Repetition Maupassant

entre les pensées faussées d'Orgon et la vérité "Le pauvre homme". Bien que sa femme ait été gravement malade, Orgon n'a d'intérêt que pour Tartuffe "Et Tartuffe ?". Ces deux répliques reprises à chaque intervention d'Orgon crée un comique de répétition qui renforce le décalage entre les deux personnages et tend à ridiculiser Orgon. Celui-ci est tellement manipulé par Tartuffe qu'il est incapable de discerner le faux du vrai. Il représente donc la naïveté. Il apporte autant d'importance à ce

comiques : ignorance dans l’identité de Don César, Don Guritan reste incrédule lorsque Don César révèle son identité. • Vers 1881 : surprise de Don César. • Vers 1888 : Surprise de Don Guritan «  Vous ». • Vers 1890 : comique de répétition « encore » à cause de la permanence de son identité. • Confusion des esprits à cause de la fragmentation, dislocation des vers : mouvement de confusion. Le Changement de ton du dialogue • Ton plus hostile après la surprise

coince les doigt et qu’il insulte Thérèse Comique de situation : Je m'disais encore hier soir qu'il me manquait quelque chose pour descendre les poubelles Comique de gestes : Réside dans les chutes et grimaces des personnages Comique de répétition : le « c’est cela oui » de Pierre Comique verbal : il y a comme exemple : «  C'est fin, c'est très fin, ça se mange sans faim »

Inspiré du moyen-âge, du comique des coups de bâtons, les nobles et beaucoup de personnages se battent sur scène ce qui capte l'intention du spectateur qui vois ici une scène rythmée. c-Comique de répétition Les mêmes répliques et les mêmes gestes reviennent ce qui créée un comique de répétition, Ceci permet l'exagération qui soutient le fait que ce soit un comique de démesure. d-Le comique de caractère Les personnages apparaissent ridicules. Ubu apparait comme un être despotique et

compulsion de répétition est un concept psychanalytique introduit par Freud. Il s'agit de décrire la répétition qui affecte le sujet d'un traumatisme. Différents travaux, depuis la fin des années 80 et la découverte de l’EMDR, ont permis d’éclairer différemment ce concept à partir des neurosciences et de la notion introduite par Francine Shapiro de réseaux de mémoires[1]. . Première conception[modifier] Freud conçoit d'abord, en 1914, différentes figures de la répétition, notamment le transfert

interrogeant les registres, le rythme et la mise en scène. Tous ces textes sont comiques de façon plus ou moins importante . Ubu l'est particulièrement : le lieu est imaginaire, les objets servant à torturer ou tuer les nobles sont inventés. Le comique de répétition est également très présent avec les questions d'Ubu qui sont toujours les mêmes et qui reviennent sans cesse ; le comique de langage avec des hyperboles, des mots et objets créés ; le comique de situation avec la foule qui est sur scène, comme

deux femmes s’insultent. Don Juan les montent l’une contre l’autre comme cela il garde une certaine emprise sur les deux paysannes. Il répète les même paroles à Mathurine et à Charlotte , il promet un mariage au deux jeunes filles. (comique de répétition) II-Comique de gestes Le comique de geste, dans cette scène, repose sur un jeu spatial. Don Juan parle au deux femmes en gardant une distance entre chacune. Les deux paysannes tentent des rapprochements à plusieurs reprises mais sans succès

d’Anouilh est un texte théâtral qui parle d’une pièce de théâtre et en plus cette pièce n’existant pas encore, devient nécessaire d’exhiber ce qui est interdit à la représentation, fou comique : syntaxe de l’oral avec un vocabulaire familier. Comique de répétition, considérations générales désir d’arrêter ces considérations. Conclusion : L’ensemble de l’extrait se caractérise par une atmosphère comique, car l’étude de l’énonciation fait apparaitre un personnage, l’auteur, timide ce qui désacralise la figure

situation d’un personnage dans l’histoire qui est racontée (surprises, rebondissements, coïncidences, retournements, quiproquos, etc.) Le comique de mots : l’effet comique est produit par les paroles (jeux de mots, calembours, niveaux de langue, répétitions, etc.) Le comique de caractère : l’effet comique est produit par la peinture des caractères (traits moraux propres à une classe d’êtres : vices, idées). Le comique de mœurs : l’effet comique est produit par les usages d’une classe d’hommes ou

salle du trône, le lieu même où le roi se meurt. C'est de l' humour noir. On retrouve d'ailleurs dans ce comique l'idéologie même du dramaturge ; « le comique est plus désespérant que le tragique, le comique n'a pas d'issue ». b/ le comique de répétition du garde qui demande au chauffage de s'allumer à deux reprises : « chauffage, allume-toi... Chauffage, allume-toi ». c/ enfin, le comique le plus redondant de la pièce, le comique de l'absurde : « le soleil est en retard. J'ai pourtant entendu