Rimbaud Larme Commentaire

lectures qui éclairent les différents objets d’étude au programme et, par ces lectures, de préparer les élèves aux techniques de l’épreuve écrite (lecture efficace d’un corpus de textes, analyse d’une ou deux questions préliminaires, techniques du commentaire, de la dissertation, de l’argumentation contextualisée, de l’imitation…). Ainsi, l’étude d’une même œuvre peut répondre à plusieurs objectifs. Cyrano de Bergerac d’Edmond Rostand permettra d’étudier le genre théâtral, et plus précisément le drame

même qu’il faut suivre un ordre précis et ne pas mêler les différents niveaux d’interprétation. Pour cela, il est utile d’opérer par un double mouvement et partir :· du sens littéral aux significations symboliques, · de l’interprétation simple au commentaire plus subtile, · de la notation particulière à la généralisation, etc.III- Savoir-lire et savoir-analyser un texte littérairePour optimiser son potentiel de lecture, il convient de s’exercer à lire à haute voix : · en solitaire et en présence d’amis

d’indépendance algérienne, il le fait dans le droit-fil de la représentation qu’il a donnée de l’Algérie depuis le début de sa carrière littéraire, même si ses propos font alors tristement écho à la rhétorique officielle anglo-française de Suez. Ses commentaires sur le « colonel Nasser », sur l’impérialisme arabe et musulman, nous sont familiers, mais le seul énoncé politique, d’une intransigeance totale, qu’il consacre à l’Algérie dans ce texte apparaît comme un résumé sans nuance de tout ce qu’il a écrit

jour, je trouve cocasse d’être, à quarante-quatre ans, nettoyé, retourné, torché et langé comme un nourrisson. En pleine régression infantile, j’y prends même un trouble plaisir. Le lendemain, tout cela me semble le comble du pathétique, et une larme roule dans la mousse à raser qu’un aide-soignant étale sur mes joues. Quant au bain hebdomadaire, il me plonge à la fois dans la détresse et la félicité. Au délicieux instant où j’immerge dans la baignoire succède vite la nostalgie des grands barbotages

jour, je trouve cocasse d’être, à quarante-quatre ans, nettoyé, retourné, torché et langé comme un nourrisson. En pleine régression infantile, j’y prends même un trouble plaisir. Le lendemain, tout cela me semble le comble du pathétique, et une larme roule dans la mousse à raser qu’un aide-soignant étale sur mes joues. Quant au bain hebdomadaire, il me plonge à la fois dans la détresse et la félicité. Au délicieux instant où j’immerge dans la baignoire succède vite la nostalgie des grands barbotages

 16 Victor Hugo Juillet, III, L’avenir Bêtise de la guerre Discours d’ouverture du Congrès de la paix, 1849 18 Arthur Schopenhauer 19 Wilhelm Friedrich Nietzsche 20 Alphonse de Lamartine Marseillaise de la paix 21 Arthur Rimbaud Le dormeur du val 22 Walt Whitman 23 L’Internationale 24 Abraham Lincoln Discours de Gettysburg 25 Jean Jaurès Discours à la jeunesse, 1903 26 Citations du 19e siècle SOMMAIRE DE 1900 À 1939 28 Alain 29 Sigmund Freud Mars ou

poète, chargé d’exorciser la mort en préservant du néant une certaine forme de beauté nocturne [267] » :  Quand parfois sur ce globe, en sa langueur oisive, Elle laisse filer une larme furtive, Un poète pieux, ennemi du sommeil, Dans le creux de sa main prend cette larme pâle, Aux reflets irisés comme un fragment d’opale, Et la met dans son cœur loin des yeux du soleil.   (v. 9-14) Dans Confession[268], dédiée à Madame Sabatier, la lune répand

P. 96 Lamartine P. 101 Stendhal P. 103 Balzac P. 107 Flaubert P. 115 Maupassant P. 118 Zola P. 125 Baudelaire P. 132 Rimbaud P. 135 Verlaine P. 138 XXme Sicle P. 141 Proust P. 142 Saint-Exupry P. 146 Vian P. 151 Colette

marine, Comme hier, Si le bon Dieu l’avait voulu), Aragon (Il n’y a pas d’amour heureux), Jean Richepin (Les philistins, Les oiseaux de passage), Antoine Pol (Les passantes). Georges Brassens -7- L’œuvre de Brassens a été l’objet de nombreux commentaires et de nombreuses tentatives d’appropriation (aanpassing) (certains catholiques en particuliers, tel Jacques Charpentreau, essayant de démontrer que cet athée militant est un chrétien qui s’ignore…). Il est vrai que sa thématique n’est pas toujours

de laisser le navire seul; alors le bateau cesse d'être boîte, habitat, objet possédé ; il devient œil voyageur, frôleur d'infinis ; il produit sans cesse des départs. L'objet véritablement contraire au Nautilus de Verne, c'est le Bateau ivre de Rimbaud, le bateau qui dit «je » et, libéré de sa concavité, peut faire passer l'homme d'une psychanalyse de la caverne à une poétique véritable de l'exploration. Publicité de la profondeur J'ai indiqué qu'aujourd'hui la publicité des détergents flattait