Revenu minimum

sur le marché du travail qui vient à corrigé les déséquilibres et les effets néfaste qui peuvent en résulté. La politique de l’emploi est une politique stricturelle qui comprend de mesure très diverse : réglementation du marché du travail (salaire minimum) règle de licencement, durée légal du travail) incitation à l’activité (prime pour l’emploi réduction des impots) indimnisation du chômage incitation à l’inactivité prés *** , salaire à la ***) mesure ciblé sur les chômeurs, ( formation, aide à la

illettrés ont plus de 45 ans). Ce taux important d'illettrisme n'empêche pas certaines de ces personnes d'avoir un emploi, 51 % étant dans la vie active et 23,5 % au chômage, en formation ou en inactivité. Cependant, 20 % des allocataires du revenu minimum d'insertion (RMI) sont en situation d'illettrisme. Concernant la répartition géographique, il n'y a pas de différence notable entre les zones rurales et urbaines, même si dans les zones urbaines sensibles, le taux d'illettrisme est deux fois

nature. C'est dire que de tels transferts, sont financés en général, par des transferts de fiscalité. Ainsi, une part de la taxe intérieure sur les produits pétroliers,ont été attribué aux départements, pour compenser le transfert en matière de revenu minimum d'insertion à ces derniers. Une situation qui a conduit le conseil constitutionnel à valider de tels transferts de fiscalité. Il est évident que des garanties ont été mise en place pour mieux encadrer cette autonomie financière, surtout par le

Thaïlandaise, Danse Orientale, Yoga, - Halte-garderie, - Lieu d’accueil de loisirs maternelle et primaire, - Lieu d’accueil parents/enfants, - Adultes, famille, 3e Age, - Actions d’insertion en destination du public RMI (Revenu Minimum d’Insertion). Les champs d’intervention et ses missions sont : - Sociaux, - Culturels, - Sportifs. 2. Le public accueilli Il n’y a pas de public visé. La Maison Pour Tous accueille tous publics. Il y a

différents services sociaux. Pour l’Oise il s’agit de la Direction des Interventions Sanitaires et Sociales (D.I.S.S.). Elle regroupe l’aide sociale à l’enfance (A.S.E.), le service social, la Protection Maternelle Infantile (P.M.I.) et le service du Revenu Minimum d’Insertion (R.M.I.). Depuis la décentralisation l’aide sociale est devenue une priorité pour le département. Ce service a diverses missions : Aide administrative pour les personnes âgées Insertion R.M.I. Aide sociale a l’enfance, enfance

3,3 0,1 Allocataires minima de sociaux enmilliers Revenu minimum insertion d IRMll AtLocêtion adultes êux handicâpés IIAH) Attocation supptémentaire vieittesse IASVI (Æ51 Altocation sotidarité de spécifique Attocation parcnt lAPll de isoté Atlocation supplémentaire d invâtidité lAStl ALiocation d insertion et attocation temporajreâttente lAll d IATAJ Attocetion équi\.dtent retraite remplacement IAERI AtLocêtion veuyage IAVJ Revenu sotidarité de lRS0l Ensemblê minimâ des Sociaût ,:q-ilg'

Historique de la protection sociale A savoir : 1. En France, a ses origines (fin du 19e siècle), la protection social s’est construite sur une logique d’assurance sociale professionnelle. Elle compensait le risque de perte du revenu due a l’inactivité forcée (accident, maladie, chômage, vieillesse). Elle ne couvrait que les travailleurs et leur famille Les grandes étapes après : 2. A la fin du 19eme siècle et au début du 20eme siècle, un système d’assistance sociale fut mis en place. Il était

sociale (ordonnance du 4 Oct 1945 portant création de la SS, a instauré la branche retraite => retraite de base puis retraite complémentaire pour personnes ayant travaillé et cotisé à la SS) // - assistancielle (aide sociale aux PA démunies => minimum vieillesse 1956 = quand retraite trop faible ou pas droit). Années 1950 = 1ers services d'aide ménagère comme alternative à l'hospitalisation 1962, rapport Laroque sur la politique de la vieillesse = évolution forte de la politique = priorité

personnes Sans Domicile Fixe (SDF) et principalement sur le public féminin, c’est choisir une figure emblématique de l’exclusion et analyser sa place dans notre société. Malgré les mesures sociales telles que la loi du 1er décembre 1988 instaurant le Revenu Minimum d’Insertion, la loi dite Besson du 31 mai 1990 instaurant le droit au logement et la loi de lutte contre les exclusions du 29 juillet 1998, certaines personnes restent encore « à la rue ». L’isolement, l’exclusion, la dissolution des liens sociaux

travail social. Par exemple, les personnes qui relèvent de la politique de la ville ne sont pas incapables de travailler. Dans un premier temps, on a donc fourni un effort d’accompagnement auprès d’elles avec pour objectif le retour à l’emploi. Le Revenu minimum d’insertion (RMI) et, plus globalement, les politiques d’insertion étaient alors pensées comme provisoires. Mais que faire pour ceux qui restent dans ces dispositifs d’aide sans retrouver un emploi ? Ils ne sont pas dans l’incapacité de travailler