Représailles après la mort de Karl Hotz

personnes ? Quelles sont les causes de cet évènement ? Présentation de la mort des 50 otages à Nantes Ce document est un avis de recherche extrait d’Internet. Je vais vous présenter un document qui représente l’avis de recherche des 50 otages à Nantes. En octobre 1941, le responsable des troupes d'occupation en Loire-Inférieure[], le lieutenant-colonel Karl Hotz, est abattu à Nantes par des résistants. En représailles, les autorités allemandes d'occupation fusillent, le 22 octobre, 48 prisonniers

lorsque qu’un groupe de résistants communistes : Gilbert Burstlein, Marc Bourdrias et Spartaco Guisco arrivent à Nantes, et décident d’exécuter le Feldkommandant Hotz. C’est le 20 octobre 1941 au matin, près de la cathédrale de Nantes que G.Brustlein et S.Guisco abattent en pleine rue le feldkommandant Hotz. La décision de représailles est immédiate et prise par le commandement Allemand, celle de fusillés 50 otages dont 27 sont du camp de Choisel de Châteaubriant. Au début de l’après-midi du 22

Guy Môquet (né le 26 avril 1924 et mort le 22 octobre 1941) est un militant communiste, célèbre pour être le plus jeune des vingt-sept otages du camp de Châteaubriant, fusillés en représailles après la mort de Karl Hotz. Guy Môquet était le fils d'un cheminot, député communiste du XVIIe arrondissement de Paris Prosper Môquet. Le parti communiste ayant été dissout par Édouard Daladier en septembre 1939, Prosper Môquet est arrêté le 10 octobre 1939, déchu de son mandat de député en février 1940 et

la misère. Le 13 octobre 1940, il est arrêté par des policiers français recherchant les militants communistes. Il sera fait prisonnier à Fresnes, puis à Clairvaux. Après la mort de Karl Hotz le 20 octobre 1941, tué par commando communiste, vingt-sept otages communistes sont sélectionnés pour être exécutés, en guise de représailles. Guy Moquet en est le plus jeune. Ces otages laisseront leur vie en criant « Vive la France », le 22 octobre 1941. Voici la lettre qu’il a écrite à ses parents avant

résistance, les Allemands se vengeaient en prenant des otages, parfois innocents et les fusillaient. Ils faisaient cela pour que la population se désolidarise de la résistance. Le 20 octobre 1941, l'officier allemand Karl Hotz a été abattu à Nantes, par Gilbert Brustlein. En représailles, le 22 octobre 1941, Hitler fait fusiller 48 otages du Camp de prisonniers de Choisel. Ils sont exécutés à Chateaubriand (27 d'entre eux), Paris et Nantes. Ce jour là, trois camions bâchés roulent vers la Sablière de

dont Guy Môquet en représailles à une action de la Résistance (mort du | | |commandant Karl Hotz) . | | | | |Principales œuvres : |Le poème appartient au recueil « Pleine poitrine » publié juste après la guerre, en 1946

vice-président du conseil. On comprend ce choix car Laval est un homme parfaitement rompu aux manœuvres parlementaires. Sa mission dans un premier temps sera de mettre fin au régime actuel. En effet, la volonté première fut de construire un ordre nouveau après une défaite qui était pour eux avant tout celle de la IIIe République. On convoque alors à Vichy une Assemblée nationale (équivalent du congrès : la réunion des deux chambres). Cette assemblée possède les pouvoirs constituant, en vertu de la Constitution

régime politique de Philippe Pétain, qui assura le gouvernement de la France du 10 juillet 1940 au 20 août 1944 durant l'occupation 3 4 allemande , et dont le siège se situait à Vichy , alors en zone libre. ← État français Régime de Vichy Après le vote des pleins pouvoirs constituants le 10 juillet 1940 par l'Assemblée nationale, le mot de République disparaît des actes officiels : le régime est dès lors désigné sous le nom d'État français. Du fait de son aspect particulier 5 dans l'histoire

personnage. Le prologue de Poenulus disait : Ita docte atque filias quaerit suas Et is omnis linguas scit ; sed dissimulat sciens Se scire. Poenus plane est, quid verbis opust ?12 (« C’est ainsi qu’il met toute son habileté et tout son art à chercher après ses filles. En outre, il sait toutes les langues ; mais il fait semblant, sciemment, de ne pas les savoir. C’est un vrai Carthaginois, c’est tout dire ») visite les arènes de Nîmes avec les comédies de Plaute en tête : « Je suis monté jusque sur