Révolution belge

monde entier...camarades exploités...camarades de la TCRP...camarades mal payés...camarades » (page 121 ligne 16 à 35)où le veilleur de nuit veut « gueuler » sa colère à la place de ceux qui ne le peuvent pas.Il convainc aussi le lecteur qu'une révolution communiste ne peut être mené, que si ils restent unis comme dans Événements dans lequel l'hirondelle expose ses idées: « s'ils restent bien unis ensemble...crèveront » (page 55 ligne 3 à 6) et le poète conclut sur une image de victoire sociale:

l’ouvrier ». De là, on voit que Étienne n’envisage pas qu’une simple grève, mais une véritable révolution de l’ensemble du prolétariat. Le « mineur » devient membre d’une « armée » et l’on voit l’espoir d’un printemps (germinal) ouvrier « dont la semence germerait et ferait éclater la terre, un jour de grand soleil ». Malheureusement la grève de Montsou n’aboutira pas, car « on pense aujourd’hui à la révolution, non comme à une solution des problèmes posés par l’actualité, mais comme à un miracle dispensant

penser à un comportement plus bestial qu’humain. Enfin l’expression claquement des sabots de la même ligne ne laisse planer plus aucune ambigüité sur ce rapprochement avec les animaux. De la révolte à la révolution La métaphore filée de l’animalisation prépare au passage d’une révolte à une révolution. [...] [...] Conclusion Cet extrait plutôt court n’en est pas moins très riche. Zola commence par exposer méthodiquement l’arrivée des femmes puis celles des hommes, et ne manque pas de mentionner des

divine, dieu, l’intellecte, la spiritualité, intelligence, la melencolie et la nostalgie, Rouge : couleurs de violence, colere, crime, des flammes, on l’associe a la faute, aux dangers, a l’interdit, mais aussi à la puissance, à la vie à l’amour, la révolution, la fête le luxe, le spectacle, la passion. Blanc : pureté, innocence, lumière divine, la sérénité, la paix, la virginité, le propre, associé à l’absence, et au manque, la sagesse, la vaisselle, le froid, Le vert : nature, bio, propreté, écologie

plus loin et inventer un personnage central que l’on pourrait appeler anti-héros. On peut citer comme exemple Frédéric dans l’Education sentimentale de Flaubert, qui après avoir subi une défaite amoureuse se venge avec Rosanette et qui devant la révolution continue son chemin. Il est donc très égoïste et ne s’occupe pas de ce qu’il se passe autour de lui. Il possède exactement le contraire des vertus du héros. Pour décrire les héros de roman, on peut aussi parler de leurs tenues vestimentaires, leurs

de vivre sous la misère et le despotisme. Les couleurs nuancées, froides et vives permettent à cette œuvre de dégager une réelle alternance entre les tons chauds et froids. En effet elles sont utilisées pour montrer la dureté et la violence de la révolution. Cette estampe est précise et nous permet de rentrer dans le contexte. Cette estampe est vivante et nous ressentons les émotions des révolutionnaires. Conclusion : L’artiste traduit la détermination du peuple à obtenir la liberté en détruisant

largement déborder cette époque. Les années 50 après la deuxième guerre mondiale est le temps du fascisme, racisme et aussi l’époque de communisme. Camus parle de cette époque que comme en 50 ans du racisme asservi. C’est bilingue en gros le deux en révolution russe. C'est ici ou camus a fait beaucoup de débat. Les deux tenta politique de camus ce rapproche dans leur volonté de réorganiser la société rapidement en utilisant la littérature. Il y a deux chapitre dans la deuxième partie, un terrorisme d’état

dans l’utilitarisme). » 1.2/ la révolte contre l’individualisme. Il semblerait que l’histoire de l’humanité témoigne d’un flux et d’un reflux de ces notions élémentaires que nous venons de dégager. Durant la période qui va du XVIème siècle à la révolution française, l’individualisme va régner en maître : (p. 21) « les aspirations morales et politiques de cette poque étaient exprimées par une série de termes et d’idées bien différents, comme par exemple ceux d’individu, de progrès, de contrat, de

en 1951, voyage à travers l’Amérique latine et se retrouve en contact direct avec la pauvreté comme nous le verrons plus précisément dans la partie B. Il décide alors d’intensifier son étude du marxisme et en arrive à la conclusion que seule une révolution armée et bien organisée peut changer les injustices et la pauvreté du continent sud-américain. Il rejoint le « mouvement du 26 juillet », un groupe de révolutionnaires, cubains pour la plupart, dirigé par Fidel Castro. En 1959, après plus de deux

réactionnaires fustigera les désordres révolutionnaires et s’opposera aux philosophes (inutile de retenir cette nuance). • Nous avons ensuite (début du § 5) une période de retraite, après la Révolution. La première génération romantique se méfie des écrivains engagés, tenus pour responsable des excès de la Révolution. L’écrivain romantique refuse d’intervenir dans la vie de la cité. • La conjonction « mais » (§ 5) marque un revirement : retour à une période d’engagement, sous le régime de la Restauration