Révolte des Mokrani

Paris 3, Mohammed ARKOUN, 1982. Index : Arabe. Dernier contrôle : 15/05/1996. 38 Répertoire des thèses sur les littératures maghrébines AOUADI, Saddek. Doct. Phil. Kateb Yacine à la recherche de structures nouvelles : sens et limites d'une révolte. Vienne, Fritz-Peter KIRSCH, 1991. Index : Kateb. Dernier contrôle : 25/01/1993. AOUANI, Fadhila. Doctorat de 3° Cycle. Famille et Société dans quelques romans maghrébins d'expression française parus depuis 1950. Paris 3, Roger FAYOLLE, 1980. Index

projeter et organiser une résistance. 19 Et cette stratégie se répéta tous les 30 ans jusqu'à la seconde guerre mondiale, puis tous les 10 ans jusqu'à l'indépendance. L'Émir Abd-el-Kader, Ahmed Bey, El Mokrani, Cheikh Bouamama, le mouvement des « Jeunes Algériens » de Khaled, chaque révolte a entraîné une répression de la population et l'éloignement de ses élites par les autorités coloniales. Pourtant le pire fut qu'après l'indépendance, cette élimination des élites s'est accélérée, empruntant

projeter et organiser une résistance. 19 Et cette stratégie se répéta tous les 30 ans jusqu'à la seconde guerre mondiale, puis tous les 10 ans jusqu'à l'indépendance. L'Émir Abd-el-Kader, Ahmed Bey, El Mokrani, Cheikh Bouamama, le mouvement des « Jeunes Algériens » de Khaled, chaque révolte a entraîné une répression de la population et l'éloignement de ses élites par les autorités coloniales. Pourtant le pire fut qu'après l'indépendance, cette élimination des élites s'est accélérée, empruntant

publiquement avoir utilisé les méthodes nazies en Algérie, je suis conforté dans mon idée que jamais la France officielle n’a considéré que tous les peuples qu’elle a colonisés appartiennent à la grande famille humaine. Vous comprendrez aisément ma révolte contre le silence de nos dirigeants. Je pèse mes mots. Comme moudjahida, je considère que si le ministère qui incarne l’héritage du combat libérateur se tait dans ce type de situation, alors il n’a aucune raison d’être. Si ce ministère pense que la

connu un arrêt en 1998 et plusieurs réévaluations du coût de réalisation entre 1995 et 2001. La raison avancée par le responsable de la SNTF est reliée à UN MARCHÉ DANS LA BOUE ’état dans lequel se tient le marché hebdomadaire d’Aïn El Hammam, révolte les citoyens habitués à y faire leurs courses. S’il reste encore des clients qui ne peuvent s’en passer, c’est plutôt par habitude. En tous cas, ce n’est surtout pas l’hygiène qui les y attire, car descendre en ces lieux, nécessite un effort, sachant

utilisé pour assurer leur fuite. (1) Art. 351 bis. (Nouveau) - Le vol est puni de la réclusion criminelle à perpétuité : 1- s'il a été commis au cours d'un incendie ou après une explosion, un effondrement, un séisme, une inondation, un naufrage, une révolte, une émeute ou tout autre trouble ; 2- s'il a porté sur un objet qui assurait la sécurité d'un moyen de transport quelconque, public ou privé. (2) Art. 352. (Modifié) - Sont punis de l'emprisonnement de cinq (5) ans à dix (10) ans et d'une amende

manifestants sont de plus en plus nombreux. Aux syndicalistes se mêlent de simples citoyens. La police, non préparée à faire face à de telles situations, est débordée. L’armée prend la relève et procède au nettoyage des lieux. La manifestation devient révolte et prend de l’ampleur. Hélas, elle est vite noyée dans le sang. Le bilan est effroyable. Mille deux cent tués et un nombre considérable de blessés. Les hommes se terrent ; la rue se tait ; les stylos se stérilisent ; les intellectuels s’évanouissent

nombreux. Aux EXCLUSIF Kapitalis.com 17 syndicalistes se mêlent de simples citoyens. La police, non préparée à faire face à de telles situations, est débordée. L’armée prend la relève et procède au nettoyage des lieux. La manifestation devient révolte et prend de l’ampleur. Hélas, elle est vite noyée dans le sang. Le bilan est effroyable. Mille deux cent tués et un nombre considérable de blessés. Les hommes se terrent ; la rue se tait ; les stylos se stérilisent ; les intellectuels s’évanouissent

résistance à l’occupation étrangère, engagée par l’Emir Abdelkader, le fondateur de l’Etat algérien moderne, et qui n’a pris fin qu’avec le recouvrement de l’indépendance nationale. Son combat héroïque s’est poursuivi à travers tout le pays avec des révoltes armées successives. L’échec de la voie pacifique suivie par les partis politiques d’alors a contribué à forger chez le peuple algérien, la conviction de l’inéluctabilité du recours à la lutte armée contre le colonialisme. Le Front de libération nationale