Risibles Amours Kundera

Milan Kundera, historien de la contingenceMILAN KUNDERA, HISTORIEN DE LA CONTINGENCE Alain Boureau Presses de Sciences Po | « Vingtième Siècle. Revue d'histoire » 2011/4 n° 112 | pages 99 à 105 ISSN 0294-1759 ISBN 9782724632095 Article disponible en ligne à l'adresse : -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- https://www.cairn.info/revue-vingtieme-siecle-revue-d-histoire-2011-4-page-99.htm ------------------------

à la seule force physique ou armée. Le pouvoir politique peut aussi user de cette force qu’offre une économie collectivisée qui permet de priver l’individu d’emploi et de logement et ne lui concède, par conséquent, aucune autonomie (M. Kundera, Risibles amours). De manière plus subtile et indolore, la force peut enfin se cacher dans l’action des «appareils idéologiques d’État » : (L. Althusser) école, médias… au moins lorsqu’ils bénéficient d’une situation de monopole. La «persuasion clandestine

nacre (1892) – Maxime Gorki, Histoire du Serin menteur et du Pivert qui aimait la vérité (1893), Études et nouvelles (1898) – Léon Bloy, Histoires désobligeantes (1894) – Remy de Gourmont, Histoires magiques (1894) 7 – Luigi Pirandello, Amours sans amour (1894), Nouvelles pour une année (1894-1937) – Franz Kafka, Nouvelles (1909-1924), La Métamorphose (1912), Le Verdict (1912), Petits récits (1919), Un artiste de la faim (1924) – Guillaume Apollinaire, L’Hérésiarque et Cie (1910) –

L’art Introduction : éléments d’histoire de l’art 2 Une très brève histoire de l’art (Gombrich) 2 La suppression des temps morts (Kundera) 4 Quand l’art se libère des contraintes réalistes (Sarraute) 4 La question du progrès (Hegel) 4 L’œuvre d’art à l’époque de sa reproductibilité technique (Benjamin) 5 I. Comment définir l’art ? 5 A. Qu’est-ce qu’une œuvre d’art ? 5 1. Une production humaine 5 2. La question de l’utilité 5 3. Un statut social 6

L’art Introduction : éléments d’histoire de l’art 1 Une très brève histoire de l’art (Gombrich) 1 La suppression des temps morts (Kundera) 1 Quand l’art se libère des contraintes réalistes (Sarraute) 1 La question du progrès (Hegel) 1 L’œuvre d’art à l’époque de sa reproductibilité technique (Benjamin) 1 I. Comment définir l’art ? 1 A. Qu’est-ce qu’une œuvre d’art ? 1 1. Une production humaine 1 2. La question de l’utilité 1 3. Un statut social 1 B. La notion de beauté 1 1. La question de l’objectivité :

L’art Introduction : éléments d’histoire de l’art 2 Une très brève histoire de l’art (Gombrich) 2 La suppression des temps morts (Kundera) 4 Quand l’art se libère des contraintes réalistes (Sarraute) 4 La question du progrès (Hegel) 4 I. Comment définir l’art ? 5 A. Qu’est-ce qu’une œuvre d’art ? 5 1. Une production humaine 5 2. La question de l’utilité 5 3. Un statut social 6 B. La notion de beauté 6 1. La question de l’objectivité : le beau et l’agréable (Kant) 6 2. Le rapport à

L’art Introduction : éléments d’histoire de l’art________________________________________ 2 Une très brève histoire de l’art (Go mbrich) _______________________________________________ 2 La suppression des temps mo rts (Kundera) _______________________________________________ 4 Quand l’art se libère des contraintes réalistes (Sarraute) _____________________________________ 4 La question du progrès (Hegel)________________________________________________________ 4 L’œuvre d’art à l’époque de sa reproductibilité

tenu de savoir. L'homme est responsable de son ignorance. L'ignorance est une faute.  Milan Kundera  (Risibles amours, trad. François Kérel, p.127, Folio n°1702)   • Par une certaine partie de nous-mêmes, nous vivons tous au-delà du temps. Peut-être ne prenons-nous conscience de notre âge qu'en certains moments exceptionnels, étant la plupart du temps des sans-âge.  Milan Kundera  (L'immortalité, trad. Eva Bloch, p.14, Folio n°2447)   • Je pourrais dire qu'avoir

RIlke, Histoires du bon dieu , « L’Étranger » Barbey d’Aurevilly, Les Diaboliques , « Le rideau cramoisi » Une architecture signifiante Milan Kundera, Risibles amours , et son commentateur Pierre Mertens, nouvelliste contemporain « Le chevalier nu », contes de l’Allemagne médiévaleDES LEÇONS RÉCRÉATIVES VERTUS PÉDAGOGIQUES DU RÉCIT BREF Colette, La Paix

Diéguez : Le Chevalier du mépris (1955)Roger Vailland : Monsieur Jean (1959)Henry de Montherlant : La Mort qui fait le trottoir (1958) Max Frisch : Don Juan ou l'amour de la géométrie (1962)Milan Kundera : La pomme d'or de l'éternel désir                        Le docteur Havel vingt ans plus tard in Risibles amours (1970) Pierre-Jean Remy : Don Juan, 1982Eric-Emmanuel Schmitt : La Nuit de Valognes (1991).Frédérick Tristan : Don Juan le révolté (2009).          Cliquez ici pour un exemple de séquence