Robe du cheval

beautés blondes. On aurait pu lui reprocher trop d'embonpoint ou plutôt un négligé artistique. Aussi les femmes en général la trouvaient-elles de mauvais ton. Elle parlait lentement : c'était une voix modulée, musicale et douce... Elle avait une robe fine, de mousseline blanche, qui laissait voir les contours moelleux de son bras. Quand elle se leva pour partir, elle mit une capote3 blanche avec un seul nœud rose ; elle le noua d'une main fine et potelée4, une de ces mains dont on rêve longtemps

également rédiger des cahiers de doléance directement adressés au Roi. - les pays d’élection : circonscriptions fiscales dans lesquels le roi à tout les pouvoirs et prélève directement les impôts. L’immensité du territoire. -22 journées de large à cheval -18 jours de long (Paris-Marseille) Difficultés pour transmettre les informations = long et périlleux. Voies d’eau utilisées. Mais progrès à partir du 18éme siècle avec la création de routes royales. C) Un royaume assemblé autour d’un roi.

sa sensualité et sa prestance. * Mission: être capable de rendre une femme belle sans artifice. Cette citation résume bien la mission de Dior: «Dans une réception, si l'on dit à une femme: quelle belle robe! C’est que sa robe est ratée. Mais si l'on dit: quelle belle femme! C’est que sa robe est réussie.» * Valeurs: Le respect de la femme, la confiance en soi, le pouvoir. * Personnalité: Une relation de confiance. 3 - Analyse publicitaire 3 – 1 Plan de campagne Cette publicité

femme de Curley : belle, attirante, elle n'a pas épousé Curley par amour, mais par nécessité. Elle rêvait de devenir actrice ou de travailler dans un cirque. Crooks : Le palefrenier noir. Il a le dos de travers, là où il a reçu un coup de pied de cheval.  Il ne vit pas avec ses camarades du ranch car il est noir et les autres l'accusent de sentir mauvais. Tante Clara : Femme qui a élevé Lennie Small. Whit : Un jeune ouvrier agricole. Il a des  épaules tombantes, il marche lourdement sur les talons

très extravagant par ses couleurs, son bonnet bariolé et son boa. Ce dernier sera d'ailleurs utilisé pour masquer le visage de la maîtresse rappelant le théâtre antique — qui était masqué — et représentera les brides du cheval d'Euphrosine. Ceci fait un énorme contraste avec la robe blanche de soirée de sa maîtresse bien plus sobre. Par ailleurs, Irina Brook réinterprète le personnage de Trivelin qui apparaît désormais comme un magicien avec son costume noir à queue de pie et son chapeau hautde-forme

puis dévoilées) et d’un lit qui est rajouté par la suite et qu’on suppose être celui de Dom Juan. C’est une réécriture dans un univers du cirque, à travers une gestuelle clownesque. L’arrivée de celui-ci est signalée par un enregistrement de pas de chevaux. Habillé de façon menaçante: veste en cuir ainsi que pantalon en cuir, nous découvrons un personnage maquillé ayant une certaine prestance et montrant donc un certain niveau social. Pendant cette arrivée, le maitre et son valet vont beaucoup d’ébattre

d´écraser la poitrine. Les manches deviennent plus courtes. En hiver les vetêments étaient doublé à cause du gel et de la neige. Le XVIIIe siècle – Marie Antoinette Dans cette époque là , la mode devient plus simple. „À la cour c´est la robe à la française qui triomphe jusqu´a la Révolution. L´Angleterre a une forte influence sur la mode française. Cette influence est renforcée par Marie- Antoinette.“ 3Comme elle a été la première  dame en France, elle voulait etre à la mode. Dans ce

suivant (amour, guerre, enfants, animaux), trouvez deux poèmes qui l’évoquent. L’amour peut être illustré par Alicante page 24 et par Osiris ou la fuite en Egypte page 221. Le thème de la guerre quant à lui peut être évoqué par Histoire du cheval page 17 et par L’ordre nouveau page 176. Le thème des enfants peut être représenté par Le cancre page 63 et par Chasse à l’enfant page 86. Enfin, les animaux peuvent être illustrés par La pêche à la baleine page 20 et par Salut à l’oiseau page

Quand vous sortirez le matin avec l’intention décidée de flâner sur les grandes routes, remplissez vos poches de petites inventions à un sol, — telles que le polichinelle plat mû par un seul fil, les forgerons qui battent l’enclume, le cavalier et son cheval dont la queue est un sifflet, — et le long des cabarets, au pied des arbres, faites-en hommage aux enfants inconnus et pauvres que vous rencontrerez. Vous verrez leurs yeux s’agrandir démesurément. D’abord ils n’oseront pas prendre; ils douteront

l’antique. Une table de toilette avec une tasse à tisane vide et même l'amorce d'un miroir. Sur le lit la figure très étrange d'une jeune femme qui paraît anéantie. Elle porte une longue robe. En s'approchant dans un clair-obscur extrêmement goudronneux, nous verrions apparaître, dans les courtines du lit, une tête de cheval avec des yeux énormes, globuleux, saillants, brillants comme des opales, verdâtres, bleuâtres. Sur le sternum de la jeune femme, un singe ou un gnome, un être ricanant, abominable,