Resumé De Ziméo

Résumé de Ziméo de Saint-Lambert. C’est « je » qui raconte l’histoire (« Je » fictif, censé être George Filmer qui relate son récit de voyage). « Je » rend visite à son ami Paul Wilmouth aux Antilles. En revenant de chez son ami, il était abattu de tristesse car, en parcourant les campagnes, il avait vu des habitations où des esclaves étaient maltraités. Son ami, Wilmouth, lui, avait des esclaves mais ils exprimaient leur joie sur leur visage. Un jour, une révolte éclate. Le chef des esclaves

« Trois contes philosophique » est un ouvrage dans lequel apparaît un texte de Saint-Lambert nommé « Ziméo », comme le prénom du héro ; on appelle ceci un héros éponyme. L’histoire conté à lieu en Jamaïque, où à lieu une révolte : celle des esclaves noirs. Il s’agit de l’histoire de Ziméo. Dans ce récit nous allons tenter étudier comment Saint-Lambert dénonce l’esclavage. Tout d’abord, l’auteur parle de lui, en nous racontant qu’il avait voyagé jusqu’en Jamaïque, où il avait rendu visite à un

et content ». II Sur Ziméo de Saint-Lambert 1) Le nom du personnage de l’histoire Ziméo rappelle les consonances africaines et le nom d’Oronoko personnage principal du livre de Thomas Southern et source d’inspiration de Saint-Lambert. Ce récit se développe à l’époque du commerce d’esclaves, dans un contexte de révolution dans les colonies plus exactement en Jamaïque ou les noirs retenus en esclavage se révoltent contre les blancs qui les oppriment. 2) Ziméo était prêt à tout tant qu’il

Résumé de Trois contes philosophiques Les hommes peuvent-ils vivre ensemble sans se déchirer ? La différence entre les peuples justifie-t-elle que certains d'entre eux exercent leur domination sur les autres ? Vaut-il mieux se fier à l'opinion publique qu'à sa propre raison ? Tour à tour graves, légères et ironiques, trois grandes voix des Lumières s'élèvent contre les travers de la société. Une critique toujours aussi percutante aujourd'hui. Le dossier de l'édition présente les différentes définitions

exerce sur le peuple, lignes 2 et 3 : « voler », « piller », « dépouiller », « enlever » … La misère et l’envie de déposséder autrui sont les dénominateurs communs de ces verbes. Les forfaits (=crimes, fautes) du tyran, les exactions (=vols), sont résumés à travers une énumération, ligne 6, « dégâts, malheurs, ruines », de termes péjoratifs voire hyperboliques quistigmatisent (=mettre en évidence) les défauts du tyran. Celui-ci ne doit pas sa place à ses qualités de chef, au contraire, puisqu’il gouverne