Resume Sur La Mercantiliste

science anglo-saxonne 1 – Le changement dans les théories de la dynamique économique a – Mercantilisme et économie naturelle Adam Smith représente un tournant dans les théories de la dynamique de l’ordre économique. Avant lui domine la doctrine mercantiliste. La richesse économique globale y est représentée comme une quantité immuable, de même que la quantité de mouvement dans l’univers cartésien. L’augmentation de la richesse d’une nation ne peut donc se faire qu’au détriment d’une autre, la richesse

c’est-à-dire échanger par un détour argent contre argent, idem contre idem, une telle opération semble aussi sotte qu’inutile48. Une somme d’argent, en tant qu’elle 48 « On n’échange pas de l’argent contre de l’argent », crie Mercier de la Rivière aux mercantilistes (op. cit., p. 486). Voici ce qu’on lit dans un ouvrage qui traite ex professo [d’un point de vue technique] du commerce et de la spéculation: « Tout commerce consiste dans l’échange de choses d’espèce différente; et le profit [pour le marchand

industrielle capitaliste a balayé la vision idyllique d’un comportement contemplatif, détaché et aléatoirement fécond. L’acte de penser (même en recherche fondamentale) s’est recroquevillé, soumis aux contraintes de l’efficacité productiviste et mercantiliste. Et c’est une superposition sémantique qui l’a progressivement vidé de sa substance par la prééminence progressive d’un faux synonyme : Rationnaliser ! Nous sommes peut être là face à un extraordinaire détournement de langage, une spoliation de

Age: 31 Date d'inscription: 15/08/2008   * * * * * * * Autre réponse de 2008   brusop le Lun 11 Jan - 12:35 La notion de balance des paiements (BDP) est très ancienne puisqu’elle remonte aux économies mercantilistes du 16éme siècle. Au départ, simple relevé des exportations et des importations de marchandises d’un pays, la BDP est devenue progressivement un document plus complexe en raison de l’intensification des échanges à la fois réels, monétaires et financiers

supposent concession d'avantages à autrui dans l'attente d'avan­ tages en retour. Or, s'agissant de certains services, là demande en est très importante alors que l'offre demeure restreinte: comment sortir de cette situation de déséqui­ libre? L'auteur résume ainsi les options ouvertes dans une relation dy-adique où B a besoin des services de A mais ne peut rien en retour lui off~ir d'acceptable. Hypothèse l :l'identifier lJ « t"ffet camé­ ln à 'f rallier, '80 ~érieures B tente de se passer des services

affirmation de la propriété qui trouveras un échos, au moment de la Révolution et notamment dans le code civil. Les physiocrates, défenseurs de la propriété, les physiocrates également, défenseurs de la liberté économique contre la politique mercantiliste, la politique annonaire d’un Colbert, qui maintenait à un niveau faible, le prix des produits agricoles et ceci pour favoriser l’industrie. Les physiocrates, eux, réclament la liberté de circulation des grains de province à province qui

deviennent une préoccupation des gouvernants. L’exemple le plus célèbre en la matière sous l’Ancien Régime est celui de Colbert dans la seconde moitié du XVIIe siècle. En effet, le contrôleur général des finances de Louis XIV mène une politique mercantiliste, laquelle vise à enrichir le royaume en limitant les importations tout en encourageant les exportations afin d’augmenter le stock d’or et d’argent en France. Dans cette optique, l’Etat n’hésite pas à intervenir dans l’économie, notamment en créant

canon.» L'une des grandes excroissances de la casuistique économique de ces dernières années est la « théorie des incitations » (2). Elle a dû remplir quelques bibliothèques d'articles impénétrables et laborieux autant que sublimes, qu'on pourrait résumer ainsi: pour produire mieux, il faut de la confiance et de la transparence. Chapeau! Au Moyen Âge et jusqu'aux Lumières, la casuistique a fait vivre pendant des générations des milliers de clercs dévoués à une « science » qui a fini par disparaître

pages in-8. Les passages ci-dessous sont donnés à partir de la traduction de P. Chambry ( Xénophon, Œuvres complètes, tome 2 GarnierFlammarion 1967 p. 307-381). Le premier chapitre est donné intégralement. Pour les autres chapitres, seul est donné le résumé qui figure dans le livre - et qui est donc l’œuvre de Chambry. Entre parenthèses, la traduction de certains mots par Pierre Chantraine (Paris 1949), plus précise que celle de Chambry. CHAPITRE PREMIER (4 pages) : L’économie est l’art de gouverner

leurs conditions de production (formes de propriété). Celles-ci représentaient autant d’entraves préalables aux forces productives, et l’on se contentait de reproduire les conditions existantes. En conséquence, l’accroissement de la population, qui résume à lui tout seul le développement de toutes les forces productives, devait trouver devant lui un obstacle extérieur, si bien qu’il apparaissait comme quelque chose qui devait être restreint. Les conditions de la communauté n’étaient compatibles qu’avec