Réparer les vivants

affirmer qu'elle soit à l'origine des premiers samouraïs, apparus à cette époque. Mitsuo Kure, dans son livre Samouraïs (p. 7), cite plusieurs autres origines possibles pour les samouraïs : les kugutsu, des nomades qui parcouraient le Japon en vivant de spectacles de marionnettes et d'acrobaties, eux aussi réputés grands cavaliers archers. Il est toutefois impossible de dire s'ils utilisaient des grands arcs. les contacts avec les Emishi, durant les combats contre eux, mais aussi au cours

point de vue, on ne faisait donc aucune différence entre les êtres vivants et les êtres inanimés : tous s'usaient pour les mêmes raisons, car tout ce qui était matériel était voué à disparaître. A partir de la Renaissance commencent à apparaître des éléments qui rendront possible l'établissement du nouveau paradigme : une confiance illimitée dans les possibilités de la science, la découverte de la capacité de régénération des êtres vivants au XVIIIe, le dogme de « l'immortalité » des cellules in vitro

Descarte31 mars 1596 - 11 février 1650Le monde supralunaire et le monde sublunaire Ces deux mondes appartiennent à la réalité physique . Ils sont soumis aux mêmes lois , celles de la nature . Dans le monde supralunaire la terre est le centre du cosmos et les astres suivent un mouvement parfait , régulier et immuable . Cette perfection se distingue du monde sublunaire , où il y a aussi un mouvement , celui de la vie : naissance , développement , dégradation et mort . Le monde sublunaire , c'est -

substances qui perturbent l’équilibre biologique de l’environnement, • soit des substances toxiques pour les êtres vivants. Mais même des substances utiles à l’équilibre biologique d’un milieu peuvent devenir polluantes si elles sont présentes en excès. On distingue différents types de polluants : • les polluants organiques Ce sont des produits rejetés par les êtres vivants : feuilles mortes, débris végétaux, excréments, déchets alimentaires. Ces polluants sont biodégradables, c’est-à-dire

espaces m’effraie » :  place de l’homme insignifiante   3.        Le vivant Parmi les réalités existantes :  .règne animal (sensations)      .règne végétal (processus de photosynthèse)     .règne minéral (matière inerte)                                                                                   vivant (animé)   =/=   non vivant (inanimé)   L’homme fait partie du règne des vivants                                                                                       

préjudice réparable est une des cond de la resp civile pour qu’il y ait une faute. De façon générale, le préjudice pt être défini comme étant l’atteinte subie par la victime dans son patrimoine ou ses droits extrapatrimoniaux. Pr pouvoir être réparé le préjudice doit présenter un certain nb de conditions qui sont au nb de 4 un préjudice doit être : - certain - direct - légitime - personnel à celui qui l’invoque Le caractère direct est mis de côté puisque cela veut dire que le préjudice

avoir des droits. Et pour finir que l’homme a un devoir envers la nature. La nature ne peut prétendre à des droits Il est vrai que la nature fait le bien. En effet, elle offre des ressources immenses et magnifiques à disposition des êtres vivants afin qu’ils puissent s’y développer, s’y reproduire, et vivre paisiblement. Mais en revanche, elle fait aussi le mal, par exemple elle tue par l’intermédiaire de catastrophes naturelles ou d’animaux. Ce qu’il faut comprendre c’est qu’elle le fait

dictionnaire est : être organisée présentant une sensibilité et une mobilité souvent en rapport avec un système nerveux. Cela veut dire qu’un animal est un être animé du principe de vie, en fait, c’est le terme qui nous permet de distinguer ce qui est vivant de ce qui ne l’est pas (comme les minéraux). L’élément supplémentaire, c’est la mobilité, c’est la différence avec les minéraux par exemple. Quand on regarde les définitions des grecs et des romains, on se rend compte qu’il n’avait pas une division

transformations qu’il y a faites. Elle comprend donc tout l’univers, l’ensemble des phénomènes naturels tels que les vents, les marées, la course des astres, elle comprend donc aussi outre la matière, les plantes et les êtres vivants, dont l’homme en tant qu’il est aussi un être vivant. En somme, la nature, c'est l’ensemble du réel, mais ôté de tout ce que l’homme y a fait ou ajouté, c’est-à-dire ôté de tout ce qui est artificiel. La nature, c’est le réel moins l’artificiel. La nature est donc tout

responsabilité environnementale, relative aux dommages affectant les espèces et habitats naturels, les eaux et les sols. La notion de «responsabilité environnementale » est le principe selon lequel quiconque porte atteinte à l’environnement doit réparer les dommages causés. Elle se traduit le plus souvent par la formule « pollueur-payeur », et s’applique aux individus, aux institutions et aux entreprises. Elle doit conduire à la mise en place d’actions pour protéger l’environnement de manière préventive