Résection

digestif Moins onéreuse Moins de complications graves Indications En situation d’hypercatabolisme Polytraumatisme Brûlures graves Cancers Affections inflamatoires et pathologies chroniques du tube digestif Grêle court congénitaux ou en post résection chirurgicale Contre indications Infarctus mésentérique Angor État de choc Techniques d ’administration Sonde naso gastrique Sonde de jéjunostomie Sonde de gastrostomie Mode d ’administration Position assise ou ½ assise Continue ou

(organe) catalyseur activateur (attention pas vraiment étymologie : pas tjrs dégradation) sclérose : durcissement nécrose -lithe -pepsie -trophie exérèse fonction supprimée fonction rétablie destruction pierre digestion nourriture ablation amputation résection tractus : ensemble de conduits et de viscères creux appartenants à un système anatomophysiologique bouche : dent langue glandes sous-maxillaires, sublinguales, parotides pharynx œsophage estomac : cardia pylore intestin grêle : duodénum jéjunum

naturelle, le recours à des compléments nutritionnels oraux peut être nécessaire. ► Alimentation Les problèmes de malabsorption concernent une minorité de patients, lorsque la localisation de la maladie est iléale, et plus particulièrement en cas de résections intestinales. Dans la plupart des cas de pratique courante, il n’y a pas de conséquence pour l’administration et l’absorption des médicaments. HAS / Service des affections de longue durée et accords conventionnels -12- Guide ALD 24 « Maladie

opération qui paraît la plus intéressante. Le lambeau myocutané utilisé est celui du grand droit de l'abdomen controlatéral. La veille de l'intervention, sont réalisés sur la malade, les dessins du lambeau musculocutané au niveau de l'abdomen et de la résection cutanée au niveau du sein. Ceux-ci doivent être effectués avec soin en fonction de l'importance de l'exérèse cutanée au niveau du sein et de l'abdomen afin de réaliser une abdominoplastie correcte. La palette cutanée prélevée se situe en sous et

propres défenses immunitaires de l’organisme) Pourquoi la chirurgie ? Le traitement chirurgical curatif d’un cancer a pour but l’exérèse de la tumeur maligne et des ganglions locorégionaux, à un stade où la tumeur n’a pas encore métastasé. La résection chirurgicale est dite complète quand tout le tissu tumoral a été réséqué et que les marges opératoires sont saines.Qu’est-ce que la berge, la marge en chirurgie ? Berge = bords latéraux encrés Marge = distance entre

l’urètre qui est touché et fait une obstruction. Il y a les tumeurs superficielles, infiltrant. Les complications sont les saignements, une extension locorégional, extension métastatique Récidive vésicale sur haut-appareil. Le traitement est une résection endoscopique et anatomopathologie. Dans un 2ème temps pour les tumeurs superficielle on surveille les éventuelles complications mais pour les tumeurs infiltrantes, on fait un bilan d’extension (scanner) et si on peut retirer la tumeur on le fait

médian du pont, un sillon et des sillons collatéraux sur la moelle allongée et enfin les pyramides de moelle allongée et la saillie des olives de la moelle allongée. 2. Noyaux du Tronc cérébral -Sur une vue postérieure du tronc cérébral et après résection du toit du V4, on voit un sillon médian et le sulcus limitans = plancher du 4ème Ventricule. On retrouve de nombreux noyaux : Des noyaux pontiques : noyau rouge, noyau du toit, locus niger,… et une substance réticulée = d’association comblant espaces

d’informer, le médecin est dispensé d’informer son patient 8 sur les risques graves inhérents aux investigations ou aux soins qu’il propose. Caractérise, par exemple, une telle impossibilité la nécessité de procéder à un acte chirurgical de résection endoscopique, source de risque non révélé, qui s’est imposé en cours d’intervention, comme une nécessité anatomique. Il s’agit essentiellement du cas ou le malade est inconscient. Volonté du patient : La volonté du patient d’être tenu dans l’ignorance

des démences et du vieillissement normal 4- Autres troubles mnésiques 57 1- Troubles permanents par lésion focale a- lésions hippocampiques • cas H.M. (Milner et al, 1968) épilepsie incontrôlable par traitement médicamenteux 1953 (27 ans): résection bilatérale du lobe temporal médian amygdale, uncus, gyrus hippocampique, 2/3 ant hippocampe syndrome amnésique séquellaire QI N, pas de troubles perceptifs, pas de troubles de la mémoire procédurale oubli à mesure majeur (amnésie antérograde)

de 82 ans, en chambre simple, entré le 29/01/2013 par les urgences dans le service de chirurgie uro-digestive 2.1) contexte de la prise en charge Entré le 17/12/2013 par les urgences dans le service de chirurgie uro-digestive pour une REP (résection endoscopique de la prostate), il est à deux jours d’hospitalisations 2.2) contexte familial et social Mr G est marié vivant avec son épouse dans une maison à Marine. La famille à proximité sont : sont frère, son neveux. Les fréquences des visites