Respect Lycée

(1804/1893) Victor SCHOELCHER est d'origine alsacienne. Il est né en 1804 et fut l’un des précurseurs de luttes sociales bien contemporaines :  Opposant à la peine de mort.  Amélioration du sort des femmes.  Abolition de l'esclavage.  Tolérence, respect, démocratie, solidarité. Ces valeurs sont communes à ce grand homme et au Centre Social et culturel (CSC) de CRONENBOURG. Cette association à vu le jour en 1969 grâce à une poignée d'habitants qui ont souhaité développer une vie associative dans

prescrite est liberté ».La notion de devoir atteint avec Kant un caractère absolu : dans « la Critique de la raison pratique » il présente une morale du devoir comme un « impératif catégorique », fondée sur l'autonomie de la volonté humaine et le respect de la loi universelle. Le devoir n'est pas qu'une notion intellectuelle mais aussi une réalité sociologique. C'est en premier lieu un terme d'échanges, matériels ou contractuels : c'est ce qu'il faut donner en contrepartie de ce que l'on a reçu ;

public. Il convient de définir clairement ce qu'est l'ordre public afin de mieux comprendre les enjeux qu'il sucsite. Celui se définit par son caractère matériel, public et limité. Par le biais de la police administrative l'ordre public englobe le respect de la tranquilité, la sécurité et la salubrité publique. L'ordre public est ici entendu dans son sens traditionnel, d'ordre matériel et intérieur(Hauriou). La notion d'ordre public et très intéressante mais complexe puisque très évolutive. En effet

l'homme en civilisation" que Péguy comparera la pauvreté à un réduit, un asile sacré, permettant à celui qui s'y bornait de ne courir aucun risque de tomber dans la misère. Les pauvretés conviviale (a simplicité, la frugalité, la mesure et le respect des autres et de la nature, un mode de vie qui a été "la condition normale de l'homme en civilisation)La pauvreté dans laquelle a depuis toujours vécu l’essentiel de l’humanité est une pauvreté conviviale. Elle s’inscrit dans un monde socialisé où

et sur la Loi Morale. Dans ce texte extrait des Fondements de la Métaphysique des Mœurs, Kant traite du devoir de toute personne d’être bienveillant aussi souvent que possible, mais fait apparaitre une condition nécessaire pour « mérit[é] » le « respect » du à ces actes. Partie 1 : Kant admet que la bienfaisance fait parti du devoir de tout homme, on se doit de faire un acte charitable dès que possible. Être bienfaisant, quand on le peut, est un devoir, et de plus il y a de certaines âmes si

18-29 ans sont ouverts, ils ne condamnent plus les comportements qualifiés de déviants il y a une trentaine d’années. M. Fournier souligne également que ces derniers ne sont plus rétractataire à l’autorité ou à ce qu’il incarne puisqu’ils prônent le respect de la loi et de la police. La fidélité augmente aussi dans son importance chez les jeunes. A. Gavalda partage cette opinion : les jeunes sont capables de générosité, de solidarité exprimée par le champ lexical du partage (accueil). Leur générosité

où il y avait beaucoup de salles de jeu, et il a perdu tout son argent. Le vrai joueur ne joue pas pour l'argent mais pour le risque et, accessoirement, pour le statut qu'il obtient aux yeux du monde en gagnant. Le joueur qui gagne acquiert le respect des autres, celui qui perd est rabaissé. Le jeu est une cruelle dépendance. Toute victoire n’est que provisoire et le joueur finit par subir toujours de plus sérieux revers. Conclusion L'histoire d'Alexeï et aussi de millions d'autres, est

devoir n'est non seulement un être qui fait le bien mais tout autant quelqu'un de libre? Définir le devoir et la liberté selon Kant Le devoir : Le devoir est une obligation, morale. Le devoir se réfère au respect de la loi. Donc, si tous les individus font leur devoir, chacun va respecter la loi, et la loi a pour but de garantir la liberté de chacun en empêchant que les un empiètent sur la liberté des autres. L'obligation morale doit être différenciée de ce qui est absolument nécessaire. Ce qui

| | | | | |MORALES: respect de la dignité des personnes (il faut | | | | |faire rire des défauts d'un type

L'amour est-il nécessaire au respect ? Est-il une condition de celui-ci ? Qu'est-ce donc que le respect ? Ne respecterai-je que les personnes que j'aime ou dois-je respecter aussi les personnes haïssables ? Il faut donc commencer par produire une définition précise du respect. Au sens premier, le respect est un sentiment (d'où la proximité possible avec d'autres sentiments comme l'amour) qu'impose la valeur d'une personne, d'une idée ou d'une règle et qui conduit à s'abstenir de toute action ou de