Risque Infectieux 2 10

DIRECTION DES RISQUES MALADIE – DIRECTION DU SERVICE MEDICAL ONZE ASSOCIATIONS MEDICAMENTEUSES FORMELLEMENT CONTRE-INDIQUEES Situation en 2000 JANVIER 2003 l'Assurance Maladie des salariés - sécurité sociale caisse nationale 2 Onze associations médicamenteuses formellement contre-indiquées Situation en 2000 CNAMTS – DDRI – DSM 11 Associations Médicamenteuses Formellement Contre-Indiquées Janvier 2003 3 MAITRISE D’OUVRAGE Daniel LENOIR – Directeur MAITRISE

préparation, stockage ou conservation ou cuisson des aliments (non-respect des températures d’entreposage ou de cuisson, contaminations croisées). De bonnes pratiques d’hygiène avant, pendant, et après la préparation de la nourriture peuvent réduire les risques des toxi-infections. L'action de surveiller la nourriture (« de la fourche à la fourchette ») pour s'assurer qu'elle ne provoquera pas de maladie transmise par voie alimentaire est connue sous le terme desécurité alimentaire. Une intoxication alimentaire

Usage strictement réservé à l'établissement Sainte-Croix de Neuilly, autorisé jusqu'au 31/07/17 » Le livre de l’élève, un outil utilisable en classe et en dehors de la classe Une présentation claire et une lecture facile Les chapitres des parties 1, 2 et 3 ont une structure identique : – une ouverture de chapitre qui permet de mobiliser les acquis et de s’interroger ; – des doubles pages « Activité », comportant de très nombreuses suggestions de manipulations et dans lesquelles les auteurs ont apporté

UE .10 SCIENCES BIOLOGIQUES ET MEDICALES Infectiologie, Hygiène Hygiène professionnelle : Hygiène des mains Les actes professionnels en rapport avec l'hygiène Dans le cadre de son rôle propre, l'infirmier accomplit les actes ou dispense les soins suivants visant à identifier les risques et à assurer le confort et la sécurité de la personne et de son environnement et comprenant son information et celle de son entourage : Dépistage, prévention et éducation en matière d'hygiène, de

pronostic vital du patient Survient souvent 2 semaines après le début du traitement ou le changement de posologie Signes : · Hyperthermie sans syndrome infectieux· Sueurs· Rigidité musculaire· Rhabdomyolyse (dégradation du tissu musculaire squelettique)· Tremblements · Incontinence· Altération de la conscience· Dysautonomie (tachycardie, tachypnée)ARRET IMMEDIAT DU TRAITEMENTLA CLOZAPINE Il faut un suivi particulier à cause du risque d’agranulocytose (perte de granulocytes ou polynucléaires

femme de 53 ans, née le 18 mars 1961. Elle est divorcée et entretient de bons rapports avec son ex-mari, qui est la personne à prévenir. Elle a 2 enfants (un garçon et une fille) et sa fille lui rend visite. Elle est en invalidité (entre 66 et 79%) suite à sa fracture d’épaule en 2008, touche l’allocation handicapée et une pension d’invalidité de catégorie 2 mais n’a pas d’aides à domicile. Elle possède une mutuelle (MAAF santé) Elle est de corpulence normale (172cm, 62kg, IMC à 21), cheveux teintés

Le Service : Situé au troisième étage du centre hospitalier, il occupe la moitié de l’étage ; l’autre moitié étant le service de Chirurgie A (viscéral). Il est divisé en deux secteurs : Secteur numéro 1 et secteur numéro 2, chacun constitué de 6 chambres doubles (2 lits par chambre soit 12 lits), et de 4 chambres seules (4 lits), correspondant à un total de 32 lits dans la service.

LES EPIDEMIES DANS L’ HISTOIRE DE L’ HOMME : de la peste d’Athènes à la pandémie grippale Sciences Humaines et Sociales UFR Lyon-Sud Charles Mérieux POUR LA METHODOLOGIE UNE EVOLUTION MEDICO - SOCIALE • Des invariants biologiques : agents infectieux, contagion, apprentissage immunitaire, niche écologique et sélection naturelle • Des invariants sociaux ? Modes de réactions des sociétés humaines en face des grandes épidémies • Des changements majeurs au cours du XXème siècle : progrès de l’hygiène

SOMMAIRE INTRODUCTION ………………………………………………. P 2 I) Un cadre sain pour un sommeil bénéfique ………………………………………………. P 4 1.1 Des constats de l’accueil ………………………………………………. P4 1.2 L’enfant et la défense ………………………………………………. P5 1.3 Agressions extérieures ………………………………………………. P6 1.4 Localisation ………………………………………………. P7 II) Transmissions des virus et bactéries ………………………………………………. P7 2.1 Leur mode d’action ………………………………………………. P8 2.2 L’attaque infectieuse ………………………………………………. P8 2.3 Comment

limitation du risque infectieux dans les pays industrialisés [1]. En zone tropicale et subtropicale les conditions climatiques et les difficultés d’assurer une hygiène efficace font que les parasitoses intestinales posent un réel problème de santé publique [1]. L’amibiase intestinale a un impact sérieux sur le développement socio-économique des populations des pays en voie de développement ; elle est extrêmement répandue dans les pays chauds et se transmet par le péril fécal [2]. L’OMS estime