Ricardo Smith Valeur Repartition

Maître de conférences des Universités Introduction La pensée économique peut être découpée en trois grandes phases : les précurseurs (grecs, romains, arabes), les pré-modernes (Mercantilisme, Physiocratie) et l'économie moderne (qui débute avec Adam Smith à la fin du XVIIIe siècle). « […] les idées, justes ou fausses, des philosophes de l’économie et de la politique ont plus d’importance qu’on ne le pense en général. À vrai dire le monde est presque exclusivement mené par elles. Les hommes d’action

questions, c'est le problème de l'allocation des ressources qui est abordée. À ce problème s'ajoute celui de la répartition des ressources. En situation d'abondance, ce qui est consommé par un individu ne fait jamais défaut à un autre. Mais, si la taille du gâteau est limitée, la part de l'un ne peut augmenter qu'au détriment de celle de l'autre. Il existe donc un débat sur la répartition des ressources entre les individus, et sur la façon de les développer. Nous voyons donc qu'à partir d'un objet

ce bien. III/ Les origines de la révolution marginaliste. 1) Le développement de la discipline économique Le développement est admis. A partir de 1850, l’économie classique commence à être contesté, notamment, abandonner la théorie de la valeur travail. De plus, en Angleterre, il y a une renaissance de la pensée de Bentham. En 1855, Jennings va énoncer le principe de la décroissance de l’utilité marginale sous la forme d’une loi de la variation des sensations. Principe de la désutilité

par an. - PIB mondial par tête multiplié par 2,2 soit 0,7% par an. - CI par tête multiplié par 25 soit 2,86 % par an. Ce rythme s’est accru après 1850. Cependant le CI suit une évolution cyclique. En valeur, cette évolution était de 1,75 % par an avant 1850 et de 4% après 1850. L’évolution en valeur est moindre que l’évolution en volume suite à une baisse des prix. On remarque qu’on échange plus qu’on ne produit (document 1), le CI s’accroît plus vite que la production industrielle mondiale. Entre

société »D'autres auteurs ont dit que la science économique a pour objet l'études des systèmes de production et d'allocation qui vont répondre au besoin des individus B : Les grands courants de la pensée économiqueEcole classique ; 18em siècle, Smith, Ricardo, Malthus, Say Marx ; 18em/19em sicèleEcole néo-classique ; Walras, Pareto,Mengel, Marshall J.M. KeynesLibéraux - Comptemporain ; Laffer, Friedman, Hayek 1 : La pensée libéral classique et néo-classiqueLes écoles classiques et néo-classique ont

véritable division mondiale du travail : produits industriels des pays avancés contre denrées alimentaires et matières premières des « pays neufs » et des économies coloniales. Les produits primaires représentent vers 1913 plus de la moitié de la valeur du commerce international. Ils bénéficient de la baisse de e long terme des coûts de transport, qui s'accélère au milieu du XIX siècle avec la, révolution des transports : le chemin de fer (qui unifie le marché national, tout en assurant la desserte

Introduction ( - ) • 2 - Les préclassiques ( - ) • 3 - Les classiques ( - ) • 4 - Karl Marx ( - ) • 5 - Les néoclassiques ( - ) • 6 - John Maynard Keynes ( - ) Points de repère • Éléments de logique • Définitions fondamentales • Les théories de la valeur • Travail productif et improductif • La gravitation ricardienne • La rente différentielle • La baisse du taux de profit • La loi des débouchés • L'équilibre néoclassique • Le marché du travail • Économie et politique • Tableau synoptique

économies d’échelles baisse les coûts de production, de commercialisation et cela augmente la valeur ajoutée donc le PIB. Même si le développement humain n’est pas nécessaire pour qu’il y ait croissance économique, on voit qu’il n’y a pas de croissance durable sans transformations structurelles. Pourquoi la croissance ne conduit-elle pas toujours au développement ? - Inégalités dans la répartition des richesses des pays en développement. - L’Etat joue un rôle très important dans cette

multipliées par plus de 33 ! Les échangent se sont ainsi accrus très rapidement et ont tiré la croissance économique de nombreux pays en bénéficiant des marchés extérieurs. Ces échanges concernent les biens, les services, les capitaux, les idées (valeurs, normes, technologies). Les économies sont alors de plus en plus dépendantes les unes des autres. La mondialisation est devenue incontournable aujourd’hui : c’est un processus d'intégration des nations dans un espace économique mondial qui tend

grandes dates : 1776 : Adam Smith, « La richesse des nations » ; Indépendance des Etats-Unis 1936 : Keynes, « La théorie générale » 1756 : Quesnay, père fondateur des physiocrates 1848 : Manifeste du Parti communiste 1860 : 1er volume du Capital 1870-1871 : Apparition du marginalisme avec Jevons, Menger, Walras - Les mots-clés : Keynésiens : Importance de l’Etat, protectionnisme. Libéraux : Ecole de Chicago → anti-keynésiens MIT : macroéconomistes Kahneman et Smith : économie comportementale :