Reviens-moi

Lantier rentra finalement à sept heures. Il était ivre mort. Gervaise le disputa et lui demanda ce qu’il avait fait pendant toute la nuit .Lantier presque incapable de répondre, lui dit : <<Je cherchais du travail. -Tu te moques de moi ? Tu reviens complétement soul et tu me racontes que tu cherchais du travail ? Lui répondit Gervaise. -Je n’ai pas envie de parler avec toi j’ai passé une dure nuit. Il faut que je dorme. -En plus, je t’ai vu avec la petite Adèle. Elle était juste derrière

assez de terres pour toi, et mon père. Bien qu’il soit un maire énergique, à 65 ans, il sera trop heureux finalement de passer la main pour les terres, j’en suis sûre. En espérant que tu es une permission prochainement, Je te laisse mon chéri, reviens vite. Germaine, qui te sera toujours dévouée.

redevient oiseau. Mon bel oiseau couleur de feu, Rempli d'espoir et de vigueur, Déploie pour nous mille splendeurs Quand tu t'élances vers les cieux. Mon bel oiseau de l'univers Que le vent porte en Alaska Et jusqu'aux monts d'Himalaya, Reviens-nous vite par les airs. Mon bel oiseau, te revoilà, Mon phénix toujours renaissant, Allant, venant et ravivant Des symphonies d'alléluias.

référence aux usines à charbon signe de modernité à l’époque. La pluie est l’image de la tristesse dans ce poème, elle y est présente au début, dés le premier vers « éternelle pluie », « les flaques d’eau  ». Elle s’attenue dans la deuxième strophe, puis reviens dans le deuxième vers de la troisième strophe « l’averse toujours » « la boue », preuve que sa tristesse de la vie et toujours présente et dure… La « brume de suie » peut aussi être l’image de la pollution, synonyme de morosité et de tristesse.

au fil du poème, des pronoms personnels et des adjectifs possessifs de la première et de la deuxième personnes. C’est pourquoi on peut lire ce poème comme une lettre adressé à l'absent : la formule anaphorique " n'écris pas " qui, par huit fois, reviens comme un refrain dans le texte, au début et à la fin de chaque strophe, est une véritable supplication. Marceline Desbordes-Valmore demande à l'homme qu'elle aime de cesser tout contacts avec elle, car cela raviverait la douleur profonde qu'elle éprouve

j'en ai vraiment besoin de ces messages, de toi, de ta présence, s'en est devenue une drogue maintenant, moi sans toi? Je peux plus, non ce n'est pas des paroles en l'air moi sans toi je ne peux vraiment pas, ce n'est pas possible. S'il te plaît reviens moi, qu'est-ce que j'ai fait de mal ? J'ai seulement dit que je t'aimais et que ces filles me faisaient peur. M'oublie pas.. Rien qu'en imaginant ça, ça me rend dingue.. Ah oui j'avais oublié si j'étais juste ton texto flirt du moment tu pourras supprimer

Puis ce fut un hurlement dans la montagne : Elle pensa au loup ; de tout le jour la folle n'y avait pas pensé... Au même moment une trompe sonna bien loin dans la vallée. C'était ce bon M. Séguin qui tentait un dernier effort. - Reviens ! reviens !... criait la trompe. Blanquette eut envie de revenir ; mais en se rappelant le pieu, la corde, la haie du clos, elle pensa que maintenant elle ne pouvait plus se faire à cette vie, et qu'il valait mieux rester. La chèvre entendit derrière

pas ces maudits docteurs Qui traitent ton cœur Comme un fossile, comme un souv’nir Ne t’en vas pas Ça f’rait trop de monde à consoler Tant pis pour toi T’avais qu’à pas tant nous aimer J’t’achèterai pas De jolie boîte en bois verni Reviens chez toi Dans ta maison et dans ton lit Dis-moi quel ange Dis-moi quelle volonté divine Voudraient qu’tu manges Des pissenlits par la racine Ça doit déjà Être bourré d’âmes au firmament Et t’as pas l’droit D’abandonner femme et enfants

Pour revenir sur la légitimité d’un mot renforcer par le temps et par les juristes ayant touché ce concept, ici étant une actualité, tout les mots et définitions de ces mots sur ce concept sont susceptible de se développer au file du temps. Cela reviens à dire que les définitions qui attribué aux concepts d’actualité sont très susceptibles de n’être plus valables dans les années à venir et donc ne sont pas doté de forte précision. Sans oublier que chaque années, entre trois mille et cinq mille mots

parler, j’ai cru mourir, et toi maintenant tu t’y mets !? C’est une histoire de fou ? C’est contagieux ou quoi ? Si tu dois continuer, dis-le moi tout de suite, parce que je te préviens, je fous le camp de ce théâtre et je ne reviens pas, tu m’entends, Louise, je ne reviens plus jamais… Louise : Tout ça parce que je te demande d’être poli avec ta belle-sœur ! Jean-Claude : Parce qu’elle l’a été elle, sur scène ?! parce que c’est de l’art, c’est poli ?… Parce que c’est classique, c’est poli