b) Indépendance financière c) Endettement II. Analyse du cycle d’exploitation a) Croissance de l’entreprise b) Financement du cycle d’exploitation c) La trésorerie III. Analyse de la rentabilité a) Rentabilité financière b) Facteurs explicatifs - Résultats - Effet de levier IV. Les principaux clignotants V. Synthèse VI. Préconisations VII. Annexes DJP Nettoyage Diagnostic financier 2 I. Analyse de la structure financière a) Equilibre

.................................................... 9 2.2 Le Taux Interne de Rentabilité (TIR) ................................................................................................................. 10 2.3 L’Indice de profitabilité (IP) .............................................................................................................................. 10 2.4. Le Délai de Récupération du capital investi (DRC) ................................................................

.................................................... 9 2.2 Le Taux Interne de Rentabilité (TIR) ................................................................................................................. 10 2.3 L’Indice de profitabilité (IP) .............................................................................................................................. 10 2.4. Le Délai de Récupération du capital investi (DRC) ................................................................

par les sociétés (les entreprises les plus importantes et/ou celles faisant appel public à l’épargne publient des comptes semestriels, voire trimestriels). Pour comprendre ces documents, il faudra étudier l’annexe qui comprend des informations capitales : - exp lication de la v ariation de certains p ostes : immobilisations, amortissements et p rovisions, - échéan cier d es créan ces et des dettes, - engagements donnés et reçus mais non comptab ilisés (en gagements « hors bilan ») : cr édit

théorie du signal repose sur le transfert et l'interprétation de l'information à portée de main sur une entreprise commerciale au marché des capitaux, et la mise en fourrière des perceptions résultant en des termes sur lesquels la finance est mis à la disposition de l'entreprise. En d'autres termes, les flux de fonds entre une entreprise et le marché des capitaux sont tributaires de la circulation de l'information entre eux. Pour décision de la direction par exemple à faire une acquisition ou cession;

contrôle résiduel. C’est une situation particulièrement risqué du point de vue de cette théorie (les actionnaires sont sans doutes les + fragiles de toutes les parties prenantes) : ils sont payé en dernier et ne contrôle pas totalement l’usage des capitaux apportés. Théorie de l’agence et théorie des contrats incomplets : Ces 2 théories n’ont pas la même vocation. • Stakeholder : modèle des parties prenantes. Déf p 10 : L’entreprise peut être perçue comme un ensemble de parties prenantes

comptables. Partie I – Les ratios issus du compte de résultat 1- Les ratios de rentabilité • Ratio de marge nette = Return On Sales (ROS) en anglais = Résultat net / CA Un résultat net de 30 avec un CA de 1000 donne une marge nette ou ROS de 3 %, ce qui signifie que si le CA progresse de 100, le résultat net progressera de 3. Le résultat net dépendant à la fois du résultat d'exploitation (lié à l'activité propre de l'Entreprise), du résultat financier (choix de financement de l'Entreprise)

LA RENTABILITE D’UN PROJET La décision d’investir dans un quelconque projet se base principalement sur l’évaluation de son intérêt économique et par conséquent, du calcul de sa rentabilité. La rentabilité d’un projet dépend des coûts qu’il engendre et des gains qu’il procure. Si la somme des gains est supérieure aux coûts de l’investissement, celui-ci est rentable. Un entrepreneur doit cependant prendre sa décision dans un contexte d’incertitude : un investissement génère des coûts qui ne sont

 BASE : Résultat bénéficiaire : Produit – Charge Bilan : Actif (immobilisé, stock, client, tréso) Passif (Capitaux propres, Résultat, emprunt, fournisseurs) Compte de résultat : Charges (Achats, Impôts, charges de personnel, Dotations) Produits (Ventes..) Amortissements : Linéaire = 1000 € / 5 ans = 200 / an Dégressif = 1000 € / 5 ans = 200 / an. Taux ) 20% x coeff. 1.75 = 35 % Calcul de la consommation : Achat + (stock initial – stock final) Calcul de la production :