Ricardo Alarcón

Le modèle HOS Partie 1 : le modèle traditionnel (Heckscher-Ohlin), son extension (Samuelson) et ses apports A. Lien étroit avec la théorie de l’avantage comparatif de Ricardo B. Les principes de base du modèle HO C. Extension du modèle D. La théorie HOS : une explication direct de la division du travail (exemple de Starbucks) Partie 2 : critiques du modèle HOS A. Vérification empirique : paradoxe de Léontief B. Remise en cause des hypothèses fondamentales de

représentations de la société du XVIIè siècle[9]. Il est le premier à imaginer l'économie à un niveau macroéconomique. Les agents économiques ne sont pas considérés comme une somme d'agents individuels, comme dans la théorie classique (Adam Smith, David Ricardo, John Stuart Mill), mais représentent des classes sociales[10]. À ce titre, c'est-à-dire en considérant l'économie dans sa globalité et à l'encontre du postulat classique d'individualisme méthodologique, il est précurseur de la pensée de Karl Marx

I Exercice d’application | |USA |Maroc | | | | | | | | | |Quintaux de blé (B) en heure de MO

importer un bien si sa production nationale était plus couteuse que celui des pays étrangers. B/ La théorie des avantages comparatifs David Ricardo : 1772-1823 Il nous montre qu’un pays a intérêt à se spécialiser dans la production dans laquelle il est le moins mauvais, c’est à dire dans la production dans laquelle il est le plus efficace. L’avantage de Ricardo c’est qu’il permet à chaque nation de réaliser une production qui va lui permettre de créer de la richesse et de pouvoir acquérir les bien

Introduction à l’analyse économique ------------------------------------------------- David Ricardo roesch Table des matières I) Les bases de la théorie ricardienne. 2 A) La valeur travail et l’économie de la production 3 B) La répartition de la valeur => le revenu 4 II) Les lois Ricardiennes, 5 A) la loi de la dynamique économique en économie fermée : la loi des rendements décroissants. 5 B) La loi des coûts comparatifs : la loi de la dynamique économique en économie

internationaux et un autre qui justifie la mise en place de freins à ces échanges. PARTIE 1 : LE LIBRE ECHANGE Historiquement, la défense du libre échange s’appuie sur les analyses des économistes classiques, principalement Adam SMITH et David RICARDO mais leurs démonstrations seront reprises et complétées dans le courant du 20e siècle. I / Les thÉories traditionnelles 1) La théorie classique du libre échange Selon les économistes du courant libéral, le développement des échanges permet

raisonnement macroéconomique : chaque nation doit se spécialiser dans les biens qu’elle parvient à produire à un coût inférieur au reste du monde. Inversement, elle doit délaisser les biens pour lesquels elle est moins efficace et les importer. Pour David Ricardo, il faut plutôt raisonner en termes d’avantages relatifs. Celui-ci part d’une étude sur les productivités respectives des travailleurs. Lorsqu’un pays n’a pas d’avantages absolus sur le reste du monde, il a quand même intérêt à se spécialiser dans

COURS DE COMMERCE INTERNATIONAL Chargé de cours : M. ZAMBELONGO G. Paulin 1 Janvier 2010 PLAN DU COURS (module de 24heures) Chapitre 1 : L’organisation actuelle du commerce international 1. Les avantages comparatifs (Théorie de David Ricardo) 2. Du GATT à l'OMC 3. Les fonctions et la structure de l’OMC Chapitre 2 : L’organisation de la logistique internationale 1. Le choix des intervenants 2. Le rôle des incoterms 3. Le choix des solutions de transport Chapitre 3 : Les modes et techniques

l’ouverture sur le monde serait donc bénéfique, c’est la théorie de l’avantage absolu. Cependant, cette idée repose sur le fait que chaque pays est meilleur que d’autres dans un ou plusieurs domaines de production. Contrairement à Smith, David Ricardo (économiste libérale anglais) prône la théorie de l’avantage comparatif, selon laquelle un pays a intérêt à se spécialiser non pas là où il est le meilleur mais là où il est le moins mauvais ; il devrait donc se spécialiser dans la production et l’échange

d'enfants, et pour cela les laisser mourrir de faim le plus rapidement possible. NB : Plusieurs économistes dénonçaient les propos de Malthus comme une argumentation biaisée destinée à justifier et à aggraver la misère des salariés. B. David Ricardo et sa loi de la valeur Les moyens de production se concentrent de plus en plus car seule la réalisation d’importantes économies d’échelle permet un abaissement significatif des coûts de production. La production capitaliste conduit donc inévitablement