Rethondes

l’amiral Wemyss, le général Weygand et leur suite, devant le wagon de l’armistice à Rethondes, le 11 novembre 1918. © Roger Viollet. © SCÉRÉN-CNDP, 2010 28 Adolf Hitler, Hermann Goering, Rudolph Hess et d’autres chefs nazis dans la forêt de Compiègne pour la signature de l’armistice français, le 22 juin 1940. © Ullstein Bild / Roger Viollet. Le professeur pourra faire remarquer la permanence du lieu choisi (Rethondes et le wagon qui a servi à la signature de l’armistice en 1918). Pour l’anecdote

Allemagne, des troubles révolutionnaires éclatent à Berlin et provoque l'abdication de Guillaume II: - La République est alors proclamée le 9 novembre 1918. Les représentants du nouveau régime signent alors l'armistice le 11 novembre 1918 à Rethondes. Définition de la République: régime politique dans lequel le gouvernement est l'affaire de tous. Chaque citoyen peut participer aux affaires politiques, voter et se présenter aux élections. III) La vie des civils français pendant la guerre :

partie dans la forêt de Compiègne ; il y a un hippodrome des maisons forestières, un aérium (la Faisanderie) et les sites appréciés des buttes des beaux-monts. C’est à l’extrémité orientale, près de l’Aisne, que se trouve la fameuse clairière dite de Rethondes où fut signée l’armistice de 1918 ; le wagon-salon y a été reconstitué après 1945. Au sud-ouest, un vaste quartier fait partie des « zones urbaines sensibles » (Victoire, ZUP, Clos Des Roses). L’unité urbaine Insee est donnée pour 69 000 habitants

mémoriel et historiographique encore douloureux dans la France d'aujourd'hui - la Seconde Guerre mondiale, un souvenir lourdement traumatisant à plus d'un titre - le traumatisme de la défaite : la "débâcle" symbolisée par la honteuse armistice de Rethondes - le traumatisme liée aux souffrances de l'occupation, physiques (des morts, des pénuries alimentaires...) et morales (la peur omniprésente des pillages, des rafles, du STO, de la "politique des otages"...) - le traumatisme lié à la politique de

Bulgares, les Turcs et les Autrichiens (écrasés à Vittorio Veneto, octobre-novembre 1918) cessent le combat. Une révolution éclate en Allemagne début novembre. Guillaume II abdique et la République de Weimar est proclamée. L’armistice est signé à Rethondes, dans la forêt de Compiègne, le 11 novembre 1918. Les pays se couvrent de lieux de mémoire (cimetières de soldats, monuments aux morts). II) LES VIOLENCES DE GUERRE A) L’expérience combattante (étude pp. 88-91) 1) Des conditions de vie épouvantables

septembre l’empire Ottoman et la Bulgarie cèdent et demandent des armistices En novembre 1918 : c’est le tour de l’Italie qui en profite pour gagner une victoire. L’Allemagne voudrait négocier 11 novembre 1918 arret des combats armistice signé à Rethondes fin de la guerre mondiale. Foch exige des armements lourds et l’Allemagne accepte militairement. On passe à la guerre de transitions 1915-1918. 1917 = on cherche à l’user c’est comme cela que l’on pense anéantir, ce que fait Ludendorff. C’est une

placées sous la direction du maréchal Foch. •L’avance alliée provoque une crise politique en Allemagne, où, après des événements révolutionnaires, un nouveau gouvernement républicain arrive au pouvoir et signe l’armistice le 11 novembre 1918, à Rethondes. II) L’expérience combattante 1) Les violences du champ de bataille • Premier conflit de l’âge industriel, la Première Guerre mondiale marque un tournant à cause des violences du champ de bataille. Les grandes offensives, comme celle

poursuivre la guerre avec les colonies (Charles de Gaulle) et ceux qui veulent signer l'armistice (Maréchal Philippe Pétain). Le point de vue de Pétain l'emporte et ce dernier, appelé au gouvernement le 16 juin 1940, signe l'armistice le 22 juin 1940 à Rethondes. En cinq semaines de combat, la France est battue. 92.000 soldats français ont été tués dans une bataille qui demeure sans doute la pire défaite française. L'armistice prévoit deux modifications territoriales importantes : l'Alsace-Lorraine

l'armistice. C'est lui qui, le 16 juin, succède à Paul Reynaud, démissionnaire, et qui prend la tête du gouvernement, replié à Bordeaux. Dès le lendemain, il annonce à la radio « qu'il faut cesser le combat ». L'armistice est signé le 22 juin à Rethondes, à l'endroit même de la signature de l'armistice par l'Allemagne le 11 novembre 1918. Ses conditions sont très dures. La France conserve sa flotte et le contrôle de son Empire, mais son armée est fortement réduite et elle doit payer les frais d'entretien

Royaume de Bulgarie. Ce conflit fût d'une violence jamais atteinte jusqu'alors, faisant 20 millions de morts, 21 millions de blessés et des destructions matérielles conséquentes, il s’achèvera le 11 novembre 1918, date de la signature de l'armistice à Rethondes, . Le 2 mars 1916, le capitaine de Gaulle, commandant la 10e compagnie du 33e régiment d'infanterie, est assailli de tous cotés à Douaumont par des troupes de soldats allemands coiffés de casques français pour mieux s'infiltrer. Après plusieurs