Revolution Russe Docteur Jivago

d'exécution : elle se préoccupait toujours essentiellement des affaires intérieures. Les médias américains parlaient peu du monde extérieur, ils en donnaient une vision "made in America" parfois attachante (comme celle de la Russie dans le film Le docteur Jivago, dans les années 1960), parfois consternante. Trop souvent le monde était un décor qui défilait derrière le Président en voyage… 2) La puissance soviétique. Voyez le cours sur la Russie, au chapitre 6. B) Des espoirs vite déçus

du pays, mais des rascines historique. Il parle de patriotisme, de grande nation russe. Il rappelle l’exemple des grands ancetre de la russie, Alexandre Nevski, Dimitri Donskoj, prince Pojarski, Alexandre Souvorov , Kotouzov. Très clairement, on voir souligné le role du peuple russe. Il lui confère une importance particulière. Après la victoire, staline va rendre hommage au peuple russe, il dira que le peuple russe a tout sacrifié. Cela dit, les peuples non russes ne sont pas oublié. Staline a

tentative pour la rompre > retour à des pratiques coercitives et répressives : fin de la libéralisation accordée pendant la guerre (notamment en matière religieuse) ; fin des aspirations libérales pour les minorités qui composent l’URSS : le peuple russe = gd sacrifice pdt la guerre > mérite d’être le peuple dirigeant ( nbreuses déportations (totales ou partielles). - Essentiel de la vision stalinienne du gouvernement = le rôle de l’Etat : c’est à l’Etat que doit revenir les initiatives de transformations

b) extrême-gauche : restaurer l’unité grâce à la révolution sociale -Radicalisation souvent : 80 morts à Milan en 1898 ; grève générale de la CGT en 1906 ; intense agitation ouvrière dans les années 1910-1913 en Angleterre. -Pourtant, dans l’ensemble (sauf une minorité ouvrière élitiste en France ou les masses anarchistes misérables en Espagne), les couches populaires en France, en Angleterre ou en Allemagne veulent des réformes et non la Révolution. 2 Forces : la solidité morale des bourgeoises

l’économie mondiale depuis 1945, Ellipse, 2003 • Économie et société française Yves Breton, Alfred Broder, Michel Lutfalla, La Longue Stagnation en France, Economica, 1997 Jean Fourastié, Les Trente Glorieuses, Hachette, 1979 Henri Mendras, La Seconde Révolution française 1965-1984, Folio, 1994 N. Baverez, Les Trente Piteuses, Flammarion, 1998 Dominique Borne, Histoire de la société française depuis 1945, Armand Colin, 2002 • L’industrie et l’agriculture Denis Woronoff, Histoire de l’industrie en France

l’économie mondiale depuis 1945, Ellipse, 2003 • Économie et société française Yves Breton, Alfred Broder, Michel Lutfalla, La Longue Stagnation en France, Economica, 1997 Jean Fourastié, Les Trente Glorieuses, Hachette, 1979 Henri Mendras, La Seconde Révolution française 1965-1984, Folio, 1994 N. Baverez, Les Trente Piteuses, Flammarion, 1998 Dominique Borne, Histoire de la société française depuis 1945, Armand Colin, 2002 • L’industrie et l’agriculture Denis Woronoff, Histoire de l’industrie en France

concentration sur de nouveaux sites industriels souvent à proximité de sources énergétiques charbonnières et surtout de l’eau en abondance (néc à l’industrie textile). Moyen aussi de réduire le coût de l’investissement du matériel de production). -révolution des transports : machine à vapeur + métallurgie = chemin de fer ou steamer La généralisation du processus de production industrielle dans la première moitié du XIXe siècle marque le point de départ, d’abord en Europe, de la croissance économique

série de choses qui me tiennent particulièrement à cœur et que jusqu’à présent je n’osais et ne savais pas dire en mon nom propre1. Voilà ce qu’écrit Gide à Curtius, revendiquant ainsi l’influence fondamentale de Dostoïevski sur son œuvre : l’écrivain russe (1821 – 1881) aurait autorisé Gide à penser. Gide est en effet un fervent lecteur de Dostoïevski. Dès mars 1890, il mentionne parmi ses lectures Krotkaia, Un petit héros, Crime et Châtiment et une relecture de ces romans en 1891. Il avoue : J’admire

de choses qui me tiennent particulièrement à cœur et que jusqu’à présent je n’osais et ne savais pas dire en mon nom propre1. Voilà ce qu’écrit Gide à Curtius, revendiquant ainsi l’influence fondamentale de Dostoïevski sur son œuvre : l’écrivain russe (1821 – 1881) aurait autorisé Gide à penser. Gide est en effet un fervent lecteur de Dostoïevski. Dès mars 1890, il mentionne parmi ses lectures Krotkaia, Un petit héros, Crime et Châtiment et une relecture de ces romans en 1891. Il avoue : J’admire

pour la même raison : la barbarie des traitements qui y sont appliqués aux détenus. Le Parlement européen a eu la bonne idée, vendredi 26 octobre, de saluer deux d’entre ces grands patriotes iraniens et de leur décerner son prix Sakharov 2012. Le Russe Andreï Sakharov UK price £ 1,70 Editorial (1921-1989), Prix Nobel de la paix 1975, immense physicien, fut l’un des pères de la dissidence soviétique. Il bravait un système, un régime, un appareil policier. Distingués par le Parlement européen