Hobbes
Il veut reconstruire les fondements rationnels de la politique. Selon lui, les sens et la raison obéisse aux lois physiques. Il cherche à appliquer les connaissances scientifiques aux domaines moraux et politiques. Il rejette le dualisme de Descartes, car les affaires humaines sont soumisses aux même lois que la nature. Il veut alors reconstruire les fondements rationnels de la politique avec le modèle de géométrique. L’âme c’est la religion (le bien/mal) et le corps-matière c’est la science (raison).
Il élabore le matérialisme ce qui veut dire que tout ce qui existe est matériel. Puis le nominalisme qui est une thèse qui souligne la dimension langagière de notre connaissance et de notre faculté de penser.
L’État de nature chez Hobbes :
C’est une société sans lois qui ne détient aucun progrès, travail, technologique, etc. C’est une guerre chacun contre chacun. Puis c’est une condition misérable. Il y a un principe de conservation. Il y a trois facteurs (axiomes) dans cette société comme l’égalité qui est une condition naturelle que les êtres sont tous égaux et détiennent les mêmes facultés. On peut compenser notre désavantage naturelle par d’autre. La rivalité est une conséquence de l’égalité. On n’a aucune garantie que personne ne viendra prendre ce qu’on a. La défiance est une conséquence de la rivalité. La justice est une notion artificielle, car sans lois on doit se faire justice soit même. Le droit de nature est la liberté que l’homme a d’user son pouvoir pour sa vie. Il le fera selon son jugement et sa raison propres. Il a trois passions pour sortir de l’État de nature :
La crainte de la mort
Le désir des choses confortables
L’espoir d’obtenir, par son activité, les objets de son désir
Pour vivre heureux, il faut avoir avant de s’accomplir :
Besoin physiologiques
Besoin de sécurité
Besoin d’apparence
Besoin d’estime
Besoin de s’accomplir
Le contrat social chez Hobbes :
Il y a trois lois