Rire Des Mêmes Choses

de comprendre l’autre avec l’aide de confrontation de cultures. Lorsqu’on comprend dans quelle culture/société un certain personnage a vécu, on peut mieux le comprendre . Dans une culture, il y a un certain groupe de gens qui défendent les mêmes idées, les mêmes morales et qui ont une même manière de penser. Si le lecteur peut comprendre le message d’une culture, il sera automatiquement informé sur la manière de penser, donc sur le comportement d’un personnage. Le lecteur sait maintenant comment

2.4. Les conceptions classiques du rire et de l’humour Nous nous proposons dans cette partie, de survoler quelques notions théoriques au cours des siècles (approximativement jusqu’aux années 60) de théories sur le rire. De nombreux auteurs ont déjà énormément travaillé dans sur ce sujet. Nous nous envisageons donc l’essentiel.Les théories de la supérioritéCe sont certainement les théories les plus anciennes puisque l’on en retrouve les premières traces dans l’Antiquité grecque

Welzer-Lang, a une portée explicative significative. Par ce concept, il veut dire qu’hommes et femmes n’ont pas la même appréhension des phénomènes sociaux. En effet, leurs langages, leurs représentations, et leurs attentes ne recouvrent pas les mêmes choses, ce qui explique les fréquentes incompréhensions et malentendus. C’est ainsi que peut-être nous allons comprendre pourquoi, pour parler d’un même évènement, deux membres d’un couple peuvent avoir des discours très contrastés. Un autre apport

pièces polémiques et d'accusations féroces. En mai 1664, au moment des Plaisirs de l'île enchantée, la somptueuse fête donnée à Versailles par le roi, Molière représente un premier Tartuffe en trois actes ; voyant là une intolérable ingérence dans les choses de la religion, les dévots déclenchent immédiatement une cabale d'une violence bien plus grande qu'à l'occasion de la querelle de L'École des femmes. Le fer de lance en est la fameuse Compagnie du Saint-Sacrement de l'Autel, une société secrète influente

Textes philosophiques Henri Bergson Les mots, de simples étiquettes « Enfin, pour tout dire, nous ne voyons pas les choses mêmes; nous nous bornons, le plus souvent, à lire des étiquettes collées sur elles. Cette tendance, issue du besoin, s’est encore accentuée sous l’influence du langage. Car les mots (à l’exception des noms propres) désignent des genres. Le mot, qui ne note de la chose que sa fonction la plus commune et son aspect banal, s’insinue entre elle et nous, et en masquerait

pour but de faire rire, de divertir en représentant le travers et le ridicule des femmes. La tonalité comique consiste à provoquer le rire à l’aide de divers procédés : jeux de mots, quiproquos (interaction de deux personnages qui se méprennent sur ce dont parle l'autre), répétitions, associations burlesques, etc., avec des tonalités particulières comme l’humour. La tonalité comique déforme la réalité à travers des situations qui provoquent le rire et l’ordre habituel des choses. On distingue différents

rire ------------------------------------------------- Présentation du thème Introduction : CF BO Qu’est ce qui défini et caractérise le rire ? Quelles sont les manifestations et les causes du rire ? Quel est le fonctionnement de ces mécanismes humain ? Quels sont les fonctions et les effets du rire ? Quels sont les limites du rire ? Existe-t-il un rire absolu ? (rire absolu= Baudelaire) Cf page 10-11 I- Analyse lexicale du substantif « rire » : Le verbe rire date

« Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement [...] ». Appliqué au rire, cet adage de Nicolas Boileau prend toute sa force et se révèle d'autant plus pertinent qu'il en souligne le caractère paradoxal. En effet, si le rire semble être un phénomène simple, universel, expérimenté et observé par l'humanité toute entière (depuis la nuit des temps ?), il est néanmoins délicat de le définir et de le cerner. Alors qu'est-ce que le rire ? Le dossier (trois extraits d'essais philosophiques et deux planches

l'amour d'une vie. Ils osent se jouer du Ciel, se moquer des femmes et des choses les plus saintes sans même craindre les conséquences de leurs actes. N'ont-ils rien à se reprocher ? Les femmes quoi qu'elles puissent être : Dame, demoiselle, bourgeoise, paysanne sont un présent du Ciel qu'ils nous faut honorer et non disgracier. Pourquoi seulement se contenter de leur beauté et de leurs atouts alors que tellement de choses sur leur personne restent à découvrir et à chérir qui ne rendront que la passion

qu’il a le pouvoir d’influer sur le monde extérieur, en se mettant au centre de ce monde, il libère sa pensée de la dépendance des sensations et à ce moment-là, il découvre le « je » qui est en lui. Il a le pouvoir transformer les choses et les autres. Il peut faire rire, pleurer le monde qui l’entoure. Ce moment correspond en psychologie au « stade du miroir », c’est la réflexion, la capacité de se voir soi-même. Ainsi, Kant insiste sur le lien de la pensée et du langage. En effet, sans le langage