Représentation sociale

LE FEMININ DANS L’ART la représentation de la femme dans l’art a beaucoup evolué ;de la grece antique,au moyen age,la renaissance etc,l’image de la femme n’avait pas le meme sens suivant la periode.les artistes n’ont pas toujours eu le meme objectifs en representant la femme,que cela soit d’un point de vu de l’anatomie ou du message que la femme a porté,la femme a travers la peinture n’a cesser d’evoluer. dans l’antiquité,la représentation de la femme (notamment dans les scultures),les femmes

nous guider pas à pas dans l’inexactitude de la vie, sans nous en donner le sens réel. Ils se soumettent à l’interférence de Dieu et nous en transmettent le message peu importe l’issue. On parle souvent de « bonne nouvelle » « messages » ou représentations de perfection, comme si une Lada ne pouvait suffire à Dieu, non, le véhicule de Dieu ne peut être une Lada, Il est au-delà de la conception de l’homme, Il est celui qui a conçu la Lada par l’entremise d’un ange qui a soufflé à un serviteur la

de l'imagination, a un objet réel. Descartes propose trois critères. 1) La vivacité (Méditation VI, p. 79). Les impressions produites par les objets sur nos sens sont plus vives que celles des songes. 2) La résistance (p. 179 et 187-189). Ces représentations se produisent contre mon gré. Le réel me résiste, alors qu'en imagination, je peux faire changer les objets. 3) La cohérence (p. 209). C'est ce dernier critère que Descartes retient comme le plus probant. Le rêve est incohérent, absurde ; y adviennent

elle est une représentation interprétée de la réalité, elle n’est pas objective et ne concerne qu’une partie d’un tout, elle sublime, exagère, banalise, dramatise, déforme, amplifie, simplifie…etc. L’image n’est donc jamais réellement la réalité, car elle ne peut pas se détacher des critères techniques et artistiques dans le cas de la photographie par exemple, et des différentes exigences, ceci ne peut que la déformer. Le choix du sujet de la représentation, du moment de la représentation, le choix

siècle, les poètes souffrent d'un mal si répandu à l'époque qu'on l'appela : le Mal du siècle. Langueur, dépression, envie de suicide, univers de folie se retrouvent dans la poésie du XIXème au XXe siècle. Nous allons analyser les principales représentations du mal-être de chacun des poèmes du corpus. Dans le « Spleen » de Baudelaire, les images du mal-être sont riches et variées. La première est assimilée à l'une des deux postulations baudelairiennes : l'aspiration vers le bas que l'on trouve au

des arguments et non sur des sentiments personnels. Être critique signifie évaluer le «pour» et le «contre» d’une idée avant de prendre position. Cela demande de la rigueur et de la patiente. Concept : idées, représentations dans notre esprit; la philosophie porte sur les représentations que nous avons des choses, du monde, etc., C’est pourquoi elle peut parfois être abstraite. Toutefois, il faut toujours se demander sur quelle réalité véritable se base une idée. Fondamentaux : ce qui est au fondement

instinctive de la sexualité" ne pouvant être "domptée". Cela s'incarne par la libido qui est une énergie dictée par nos pulsions qui sont des poussées psychiques qui ont leur sources dans leurs corps. Ainsi selon nos émotions , nos images, nos représentations notre libido variera et l'homme ne pourra pas toujours contrôlé celle-ci. En effet, même s'il essaye de les "dompter" cela lui sera très difficile car le psychique n'est pas un phénomène maîtrisé par l'homme. Ainsi le processus psychique ne peut

son pouvoir. Iconographie[modifier] Dans l'art[modifier] L'aigle apparaît fréquemment dans les arts plastiques. Dans l'art gréco-romain, c'est un des attributs de Jupiter, qui prit sa forme pour enlever Ganymède, et il apparaît dans les représentations de Prométhée supplicié. Dans l'iconographie chrétienne, il est le symbole ou l'attribut de saint Jean l'évangéliste (surnommé l'Aigle de Patmos). Les lutrins sont ornés d'aigles à la symbolique complexe1. L'aigle en effet s'attaque aux serpents

quatre représentations de Matamore : quels éléments du costume et des accessoires vous semblent être des attributs du personnage ? Comment les costumes soulignent-ils l’ambivalence très comique du personnage ? Doc. 1, 2, 3 - Comment les postures renforcent-elles le ridicule du personnage ? Quel a été le modèle de G. Wilson ? Comment la démarche de l’acteur décrédibilise-t-elle le personnage ? Le personnage de Matamore Corrigé des questions On retrouve dans les 4 représentations des attributs

d'après des travaux d'Aristote. Celle-ci n'était alors qu'une machine aidant à dessiner. Vermeer en était un fervent admirateur et l'utilisa souvent, comme de nombreux peintres, pour travailler son jeu d'ombres et de lumières, rendant ainsi ses représentations plus proches de la réalité. En 1780, le chimiste français Jacques Charles invente l'ancêtre du procédé photographique, réussissant grâce à du chlorure d'argent à " capturer " très brièvement une image sur du papier. Dès lors, inventeurs et