Repetition Maupassant

Hamm impose ses caprices, attend d'être « sifflé » mais, doté d'une agilité supérieure, il peut jouer de ruse. Qui d'autre que lui sait ce qu'il voit véritablement derrière sa lunette ? Fin de partie est un festival de formes comiques : comique de répétition avec la phrase : « Ce n'est pas l'heure de mon calmant ». Comique de mots : la pièce regorge de calembours, ou rapprochements de mots aux sonorités voisines : par exemple, « coite » et « coït », ou bien « Le matin, on vous stimule et le soir on

son prologue aussi. Les effets combinés sont nombreux et donnent le ton dès les 1ere lignes. Il s'agit pour Rabelais de : 1. Jouer avec le lecteur : le comique de contraste les surprend d'entrée de jeu 2. Leur faire tourner la tête : comique de répétition 3. Se moquer de l'homme vulgaire (comique de satire) et de leur agitation dérisoire par laquelle Socrate affiche un profond mépris II. Le prologue d'une oeuvre sérieuse, si le rire est le propre de l'homme, la réflexion l'intellectuelle l'est

Charlotte). Il se presente alors au spectateur comme le digne héritier du personnage de la Commedia dell’arte, Arlequin, le valet bouffon capable des pires pitreries pour obtenir ce qu’il desire. On observe aussi durant toute la scène un comique de répétition, dû aux jeux d’écho et de symétrie : en effet, chacune des paysannes pose les mêmes questions à Don Juan, auxquelles il répond en aparté avec la même roublardise. Les deux paysannes sont interchangeables, que ce soit du point de vue des habits,

noir souligne l’absurdité et la cruauté du monde Les effets comiques : Quiproquo :le quiproquo consiste à faire interagir deux personnages qui se méprennent sur ce dont parle l'autre. Le quiproquo est un comique de situation. Comique de répétition : l'effet consiste à répéter plusieurs fois les mêmes mots, les mêmes gestes, ou la même situation. C'est un comique de situation. Le sous entendu complice : : un personnage connaît et comprend les références utilisées par un autre, mais un troisième

malade. Se vante de connaître de grands médecins. Il traite ses confrères d’ignorants, ceci renforcé par le comique de répétition( concurrence entre eux. 2) Incompétence « Il dise que c’est du foie et d’autres de la rate »(dénonce l’incompétence des médecins. 3) Charlatanisme En désaccord avec M. Purgon sur le régime alimentaire. Consultation caricaturales+ répetition de « le poumon »( invalide les précédents diagnostics. Argan a des maux sans gravité que Toinette présente comme des

La deuxième piste d’analyse est la présence de tous les types de comique. Soit le comique de situation, le comique de répétition, la satire ainsi que le comique de geste. Le comique le plus marqué est la satire, en effet, tout au long de la scène, Molière a fait en sorte que les traits de caractère d’Argan ressortent et que les spectateurs s’en moquent. Le comique de répétition est aussi fort présent par exemple lorsque qu’il s’exprime ainsi : « Drelin, drelin, drelin ! » Il le répète plusieurs

représentation, nous avons pu découvrir un script assez déplorable. Rien n’attire notre attention dans la pièce et la petite touche d’humour qui a essayé d’être apportée à celle-ci s’est montrée redondante et d’un niveau plutôt bas. Le comique de répétition, qui a été souvent remarqué lors de la pièce, a été utilisé de manière abusive. Nous cherchons à nous accrocher et à rentrer dans le monde de l’histoire, à laquelle par ailleurs, nous n’avons toujours pas compris le sens et le but mais en vain

Acte I Scène 4 et 5. * Portrait indirect d'Orgon. Obsession ? : oui : répétition "et Tartuffe" ainsi que "Le pauvre homme" Orgon préfère Tartuffe à sa famille. Les procédés de répétition et d'inéquation produisent le comique de la scène. Rôle de Dorine : démontrer la folie de son maître. Hypocrisie de Tartuffe : Il est impossible d'avoir une conversation avec lui. Il mange, dors (d'où sa sensualité) et boit. Cette description nous montre à quel point il est un faux dévot, puisqu'il n'est ni ascète

faire et non pas dire » Plusieurs phases de comique dans cette scène: le comique de situation: mise en scène par Dom Juan: il est acteur, personnage et metteur en scène; et un comique de langage, le plus important comique de la scène, comique de répétition dans les paroles de Dom Juan, il garde la structure ou les mots  « laissez la faire, laissez la dire » il répète les mots, les structures. Conclusion: dans cette scène le spectateur ressent la souffrance des paysannes. Les personnages deviennent

fixe de Géronte. Aux arguments de Scapin (l'amour filial, la proximité de l'heure de l'ultimatum), Géronte revient à des considérations terre à terre (la galère) ou financières ( les 500 écus). L'avare l'emporte sur le père. C. Le comique de répétition Deux leitmotiv : les "mots de nature" : emploi d'expressions récurrentes qui soulignent la psychologie d'u personnage (cf le "sans dot' d'Harpagon) "Que diable allait-il faire...". Révélateur de l'entêtement et du désespoir du personnage. Efficacité