Rivière Rideau

tombées et sèches que la brise poussait, remuait, amoncelait en tas par endroits, semblait un douloureux soupir d'agonie. De tout petits oiseaux sautaient de place en place avec un léger cri frileux, cherchant un abri. Garantis cependant par l'épais rideau des ormes jetés en avant-garde contre le vent de mer, le tilleul et le platane encore couverts de leur parure d'été semblaient vêtus l'un de velours rouge, l'autre de soie orange, teints ainsi par les premiers froids selon la nature de leurs sèves

Ma chambre se situe au premier étage. Quand je sors de ma chambre, à ma droite, on peut apercevoir la salle de bain. Tout droit on trouve la descente du sous-sol. À ma gauche complètement, il y a la chambre de mes parents. Tout ceci se trouve à la fin d’un corridor. Aussitôt qu’on entre dans la pièce, la première impression qu’on a c’est la tranquillité, car c’est propre. On remarque que tous mes meubles sont d’un teint beige et s’y trouve des taches de bleu pâle. La pièce est de forme carré

suivantes, des exemples illustrés de nos journées d’intervention sur le terrain. Lundi 20/05/2013 Remise en état de fonctionnement d’une porte souple à enroulement (carte mère défectueuse) Changement moteur rideau métallique Changement plaques d’un rideau métallique (cause collision camion) Mardi 21/05/2013 Constat défaut de moteur (prit l’eau), matériel mal fixé (devis effectué pour changement) Mercredi 22/05/2013 Portes piétonnes télescopiques (réalignement des cellules

Sierra Axtell FR 4100 Dr. Touya Composition I La Vie d’une Femme en Algérie La tradition islamique a établi des limites claires entre le domaine public et privé où il y a une reconnaissance du pouvoir et d'une répartition de l'espace entre les sexes. Les hommes sont en défaut de posséder l'espace urbain, alors que les femmes doivent se limiter de l’espace cachée de leurs maisons. Dans « La Voyeuse Interdite » Nina Bouraoui décrit la vie d’une jeune fille qui est emprisonnée derrière la fenêtre

qui se ronge les ongles et se mord les lèvres sous un crâne entièrement bandé. Près de lui, Marilyn (douze ans et un peu grasse), affalée sur un tabouret, écrase son atonie – d’un bâillement, elle avalerait le monde – tandis que Mishima descend le rideau de fer et commence à éteindre quelques tubes au néon. La mère ouvre un tiroir sous la caisse enregistreuse et sort, d’un carnet de commandes, deux feuilles de papier qu’elle déplie : — Regarde ce dessin de Marilyn comme il est sombre et celui-là,

visage de s'y agripper. Il s'y agripper, tira, tira encore, avant d'enfin s’asseoir sur le reste de ses jambes, et souffla un bon coup. Il tourna alors la tête vers le rideau, le rideau vert en plastique qui ne laissait aucune lumière passer. Il le poussa de sa main gauche. L'aveugle, coucher dos a la fenêtre, entendis le bruit du rideau tiré, tourna la tête vers celui-ci attendant que Viktor s’exprime. Mais Viktor, qui regardais pour la première fois a travers cette fenêtre, avais les yeux grand ouvert

ACTE 1 Une chambre à coucher. La nuit. Une lampe sur la table. Scène première DONA JOSEFA DUARTE, vieille ; en noir, avec le corps de sa jupe cousu de jais, à la mode d'Isabelle-la-Catholique ; DONC CARLOS DONA JOSEFA, seule. Elle ferme les rideaux cramoisis de la fenêtre et met en ordre quelques fauteuils. On frappe à une petite porte dérobée à droite. Elle écoute. On frappe un second coup. Serait-ce déjà lui ? Un nouveau coup. C'est bien à l'escalier Dérobé. Un quatrième coup. Vite

Entre cette grande porte et la petite, une fenêtre ogivale. Autre petite fenêtre à droite de la scène, petite porte sur le devant du plateau, du même côté. Près de la grande porte, un vieux garde, tenant une hallebarde. Avant le lever du rideau, pendant que le rideau se lève et quelques instants encore, on entend une musique dérisoirement royale, imitée d'après les Levers du Roi du XVIIe siècle. LE GARDE, annonçant. Sa majesté, le Roi Bérenger Ier. Vive le Roi ! Le Roi, d'un pas assez vif, manteau

d’ergonomie respecté (lit à hauteur de l’AS). Ensuite commence le soin, étant dans une chambre double, je constate qu’il manque un élément parmi le matériel utilisé qui est le rideau de séparation (lit voisin faisant face) Je me suis donc permis de le tirer sans en parler à l’aide-soignante ou lui demander son autorisation. Ce rideau habituellement utilisé par les autres soignants lors des soins. Observation et étonnement. Etant en observation d’un soin de confort fais par une aide-soignante, les

protégés, sur un des longs côtés, par deux rideaux coulissants sur une tringle. La diffusion des tentures est manifeste au cours du XIIIe siècle. Aux XIIIe et XIVe siècles, ces deux rideaux latéraux peuvent être quelquefois remplacés par un seul rideau, surtout en France et en Italie. À la même époque, en Italie et en France du Sud, la majorité des lits, du moins en milieu aisé, sont protégés sur leurs deux longs côtés par des rideaux suspendus à des tringles nettement visibles, proches du plafond