Résonance magnétique nucléaire

Chapitre 3 : Résonance magnétique nucléaire. C’est un outil pour l’étude du vivant, une méthode transversale qui fait appelle à énormément de disciplines comme les mathématiques, la physique, l’informatique et l’électronique. Ca apporte des réponses sur la physique des matériaux mais aussi sur la chimie du vivant. C’est donc utilisé en physique, chimie, biologie et la médecine (où on parle d’IRM). On se base sur le proton H1 qui est l’isotope le plus stable et qui a le moins de chance de subir

Aimants et matériaux magnétiques Les aimants supraconducteurs pour la fusion Démontrer que la fusion par confinement magnétique pourrait devenir une source d’énergie dans la seconde moitié du siècle est la mission dévolue à ITER. Ce tokamak, qui commencera à fonctionner en 2016 sur le site de Cadarache (Bouchesdu-Rhône), constituera une étape essentielle vers la mise au point d’un réacteur de fusion électrogène. De par son savoir-faire acquis avec Tore Supra au sein de son association avec Euratom

médicale permettent de détecter certaines maladies neurologiques dont Alzheimer, Parkinson ou même encore la Sclérose en plaques. Ainsi durant notre étude nous nous intéresserons sur ces machines médicales notamment sur l'IRM (l'Imagerie par Résonance Magnétique) qui semblent être une innovation technique qui avec le temps pourrait changer l’avenir du diagnostic. C'est pourquoi durant cette étude nous étudierons en quoi l'IRM a-t-elle un intérêt propre à la détection de la maladie d'Alzheimer? Au

Elle a été adaptée à des problèmes de Chimie vers 1950. Base de la RMN : magnétisme nucléaire Phénomène basé sur l’énergie d’interaction des moments magnétiques nucléaires avec un champ magnétique extérieur . Seuls les atomes dont le noyau possède un moment magnétique donnent lieu au phénomène de résonnance.  : moment magnétique  : rapport gyromagnétique du noyau considéré  : spin nucléaire (moment de spin) Spin : Dans la théorie quantique, c’est la transformation des objets sous

composés par méthodes spectroscopiques. I. Principes généraux de la R.M.N. 1. Spectroscopies : interaction onde/matière a. L’onde électromagnétique b. Absorption/émission c. Les différentes spectroscopies 2. Spin nucléaire et résonance a. Levée de dégénérescence b. Le phénomène de résonance 3. Basse et haute résolution a. Noyaux en RMN b. Spectres basse résolution c. La haute résolution d. Déplacement chimique 4. L’expérience RMN a. L’appareillage b. L’expérience RMN II. La Spectroscopie R.M.N.

(pour détecter les icebergs suite au naufrage du Titanic) ; en 1955 qu’Inge Edler (1911-2001). La résonance des noyaux des atomes (résonance nucléaire) soumis à un champ magnétique a été découverte en 1945 par Edward Purcell et Félix Bloch, tous deux prix Nobel en 1952 ; c’est en 1973 que le chimiste américain Paul Lauterbur obtient, chez un animal, le premier cliché en imagerie par résonance magnétique. Enfin, la découverte de la radioactivité naturelle par Henri Becquerel, Pierre et Marie Curie,

moindre. Pour un domaine de longueur d’onde donné, quasiment tous les types de rayonnement électromagnétique trouvent des applications en chimie : [pic] Les rayons X sont utilisés en cristallographie. Les ondes utilisées en résonance magnétique nucléaire (RMN) appartiennent au domaine des ondes radio. Il existe de la spectroscopie UV et IR. Quelle que soit la méthode, de l’énergie est apportée à la molécule par une onde électromagnétique. Selon la quantité d’énergie absorbée par la

imageries médicales par résonance magnétique grâce a un ajout de composant augmentant leur visibilité de contraste. Ces nanoparticules sont composées essentiellement de perfluorocarbone un composé qui est à la base du sang artificiel et qui est bien toléré par l’organisme. - les nanorobots : en ce moment, des chercheurs mettent au point des nanorobots capables de se promener dans le corps humain grâce a un appareil d’imagerie médicale par résonance magnétique nucléaire modifié. Cette sorte de nanotechnologie

extraite du spectre RMN. En effet, les signaux peuvent présenter des structures fines (multiplets …) caractéristiques des groupements de noyaux qui les entourent. Ce phénomène provient de l’interaction magnétique entre spins ou couplage spin-spin. Il existe deux mécanismes de couplage entre spins nucléaires : l’interaction dipolaire et le couplage spin-spin indirect. L’interaction dipolaire se fait entre spins à travers l’espace. Dans un milieu isotrope (en solution), elle est nulle, en moyenne, et

entoure. C’est ce que nous appelons la radioactivité naturelle. La radioactivité est aussi générée artificiellement par l’homme. Ainsi, des rayonnements radioactifs les "radioéléments", sont générés lors de la production d’électricité par l’énergie nucléaire et pour toutes sortes d’autres applications de la radioactivité, par exemple pour la détection et la guérison de maladies, la datation d’oeuvres d’art et de découvertes archéologiques, etc. Il existe deux modes d’exposition aux rayonnements: par