Rire Exutoire

l'évidence, voltaire s'amuse. Sourire n'est pourtant pas gratuit : Micromégas est une histoire philosophique, une magnifique leçon de "gai savoir "... Personnellement, j'ai aimé ce livre car non seulement il fait réfléchir, mais en plus il fait rire. Ce qui fait rire c'est surtout l’écart de taille entre Micromégas et les humains ; physiquement et philosophiquement parlant. Voltaire, dénonce la prétention des humains ; ici les philosophes. À la fin Micromégas déçu par les philosophes, repart avec son ami

Synthèse de documents : Rire, pour quoi faire ? Plan : I. Fonction sociale du rire (documents 2, 3, 4) Convivialité et besoin de rire II. Fonction défensive du rire (documents 1, 3, 4) Rire spécifique à l’homme, moyen de se protéger des différences III. Moyen de s’éloigner du quotidien (documents 1, 2) Se moquer du quotidien, se changer les idées Le rire est un comportement réflexe exprimant généralement un sentiment de gaieté. Il est

LE RIRE « Le rire est le propre de l’homme » Expression due à Aristote (4eme siècle). Réactualisée par Rabelais dans le prologue de Gargantua. * Mais depuis une vingtaine d’années cet adage a été mis à mal. Les grands singes seraient capables de rire, de même que les rats sensibles aux chatouilles. * Les agélastes seraient des hommes n’ayant jamais ri. Newton n’auraient ri qu’une seule fois dans sa vie. Staline, Tatcher seraient des agélastes. Le corps et l’esprit provoquent le rire

Rire philosophe, blasphémateur, grimaçant, mordant, sardonique, sardonien, railleur, moqueur, narquois, satirique, ironique, sarcastique, blessant, sadique. Rire panique, populaire, gras, grossier, franc, enjoué, joyeux, goguenard, argentin, retentissant, sonore, bruyant, énorme, communicatif, éclatant, contagieux, compulsif, convulsif, inextinguible, irrépressible, épais, gloussant, spasmodique, aigu, homérique... Rire charmeur, séducteur, ensorceleur, émerveillé, rose, rouge, blanc, agréable

de l’aveu comique attire surtout l’attention grâce à son ironie et la farce. Par exemple dans Tartuffe, Orgon qui se cache sous la table pour découvrir la vraie personnalité de Tartuffe. Dans le registre comique le drame est plus là pour nous faire rire, c’est une scène comique. Dans l’acte IV scène V de Tartuffe, l’auteur écrit beaucoup en rime, ce qui donne une cadence régulière à la scène. L’auteur d’un aveu comique utilise partiellement l’ironie. Il utilise des termes soutenus et peu usités dans

singularités. « Gnâthon », issu du fragment « De l’homme » se présente ainsi comme un homme tellement décalé par rapport aux codes de la société que ses vices sautent aux yeux du lecteur. Ce caractère révèle, par le talent de La Bruyère, la limite entre le rire et le dégoût vis-à-vis d’un être caricatural et grossier. Afin de tenter de comprendre le sens du texte, nous aborderons tout d’abord la notion de comique, issue du portrait de Gnâthon, avant de mettre en valeur les aspects satiriques qui mènent

conséquence de l'attitude d'Arrias, c'est une induction morale. ~ Les interventions de l'auteur ne sont pas visibles car il ne commente rien. La tête d'Arrias, de Sethon, le fou rire des convives sont du domaine de notre imagination, ainsi que la suite de l'histoire. La Bruyère est un bon conteur, il se retire avant de rire, contrairement à Arrias. Conclusion Le portrait est général, intemporel. Il suppose une morale, un peu comme La Fontaine qui veut instruire son public, conformément aux règles

Rabelais, Gargantua, “Prologue”, 1534 · Document 2, Henri Bergson, Le Rire. Essai sur la signification du comique, 1924 · Document 3, affiche du film Le Dictateur (Charlie Chaplin), 1940 · Document 4 , Laurence Consalvi, “Des écla… boussures de rire”, article paru dans Deux mille ans de rire, permanence et modernité (collectif), Presses Universitaires Franc-Comtoises/Les Belles Lettres, Paris 2002 Le rire est naturel, il détend notre corps et permet à notre esprit de s'évader

Ses cheveux mouillés dégouttaient, ébouriffés, pourtant, il donnaient l'impression de sortir d'une pub pour un gel coiffant. Son visage éblouissant était ouvert et cordial, un léger sourire étirait ses lèvres sans défaut. Il éclata ensuite d'un rire séduisant. Son sourire était si beau que je le dévisageai comme une idiote. Au moment où j'allais retirer la lamelle, sa main s'empara de la mienne pour arrêter mon geste. Ses doigts étaient glacés, à croire qu'il les avait plongés dans une congère

documents suivants : François RABELAIS : Gargantua (1534) Henri BERGSON : Le Rire, Essai sur la signification du comique (1900) Affiche du film de Charlie CHAPLIN Le Dictateur (The Great Dictator), 1940 Marcel PAGNOL : Le Schpountz (1938). Tableau de confrontation : (L'ordre choisi pour remplir le tableau est l'ordre inverse des documents.) Document 1 Document 2 Document 3 Document 4 PISTES le rire veut l'insensibilité, une anesthésie momentanée du cœur le coiffeur coupe la mèche