Représentations diplomatiques de la France

Les institutions de la IV République La IV République naît en France au tournant du XX siècle. Au lendemain du Second Conflit mondial, le pays aspire au renouveau et le retour à la III République, que De Gaulle qualifie de « régime sans tête et partant sans volonté », est exclu. Dès lors, le débat fait rage entre les partisans d’un pouvoir conventionnel et les fidèles du général prônant un exécutif fort. Un conflit s’engage de fait entre les partis et De Gaulle, la fragmentation des opinions constitutionnelles

normative 2. la compétence opérationnelle § 2 : le lien de nationalité et de protection diplomatique A/ la protection diplomatique 1. l’analyse juridique, les mécanismes a) personne physique ou morale b) un dommage direct c) effet novateur de la protection diplomatique 2. les conditions pour la demande de protection diplomatique 3. la liberté des Etats dans l’exercice de la protection diplomatique B/ la responsabilité internationale des Etats 1. fondement de la responsabilité a) fondement

public, droit européen, droit international public ou privé ( rapport entre personnes «privés» de nationalités différentes). Il faut savoir que le droit européen indispensable. Les normes appliquées en France le plus souvent sont d’ordre internationale ( la moitié des normes nouvelles appliquées en France du moins). PLAN : 1- Les acteurs des relations internationales qui agissent (Etat , organisations ...) 2 - Analyse des rapports internationaux , règles de droit : encadrement juridique des relations

alimentaire et énergie ........................................................................ 34 6.7 Démographie internationale, mouvements de populations, réfugiés ..................................................................... 40 6.8 La France dans le monde ................................................................................................................................................. 41 6.9 L’Europe dans le monde ......................................................

tout d’abord s’intéresser aux mutations territoriales de l’Etat et leurs effets sur la personnalité morale internationale de l’Etat. En principe perdre une partie de son territoire n’est pas facteur de perte de la personnalité juridique (la France reste la France quand elle perd l’Algérie) * Mutation de nature politique profonde (ex : Révolution). Là encore on considère qu’il y a un principe de continuité : l’Etat reste identique à lui-même. Mais cela peut poser problème car le fait d’affirmer

n’existent que dès lors que certaines organisations internationales les ont reconnus. Question de leur financement. Les ONG sont très rarement affranchies de dépendance à l’égard du financement public et étatique. Ils reproduisent les clivages diplomatiques nationaux. (sauf exception) Ex : la question essentielle posée comporte une part de mystification que l’on permet de lever. Finalement l’Etat, quelque soit les époques n’a jamais été le facteur des relations internationales donc le fait de présenter

métropole+territoire d’outre mer). L’Etat peut exercer l’ensemble de ses compétences étatiques mais il existe certaines exceptions : Cours d’eaux internationaux soumis à un régime spécifique comme la navigation sur le Rhin Périmètre des locaux diplomatiques des Etats étrangers (considérés comme des enclaves). On appelle délimitation, l’opération juridique et technique qui consiste à choisir l’emplacement de la frontière. Matérialisée au sol pour en assurer la visibilité. Les montagnes,

représentant, c'est-à-dire que chaque aspect de ses loisirs faisait partie d'un travail diplomatique beaucoup plus important. Le fait que S. Gadio précise que « ou bien il joue au ballon » (ligne 21) illustre le fait que même les aspects les plus anodins de la vie du jeune prince sont observés : les activités perçues comme des loisirs se déroulent en fait dans le cadre d'une structure qui doit toujours favoriser le roi de France. L'effort de ce travail est sous-entendu par S. Gadio (« jusqu'à minuit », ligne

emblème de la France. A la chute de la Monarchie, le faisceau de licteur devient un des symboles de la République française « une et indivisible » (tel un faisceau). Il est repris surle sceau de la Ière République puis sur celui de la IIe République, toujours en usage aujourd'hui. En 1913, le ministère des Affaires étrangères adopte pour les postes diplomatiques et consulaires à l'étranger un emblème inspiré d'un modèle figurant sur les gardes d'épée et les boutons d'uniforme diplomatique. Le dessin

intervention militaire en Irak. La France finit par s’opposer farouchement à cette initiative. Prenant la tête d’un rassemblement qui comprend divers pays du Vieux Continent, elle précipite une grave rupture au sein des l’ONU, de l’OTAN et de l’UE. Washington se trouve finalement contrainte de déclencher la nouvelle phase d’hostilité en mars 2003, sans mandat du Conseil de sécurité en bonne et due forme et avec le soutien d’une piètre coalition de pays volontaires, dont la France et ses partenaires dans