Resumé De Fantine

étendre ce propos au théâtre en général. Invention : 1) Vous projetez de mettre en scène Tartuffe. Vous réécrivez la scène d’exposition en supprimant le personnage de madame Pernelle. Dans la rédaction de votre projet, vous consacrez un paragraphe au résumé de cette nouvelle scène et un paragraphe aux indications de jeu que vous souhaiteriez donner aux acteurs. 2) Un défenseur de Beckett, favorable au renouvellement des formes théâtrales et un partisan du théâtre classique dialoguent à l’issue d’une

André Durand présente ‘’Germinal’’ (1885) roman d’Émile ZOLA (500 pages) pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’examen de : l’intérêt de l’action (page 11) l’intérêt littéraire (page 18) l’intérêt documentaire (page 34) l’intérêt psychologique (page 48) l’intérêt philosophique (page 63) la destinée de l’œuvre (page 67) l’étude d’un passage (page 72) Bonne lecture ! Résumé Première partie Chapitre I : Un lundi de février 1865, vers trois heures du matin, un homme arrivait

peinaient et récoltaient le mépris des puissants. ____________________________________________________________ _____________________ ‘’Morts de quatre-vingt-douze…’’ (septembre 1870) Poème Commentaire Le texte cité en épigraphe est résumé d’un article du 16 juillet du journal bonapartiste ‘’Le pays’’ où les républicains étaient invités à se souvenir qu’« à pareille époque, en 1792, les Prussiens entraient en Lorraine » ; où il était proclamé : « Vous fûtes grands et nobles, souvenez-vous

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Germinal’’ (1885) roman d’Émile ZOLA (500 pages) pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’examen de : l’intérêt de l’action (page 11) l’intérêt littéraire (page 18) l’intérêt documentaire (page 34) l’intérêt psychologique (page 48) l’intérêt philosophique (page 63)

sans qu’elle les sentît passer ». Le rythme de cette longue phrase semble d’ailleurs épouser la langueur de ses journées passées à d’interminables projections dans l’avenir. On peut noter aussi que ses espoirs de rencontrer le prince charmant, que résume bien son expression « son attente d’amour », constituent paradoxalement une véritable occupation, ce que souligne le champ lexical de l’activité qui s’y rapporte : « préoccupée », « affairée », « agitation » alors que la rêverie est plutôt une vacuité

sans qu’elle les sentît passer ». Le rythme de cette longue phrase semble d’ailleurs épouser la langueur de ses journées passées à d’interminables projections dans l’avenir. On peut noter aussi que ses espoirs de rencontrer le prince charmant, que résume bien son expression « son attente d’amour », constituent paradoxalement une véritable occupation, ce que souligne le champ lexical de l’activité qui s’y rapporte : « préoccupée », « affairée », « agitation » alors que la rêverie est plutôt une vacuité

sans qu’elle les sentît passer ». Le rythme de cette longue phrase semble d’ailleurs épouser la langueur de ses journées passées à d’interminables projections dans l’avenir. On peut noter aussi que ses espoirs de rencontrer le prince charmant, que résume bien son expression « son attente d’amour », constituent paradoxalement une véritable occupation, ce que souligne le champ lexical de l’activité qui s’y rapporte : « préoccupée », « affairée », « agitation » alors que la rêverie est plutôt une vacuité

un jury composé des personnes suivantes : Christine Bernier ……………………….. Présidente- rapporteure Élise Dubuc ……………………….. Directrice de recherche Reesa Greenberg ……………………….. Codirectrice Luis de Moura Sobral ……………………….. Membre du jury iii RÉSUMÉ Ce mémoire, consacré à la mise en exposition des œuvres d’art spoliées par les nazis, est particulièrement dédié à la vague d’expositions actuelles opérant de 2005 à 2010. À travers cet événement muséal unique de l’ordre d’une exposition temporaire

Suivront le recueil majeur Les Contemplations (1856) et, surtout, le monumental roman Les Misérables (1862), d’abord intitulé Les Misères, chef-d’œuvre dont l’action se situe certes entre 1815 et 1832, mais qui, avec les figures inoubliables de Fantine, Gavroche et Valjean, transpose la réalité sociale subie par les femmes, les enfants et les parias des couches les plus défavorisées du Second Empire. Avant son retour d’exil, Hugo publiera encore L’Homme qui rit (1869), roman moins connu que Les

sans qu’elle les sentît passer ». Le rythme de cette longue phrase semble d’ailleurs épouser la langueur de ses journées passées à d’interminables projections dans l’avenir. On peut noter aussi que ses espoirs de rencontrer le prince charmant, que résume bien son expression « son attente d’amour », constituent paradoxalement une véritable occupation, ce que souligne le champ lexical de l’activité qui s’y rapporte : « préoccupée », « affairée », « agitation » alors que la rêverie est plutôt une