Rivière du Lièvre

 dans une vallée au  coeur dʹun massif à allure montagneuse  et  pourvu  dʹune  très  belle  forêt  exubérante  qui  est  la  plus  méridionale  en son genre au Maroc oriental.       En  plus  de  la  réputation  de  sa  richesse  en  gibier  (sangliers,  lièvres,  perdrix...),  elle  revêt  un  intérêt  touristique  particulier  par  ses  sources  (Aïn  Lakbira  à  Tafrent,  Aïn  Sbilya...),  ses  douars  perchés  et  ses  nombreux  sites.  Plateaux  des  vestiges  de  la  principauté Mérinide, lʹancienn

couloir. Les meilleures chambres se trouvaient toutes sur la gauche (en entrant), car elles étaient les seules à avoir des fenêtres, des fenêtres circulaires et profondes, donnant sur le jardin et les prairies qui descendaient au-delà jusqu'à la rivière. Ce hobbit était un hobbit très cossu, et il s'appelait Baggins. Les Baggins habitaient le voisinage de la Colline depuis des temps immémoriaux et ils étaient très considérés, non pas seulement parce que la plupart d'entre eux étaient riches, mais

le domestique, crut à un ordre et alla tirer l’un des rideaux. Après les œufs brouillés, parurent des truites de rivière. 13 - La conversation était tombée sur la crise industrielle qui s’aggravait depuis dix huit mois. C’est cette sentence qui sera exécutée demain. Qui ne sut se borner ne sut jamais écrire (Boileau) Pierre qui roule n’amasse pas mousse Qui court deux lièvres à la fois n’en attrape aucun. Les légendes de mer veulent que le requin y voit mal et que le pilote le guide vers

Valence, entre le XVème et le XVIème siècles, pour que les paysans et les bergers puissent cuisiner un plat facile à préparer et à transporter, avec des ingrédients disponibles sous la main. Au début, ces ingrédients étaient des oiseaux, du lapin ou du lièvre, des légumes frais, du riz, du safran et de l’huile d’olive, qui se mélangeaient avec l’eau à feu doux, au-dessus d’un feu qui brûlait des morceaux de bois d’oranger pour donner un supplément d’arôme. Il n’existe pas de documents historiques signalant

chasseurs qui voit passer un lièvre abandonne le guet pour attraper le lièvre. Ainsi, bien que les deux hommes ne nourrissent aucune hostilité l’un à l’égard de l’autre, qu’ils se soient mis d’accord sur le bien commun (i.e. attraper un cerf), ils se révèlent incapables de l’atteindre. Que s’est-il donc passé ? L’intérêt individuel l’a emporté sur l’intérêt collectif. Dans la situation qui est celle des deux chasseurs, il est rationnel pour chacun de poursuivre le lièvre plutôt que de coopérer en prenant

lui-même, parce qu’il est la proie d’une hallucination. Il rentre chez lui, « l’âme bouleversée […] certain […] qu’il existe près de [lui] un être invisible » (l. 31 à 33). Le 7 août : le Horla se manifeste l’après-midi, au grand soleil, près de la rivière. Il force le narrateur à rentrer chez lui. Celui-ci obéit, s’attendant à recevoir une mauvaise nouvelle : il n’en est rien (l. 84 à 86). Le 17 août : il se manifeste la nuit, dans la chambre du narrateur, qui est assis devant sa fenêtre, ouverte sur

riches d’ailleurs.Mais plus un négociant normand devient opulent et plus il souffrede tout sacrifice, de toute parcelle de sa fortune qu’il voitpasser aux mains d’un autre. Cependant, à deux ou trois lieues sous la ville, en suivant lecours de la rivière, vers Croisset, Dieppedalle ou Biessart, lesmariniers et les pêcheurs ramenaient souvent du fond de l’eauquelque cadavre d’Allemand gonflé dans son uniforme, tué d’un coupde couteau ou de savate, la tête écrasée par une pierre, ou jeté àl’eau d’une

personne ne le redoute. Il s’appelle Tourbillon Et à tout le monde il fait des façons. C’est un petit rongeur Qui ne nous fait pas peur. Il y en a des bruns et des gris. Mais non! ce n’est pas une petite souris, Ni un gros chat gris, Est-ce un lièvre ou un chevreuil? Non, c’est mon ami l’écureuil Martine Adam, 10 ans L’école sur mesure : 152e unité de travail 78) D’après vous, quelle est l’intention de l’auteur de ce poème? a) b) c) d) d’inciter d’émouvoir de raconter d’argumenter

du Rhône ; 24 novembre 1248 : éboulement d'une tranche de la face nord du Granier, en Savoie (entre 1 000 et 5 000 morts), formant les vignobles vallonnés des Abymes ; Le 26 avril 1908, un glissement survenu sur les rives argileuses de la rivière du Lièvre, dans le village de Notre-Dame-de-la-Salette fait trente trois victimes. Deux jours plus tard, lors des funérailles de 19 victimes, 18 cadavres manquent toujours à l'appel. On peut retrouver dans les éditions des 27,28,29 et 30 avril 1908 du

Le complément d’attribution répond aux questions : à qui ? à quoi ? pour qui ? pour quoi ? contre qui ? contre quoi ? Avec les verbes passifs on trouve le complément d’agent (l’agent est celui qui agit) : « Le lièvre fut tué par le chasseur. » Qui est-ce qui fut tué ? Le lièvre. Lièvre est bien le sujet du verbe passif. Mais qui a fait l’action de tuer ? Qui est « l’agent responsable » ? Le chasseur > complément d’agent du verbe tuer au passif. Approfondissons l’étude des compléments circonstanciels