Respecter Nature Progres

d'obscurité et d'ignorance et d'entrer dans un nouvel âge illuminé par la raison, la science et le respect de l'humanité. Le « Siècle des lumières » est en effet marqué par le rationalisme philosophique et l'exaltation des sciences, ainsi que par la critique de l'ordre social et de la hiérarchie religieuse. Et il est caractérisé par une entière confiance dans la raison humaine et une foi optimiste dans le progrès. Les écrivains et philosophes ne se contentent pas de raconter des histoires, mais veulent réfléchir

ensuite les impacts constatés sur le travail. I- Les effets du développement des TIC sur l’emploi A. Disparition de certains emplois Le progrès technique peut avoir un effet négatif sur l’emploi, à court terme, En effet, il peut engendrer du chômage, plus précisément du « chômage technologique » lorsqu’il s’agit de chômage dût aux progrès techniques. La modernisation des modes de production, entraine donc une perte d’emploi chez certains salariés. L’automatisation de certaines taches

culture. Au sein d'une communauté on a une cohésion forte, des liens profond de nature durable et affectif. L'AUTORITÉ, l'idée qu'il y a un ordre interne qui s'impose au individu d'une communauté, reconnu dans sa légitimité (accepter des autres), on ne la remet en cause qu'a travers la tradition, allégeance, la religion. On lui obéit et on lui est fidèle. Le STATUT, la position d'un individu dans une hiérarchie, un respect du métier qui passe par le statut d'apprenti. Les gens d’Église sont très

Lumières, de “progrès social” (ou “sociétal”), au sens où “la société de demain peut être meilleure que celle d’aujourd’hui”, soulignant ainsi que cette amélioration dépend du choix des individus et des collectivités plutôt que d’un décret divin  ou d’une fatalité obscure. Mais parler de “société meilleure” confère évidemment au concept une multiplicité de dimensions, ainsi qu’une nature normative dont il faut préciser les critères et les choix. La multiplicité des dimensions du progrès possible de

humaines sont soumisses aux même lois que la nature. Il veut alors reconstruire les fondements rationnels de la politique avec le modèle de géométrique. L’âme c’est la religion (le bien/mal) et le corps-matière c’est la science (raison). Il élabore le matérialisme ce qui veut dire que tout ce qui existe est matériel. Puis le nominalisme qui est une thèse qui souligne la dimension langagière de notre connaissance et de notre faculté de penser. L’État de nature chez Hobbes : C’est une société sans

DOIT-ON RESPECTER LA NATURE ? Qu’est ce que respecter quelqu’un ? Le respect revient à reconnaitre la valeur de la personne, sa dignité. On respecte la personne humaine car elle a une moralité. La nature est l’ensemble des êtres animés ou non animés. Elle ne résulte en aucun cas de l’activité de l’homme. Doit-on respecter la nature ? Dans un premier temps nous verrons que certes il faut respecter la nature, créatrice de l’homme. Dans un seconde temps nous verrons que malgré tout, l’homme

entre l'objectif et le subjectif « brouillé ». Il y a des philosophes qui vont de l'existentiel à l'universel et vice versa. La philosophie comme jeu de la vie et de la théorie Les vérités existentielles et les vérités universelles sont de natures très ≠. Vocation de la philosophie = créer des liens entre l’universel et l’existentiel.  Jeu entre la théorie (pôle universel) et la vie (pôle existentiel). La philosophie n’est pas seulement existentielle  elle n’est pas une manière de vivre

Définissent de façon universelle les droits et les devoirs de chaque être humain quel qu’il soit. Ils sont impuissants et ne peuvent donc changer le monde car ils ne sont pas respectés. Sans eux il y a anarchie. Justice : Souvent impuissant, la justice est un principe moral de la vie sociale fondé sur la reconnaissance et le respect du droit des autres qui peut être : le droit naturel (Le droit naturel est l'ensemble des droits que chaque individu possède du fait de son appartenance à l'humanité et

trouver sociables et raisonnables B) Cerner la nature humaine (XVIIe siècle), discours, pensées, sermonsdes discours (Descartes), des pensées (Pascal), des sermons (Bossuet) ; des formes brèves comme les Maximes (La Rochefoucauld) découverte de l’infini ; travaux de Copernic : la terre n’est plus au centre du monde ; début de la médecine moderne (Harvey) ; Pascal s’interroge sur la place de l’Homme dans ce grand tout opposition entre nature humaine et nature animale (Descartes), l’homme se distingue de

Introduction Générale et Problématiques I. CONTRE MAIS AVEC LA NATURE : LE TRAVAIL ET LA TECHNIQUE A. « … (Comme) Maîtres et Possesseurs de la Nature » 1. Travail, Technique et (Connaissance de la) Nature 2. De la Maîtrise de la Nature à la « Dénaturation » B. La Technique : Travail et Dépendance 1. La Sortie de l’état de Nature 2. Travail et Nature 3. Travail et Propriété II. LE TRAVAIL ET LA TECHNIQUE : LA QUESTION DE LA LIBERTÉ A. Le Progrès Technique, Facteur de Libération ? 1. La Neutralité de la