Rhinocéros Scène Comique

Le théâtre existe depuis l’antiquité mais à été renouvelé au fur et à mesure des siècles. Il est, à la base religieux et prends plusieurs tournures comme le comique ou le satyrique. Mais peut-on dire que le théâtre est un divertissement ? Nous verrons donc, dans une première partie en quoi on peut dire que oui, le théâtre est un divertissement. Ensuite –dans une seconde partie- nous verrons si le théâtre ne peut pas être autre chose qu’un divertissement puis nous conclurons. Le théâtre nous vient

d’études : la dimension scénique, le texte théâtral littéraire et sa représentation. Observer les spécificités du texte théâtral et les choix d’écriture, un texte à jouer donc choix du metteur en scène donc la dimension non textuelle. La question de la représentation, Est-ce simplement une mise en scène, une interprétation, et l’accueil du spectateur. Dans le théâtre, tous les éléments sont importants. Objectif: - Découvrir le théâtre de l’absurde, - analyser le rapport du texte au jeu et aux accessoires

L'origine du comique : Vous pouviez vous appuyer sur l'ouvrage de BERGSON évoqué en cours : LE RIRE. On attendait de vous que vous montriez votre connaissance des différents types de comique : de geste, de mots, de situation, de mœurs et de caractère. Des exemples de plusieurs natures pouvaient être puisés dans les trois textes. Comique de caractère : le naïf Monsieur JOURDAINdu Bourgeois gentilhomme, la folie du professeur de La Leçon, le prétentieux ignorant : FOLLAVOINE comique de geste :

être assez flexible pour que la plupart de ses spectateurs puissent s’identifier aux personnages et aux situations. De plus, la pièce est d’abord écrite, puis mise en scène et ensuite jouée. Par conséquent, le public assiste donc à une représentation successive de trois différents points de vue, celui de l’auteur, du metteur en scène et de l’acteur. D’autre part, une même histoire peut être racontée de deux différentes manières comme Antigone de Sophocle et Antigone de Anouih. Chacun en fait sa

le téâtre grec : " agon" = jeu, concour, lutte, combat. Dc conflit primordiaux aux théâtre Le T exploite une gamme de conflits et d'affrontements très large :donc plus visible, audible que le roman Représentation offre un large eventail : mise en scène , technique , scénographique I Les moyens dramaturgiques : à la base, est le texte.Les ressources de l'auteur Conflit est interressante : parfois il oppose plusieurs individus, parfois intérieur, dresse un autre contre un la societe ou puissance

Jean, Oh! un rhinocéros! The baltimore Annex Theater par Kaitlin Murphy, pièce anglaise. Analyse: Décor: Le paysage semble très simple , il est couvert de blanc, on reconnait bien la place ou Jean et son ami sont installés à une table et où ils jouent aux échecs. Costumes: Les vêtements portés par les acteurs font plus pensé au style Américains , une tenue de travail courante avec un simple et jean , une chemise et la cravate. Cependant Bérenger n’a même pas de chemise , il est en tenue plus décontracté

extraits de textes, le premier se situe au vers 25 et 33 du chant III de l'Art poétique écrit par Nicolas Boileau en 1674. Le second est le début de l'acte I scène 1 de Les caprices de Marianne écrit en 1833 par Alfred Musset. Le troisième se situe a la scène 1 de La cantatrice Chauve écrit par Eugène Ionesco en 1950. Et le dernier est la scène 1 de Deux femmes pour un fantôme écrit par René de Obaldia en 1971. Or mis le premier extrait, ils se situent tous au tout début de chaque pièce de théâtre

seul moyen pour faire passer des idées, pour faire ressentir au spectateur une sensation : le visuel joue également. Ainsi, des métiers comme metteur en scène ou créateur de costumes existent. On peut attribuer plusieurs fonctions aux costumes de théâtre, comme dans ces trois extraits de pièces de théâtre : L'Avare, En attendant Godot, et Rhinocéros écrits respectivement par Molière au XVIIème siècle, Beckett et Ionesco au XXème. Le costume permet au spectateur de resituer la pièce dans le temps

au moment de l’arrivée du premier rhinocéros. Tout le monde semble réagir de la même manière, comme un troupeau de moutons. Par exemple : Jean : « Oh ! un rhinocéros ! » / le Logicien : « Oh ! un rhinocéros ! » / le Vieux Monsieur : « Oh ! un rhinocéros ! » / la Serveuse : « Qu’est-ce que c’est ? Oh ! un rhinocéros ! » / le Patron : « Qu’est-ce que c’est ? » / la Serveuse : « Un rhinocéros ! » / l’Épicier : « Oh ! un rhinocéros ! » / Jean : « Oh ! un rhinocéros ! », etc. (p. 41-42) b) Cette répétition

Toutefois, la réflexion qui est découle est différente. Il en ressort que l’existence n’a pas de but, qu’elle est absurde et c’est ce que les dramaturges de l’époque désirent mettre en scène dans leur pièce. 2Théâtre de l’absurde: INFLUENCESPrincipal prédécesseur:Alfred Jarry : dramaturge du début du XXe siècle ayant mis en place un univers grotesque et caricatural défiant les règles du théâtre, exprimant la folie et la démesure et sacrifiant