Richesses Et Pauvreté

La division par deux de l'extrême pauvreté sur la planète depuis vingt ans fait chaud au cœur (leur proportion dans la population totale est tombée de 52 % à 26 % entre 1981 et 2005) La réduction de la pauvreté mondiale va moins vite que la croissance, signe que le monde est de plus en plus inégalitaire. On pourrait s'en accommoder si l'évolution n'était pas, en fait, complètement disparate La pauvreté est l'insuffisance de ressources matérielles, comme la nourriture, l’accès à l’eau potable

Les inégalités de revenus et de patrimoine. I- La répartition des revenus. A- Le partage de la valeur ajoutée. Rappel : LA VALEUR AJOUTEE. La valeur ajoutée d’une entreprise mesure la création de richesses dont elle est responsable. VA = CA – CI (consommation intermédiaire) La richesse globale que dégage ainsi une nation permet notamment le paiement des revenus primaires qui sont de deux types : * Revenus du travail * Revenus du capital. Cette valeur ajoutée va être répartie

Sarah PLATEAU ECM TV Vendredi 19 Novembre 2013 Le développement des pays Africains L'Afrique est-elle la grande oubliée de la croissance mondiale ? 1/ L'Afrique, un continent complexe INEGALITE CORRUPTION DEVELOPPEMENT RICHESSES L’AFRIQUE UN CONTINENT CHAOTIQUE Représente 15% de la population mondiale en 2013 L’AFRIQUE SUBSAHARIENNE Partie de l'Afrique située au sud du Sahara UNE DEMOGRAPHIE ENCORE ROBUSTE 2012 : les Africaines ont en moyenne 4,7 enfants

hiérarchie sociale (découpage de la société) En catégories plus ou moins homogènes Selon les critères de la hiérarchie variables selon les perspectives adoptées. Certaines insistent davantage sur des différences sociales associées aux inégalités de richesses. D’autres, insistent sur des critères de pouvoir, de prestige et de connaissance. Objectifs : société contemporaine sur les revenus, l'emploie, la protection sociale, le travail, la famille, l'école, pratiques culturel, inégalités face à la consommation

REVENU NATIONAL (PNB) REVENU NATIONAL/TETE (PNB/TETE) II) INDICATEURS ECONOMIQUES II-1) INDICATEURS STRUCTURELS II-2) INDICATEURS DE CONSOMMATION a) L’énergie b) L’agriculture II-3) INDICATEURS ALIMENTAIRES II-4) INDICATEURS RELATIFS A LA PAUVRETE III) INDICATEURS SOCIAUX III-1) INDICATEURS DEMOGRAPHIQUES III-2) INDICATEURS RELATIFS A LA SANTE III-3) L’EDUCATION ET LA FORMATION IV) INDICATEURS SYNTHETIQUES IV-1) L’INDICE DE DEVELOPPEMENT HUMAIN (IDH) IV-2) AUTRES INDICATEURS

mesure des richesses produite. Celles-ci correspondent à la production et son mesurées par un indicateur que l’on appel PIB. Le PIB comprend une part marchand et non marchande. PIB marchand : la composante marchande du PIB est évaluée au prix de marché, ce qui conduit à écarté les productions sans valeur monétaire (ménages chez nous). PIB non-marchand : la composante non-marchande du PIB est évaluée à son coût de production, ce qui consiste à contribuer à la production de richesse économique

calcul de l’empreinte écologique et d’indicateurs de développement humain permet de jeter un éclairage environnemental et social sur la situation de la région et son évolution, complétant les informations données par le PIB sur la création de richesses. III) - LE PROJET « INDICATEURS 21 » Pourquoi ce projet ? Un indicateur domine dans les débats sur le développement, l’emploi, le progrès : le PIB. Le PIB est l’indicateur clé dans les comparaisons entre les pays et les régions. Etant la clé

environnement, en développement économique, en aménagement du territoire ou dans les transports sont partagées entre les deux paliers de gouvernement. Les politiques se chevauchent, se contredisent souvent et nous empêchent de contrôler à fond nos richesses naturelles pour relever le défi de l’indépendance énergétique. Les pressions des provinces productrices du pétrole engendrent des politiques rétrogrades au palier fédéral, totalement à l’encontre des besoins et des valeurs du Québec. Dans un Québec

politique ; religieuse , économique et culturelle ( les colonisateurs imposent leur façon de vivre, leurs habitudes, leurs façon de s’habiller, leur nourriture). Les peuples colonisés, sont contraints d’accepter cette dépendance, s’accrochant aux richesses des colonisateurs. La colonisation peut avoir deux objectifs. Le premier est dans l’intérêt de trouver de la main- d’œuvre, ou encore de pouvoir bénéficier de la matière première que possède les Etats colonisés ou tout simplement dans le dessein

2000, est plus soutenue aujourd'hui que celle des pays de la Triade (riches et industrialisés) que sont les États-Unis, l'Union européenne et le Japon. Depuis 2002, on assiste à un boom économique brésilien qui a sorti des millions de personnes de pauvreté. Aujourd'hui, le Brésil est la 8e puissance économique du monde. a. Une très grande puissance agricole, de belles réussites industrielles | Doc.1. Vue de Rio de Janeiro | - Le Brésil est la 4e puissance agricole du monde car il est au