Retable d'Issenheim

paradoxe de la couleur ou la dissonance d’une caricature. Ce genre d’effet est si fort dans la “Sainte Conversation” ou “Retable Ognissanti” de 1518 que le commanditaire, refuse l’œuvre. Assomption, fresque, 1517, Rosso Fiorentino, (Florence, Santissima Annunziata) Madone entre quatre saints (Sainte Conversation), 1518, Rosso Fiorentino, (Florence, Galerie des Offices). Le retable représente la Vierge et l’Enfant entre saint Jean Baptiste, saint Antoine Abbé, saint Étienne et saint Jérôme. Les visages

cm chacun. Le peintre a utilisé la technique ancestrale de la tempera également souvent utilisée pour les tableaux religieux 1) Genre ou formes de l'oeuvre Cette œuvre est un polyptyque (tableau en plusieurs parties), elle rappelle la forme des retables : dans une église, c'est un tableau placé sur un autel et sur lequel sont représentés les épisodes de la vie du Christ et des saints de la Renaissance. C'est une oeuvre figurative, car on peut reconnaître des éléments du réel. Elle appartient au

1958, réédition Ophrys, 2011. ------------------------------------------------- III/ Composition 1. Structure : Otto Dix utilise les codes artistiques des maîtres de la Renaissance. La forme de son tableau est inspirée de celles des retables (peintures sur de grands panneaux de bois qui s’ouvrent et se ferment), présents dans les églises. 2. Couleurs : Otto Dix utilise avec virtuosité les techniques des maîtres anciens pour nous plonger dans une atmosphère saisissante faite

Nuremberg pour épouser Agnès FREY, selon la volonté des deux familles. Après avoir voyagé à travers la France et l’Allemagne, il séjourne à deux reprises à Venise (en 1494 et 1505), ce qui le marquera profondément. Lui est fait alors, la commande d’un retable pour l’autel de Notre-Dame, dans l’église nationale de la colonie allemande à San Bartolomeo. En 1507, il retourne à Nuremberg et décide d’étudier les langues et les mathématiques. Il reçoit en 1512, une pension de l’empereur Maximilien De HABSBOURG

commandé le 7 septembre 1611 par la confrérie des Arquebusiers et peint de 1612 à 1614. C’est une peinture à l’huile sur bois. C’est un retable sous forme de tryptique (œuvre peinte en trois panneaux). L’ensemble du tryptique mesure 420x610 cm (420x150 + 420x310 + 420x150). L’œuvre se situe à la cathédrale Notre Dame d4anvers derrière l’hôtel (retable). Le thème iconographique des trois panneaux est centré autour de l'action de porter le Christ, depuis le ventre de Marie désigné dans la

peinture flamande. Le chancelier Nicolas Rolin (1376-1462), un des hommes les plus riches et les plus puissants de son époque, a commandé le retable pour l'hôpital de Beaune qu'il avait fondé en Bourgogne en 1443 avec sa troisième épouse, la dévote Guigonne de Salins, pour le salut de leurs âmes… et pour s'occuper aussi bien des pauvres que des malades. Le retable était prévu pour la chapelle qui se tenait à l'extrémité de la salle de l'hôpital. La « grande salle des pauvres" de l'Hôtel-Dieu à Beaune

L’art du retable : ● Le nom retable vient du latin retro tabula altaris : en arrière d'autel. Le retable appartient donc à l’art religieux puisqu’on trouve les retables dans les églises. ● Le retable appartient à l’art religieux. ● Il est souvent constitué de plusieurs parties.  ● C’est une composition (verticale) généralement en bois, comportant des décors peints et sculptés.  ● Il est toujours rectangulaire, composé de volets que l’on ouvre pour en voir les peintures intérieures.

I-Description : 1) Thème : Dans cette œuvre, Otto Dix aborde le thème de l'horreur des champs de bataille. 2) Genre ou formes de l’œuvre : Cette œuvre est un polyptyque (tableau en plusieurs parties), elle rappelle la forme des retables : dans une église, c'est un tableau placé sur un autel et sur lequel sont représentés les épisodes de la vie du Christ et des saints de la Renaissance. C'est une œuvre figurative, car on peut reconnaître des éléments du réel. Elle appartient au genre

toute-puissante, était soumis à celui d’un dessin beaucoup plus analytique. Le nom de « Réalisme magique » que l’on donne aussi à celle-ci montre bien des rapports inédits sont instaurés avec le personnage, le paysage ou les objets. IV) Un retable : Le retable (Le retable est une construction verticale qui porte des décors sculptés ou peints en arrière de la table d'autel. L'étymologie du mot traduit d'ailleurs sa position (re- : « en arrière »). Le terme italien consacré est pala voire pala d'altar, bien

sûr. Saint Cyprien était évêque de Carthage. Elle date du XVIIIe siècle et fut construite sur l'emplacement d'une église romane dont subsistent quelques vestiges. Elle contient  cinq retables est une construction verticale qui porte des décors sculptés ou peints en arrière de la table d'autel du début du XIXe, un retable du chœur et 3 statues du XVIIIe. Un peu plus loin, il y a Argelès-sur-Mer. Le patrimoine d’Argelès-sur-Mer est assez riche. Il se compose essentiellement de l'église paroissiale,