Rivière Jacques-Cartier

Fer rièr e Les Lions mi n l'Érau d Jacques n sive Cheverny Angevinière La ul Pa Route R Co . de rno u P ro fess eur Boulevard Michelet re s Av. des Ga b im R ou te Ru e Bar aud ière Im Dr il Ma ssa cre se nb Boulev ard. C o u d ra y La Pl a Av. de D 75 du F. Fau re Lassé R. de la Dut R. d du Ma ain e Chêne Av. P. Painle vé M arc el Av. J. Carti e r R. d est Bd ire Rivaudière

Guy Mollet G. Blanc École Centrale Ra Jules Verne 11 12 Tréca 71 75 P. La Grille Ste Luce Loire R. J . Ve t Ch Av. l'Érau d atte rie Dépot SEMITAN Sillon de Bretagne Bd de la 3 54 Jacques n sive Cheverny Angevinière La ul Pa Ch. R Co . de rno u Ve rn P ro fess eur Boulevard Michelet Av. des Ru e audiè rie Closeaux Centre René Gauducheau Bergerie 73 Boulev ard. re s Ga b T héb im

rchill Lassé ée Chêne du R. Tisse rand R. du Av. ul Pa Boulev ard. l Pau rie Lo La D 75 R. de la Dut M arc el Av. J. Carti e r er g se nb Ro Bd let Dr il Fr an Mill ço e P is Be II ertu rli is g Ro out ch u Gâ tin e Av .d e od Mon Jacques P ro fess eur s eu r im pr de R. du Pont Marc h a nd Rue Ple s Pla c Va ld u sis Ce ns ra le eC en t he s au

fut Simon Thibodeau, un acadien déporté revenu des États-Unis. Quatre-vingt trois potiers y exercèrent leur métier. Ils utilisaient l'argile locale pour tourner leurs vaisseaux de terre. La région de Québec, plus précisément Les Saules le long des rivières St-Charles et Lorette, est un endroit favorable pour la production de la poterie depuis les débuts de la colonie. Au XIXe siècle, de petites manufactures comme les poteries Bell, Dion, Goodwin (Hobson) et Smolenski-Mederschein s'y installent. La

Bd uc t ya Chu rchill Lassé ée Chêne du R. de Boulev ard. l Pau rie Lo La D 75 R. de la Dut M arc el Av. J. Carti e r er g se nb Ro Bd let Dr il Fr an Mill ço e P is Be II ertu rli is go Ro ut ch u Gâ tin e tz Re in op Av .d e od Mon Jacques P ro fess eur s eu r im pr Im ina Mo de R. du Pont Marc h a nd Rue Ple s Pla c Va ld u eC sis Ce ns ra le

Montréal Noms et encyclopédie dans l'oeuvre de Jacques Ferron suivi d'un index onomastique général par Luc Gauvreau Département d'Études françaises Faculté des arts et sciences Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de Maître ès arts (M. A.) en Études françaises avril 1994 Luc Gauvreau, 1994 SOMMAIRE L'ensemble des noms propres dans l'oeuvre de Jacques Ferron forme une encyclopédie de près de 9 000 noms

son développement urbain et aux marques distinctives de sa culture. Son patrimoine incite à une lecture de la ville qui facilite la compréhension de son histoire et de son identité culturelle. Dès les premières relations de voyage, celles de Jacques Cartier entre autres, ses rives accessibles, sa plaine et sa montagne sont décrites comme un site exceptionnel et une terre fertile à l'établissement d'une bourgade. Cette situation stratégique favorisera une activité portuaire intense alors que pendant

Chêne du R. Tisse rand R. du Bd St S er v a n Lo La Boulev ard. l Pau rie Bd er g se nb Ro D 75 R. de la Dut M arc el Av. J. Carti e r let Dr il Fr an Mill ço e P is Be II ertu rli is go Ro ut ch u Gâ tin e Da rt Av .d e od Mon Jacques P ro fess eur s eu r im pr tz Re de de R. du Pont Marc h a nd Rue Ple s Pla c Va ld u eC sis Ce ns ra le en t he s

Nouvelle-France 1543 – 1763 Aucun textes fantastiques, les écrits sont appelés des ‘’relations’’ (journaux, lettres, etc.) Les premiers textes en territoire CF = 3 récits de voyages de Jacques Cartier (par rapport au territoire) Vision d’un voyage, Cartier décrit le territoire en voyageant sur son bateau sur le fleuve et les rivières. (Il y a une distance entre lui et ce qu’il voit.) Les Missionnaires Les jésuites : travaillent pour le pape La Compagne de Jésus Les ethnographes et anthropologue de notre

Canada était constitué de seulement cinq provinces : le Québec, l’Ontario, la Nouvelle-Écosse et le Nouveau-Brunswick. Tout l’ouest du Canada actuel s’appropriait à la Compagnie de la Baie d’Hudson incluant la Terre de Rupert. À l’intersection des rivières Rouges et Assiniboine, un gouverneur ainsi qu’un conseil était nommé par la Compagnie de la Baie d’Hudson pour administrer la population du territoire, principalement constitués de Métisses, de Blancs et d’Indiens. Les ‘’naturels’’ du pays vivaient