Robert-Cliche

emphatique. Utilisation de l’imparfait: à la fois description, et expression de la mélancolie baudelairienne. = absence d’espoir (imparfait itératif qui souligne la répétition invariable des mêmes actions). - Poème paradoxal où au contraire du cliché qui fait qu’un nouveau jour se lève et fait naître l’espoir, ici « le crépuscule du matin » est désespérant. Poème qui opère une séparation entre le corps et l’âme. Le poème illustre une conception dualiste de l’homme, brisé sous les contradictions

Vers | Procédés formels | Explications | «J’ai blanchi toute une nuit»(vers 1) | Métaphore | L’émettrice veut dire qu’elle a passé la nuit éveillée. | «Noircir les feuilles de mes pensées»(vers 3) | Métaphore | L’émettrice veut dire qu’elle a rayé les pensées qui la contrariaient. | «Arracher des morceaux de ma vie/ Comme on déchire les pages d’un cahier»(vers 4-5) | Comparaison | Elle a passé la nuit à effacer de sa pensée des souvenirs dont elle veut oublier. | «Partir à tous les

mondes : l'Amérique proprette et tranquille et l'Amérique violente et perverse. Chacuns de ces mondes peut être représentés par un personnage. L'Amérique calme et douce se retrouve dans Sandy Williams, une jeune fille amoureuse et gentille, un vrai cliché sorti des séries américaines. Elle est la fille de l'inspecteur de police, elle est du côté de la justice, du côté des lois. Mais elle est aussi la petite amie de Jeffrey. Elle est totalement « fleur bleue », elle rêve de l'amour parfait avec lui

complicité avec le « nègre » : « J’arborais un grand sourire complice ». On voit également que le personnage « assis sur un banc du tramway » se trouve dans une posture pas très élégante. La description que fait l’auteur apparaît un peu comme un cliché du « nègre de l’époque ». Le terme « complice » prononcé à la fin de l’extrait montre que l’auteur se mélange avec ce personnage car l’auteur vient de Martinique. Au fur et à mesure du poème, Césaire voit un nègre « grand comme un pongo » pour,

la comparaison Elle établit un rapprochement entre deux termes, grâce à un élément grammatical (comme, tel que, ressembler à, etc.) à partir d'un élément qui leur est commun. Elle a deux valeurs : elle explique par une image et elle met en relation deux univers. "tes larmes que j'ai avalées, petite amie, étaient salées comme une herbe de marée." (Francis Jammes) la métaphore Elle établit un assimilation entre deux termes. Il n'existe pas de terme de comparaison entre le comparé et le

comparaison ou une métaphore est tellement utilisée qu’elle devient usée et banale, elle se transforme : -          en expression lexicalisée :  Ex : prendre ses jambes à son cou ; verser des torrents de larmes ; être doux comme un mouton… -          en cliché : Ex : des cheveux d’or ; un cœur de pierre…   Les figures de substitution, qui remplacent un terme par un autre terme ou par toute une expression :                   Métonymie | Elle remplace un mot par un autre mot selon un lien logique.

illusion consciente et prolongée ? Loin d'être un avertissement, le « carreau cassé » affirme la disparition du passé. - Emma « ferme les yeux » à la fin du passage : elle semble entretenir son illusion. II. L'ironie de Flaubert Une esthétique du cliché : - Les personnages semblent ne pas avoir de personnalité propre. « un air de famille, quelles que fussent leur différence d'âge, de toilette ou de figure ». Tous sont à l'unisson (cf. remarque sur leur âge). - Une littérature un peu dépassée :

T = Idée de cacophonie lors d’un orage. - Candide pas un nom germanique mais il annonce le caractère du personnage et peut-être sa physionomie. - Pangloss « pan » = tout , « gloss »= langue : personnages qui parle toute les langues, le cliché du savoir. • Les autres pers. Sont réduit à des détails : La barone « 350 livres » = son poids considérable, Cunégonde > nourriture. = Personnages sont réduit à des marionnettes. B) Le cadre. •Propre à la scène : dans un château avec un décor

Octobre 2009 : Gerard Butler, acteur réputé aux États-Unis, tabasse un paparazzo pour avoir pris des clichés non autorisés lors de la première de son film « RocknRolla ». Celui-ci devra comparaître en justice le 10 juin prochain, accusé de coups et blessures. La question ici posée est : Avons-nous réellement le droit d’obtenir et de diffuser l’image d’une personne en toute circonstance ? Dans un premier temps, nous allons exposer pourquoi nous avons le droit de faire et publier tous types de photos ;

 : Quand une comparaison ou une métaphore est tellement utilisée qu’elle devient usée et banale, elle se transforme : en expression lexicalisée : Ex : prendre ses jambes à son cou ; verser des torrents de larmes ; être doux comme un mouton… en cliché : Ex : des cheveux d’or ; un cœur de pierre… Les figures de substitution, qui remplacent un terme par un autre terme ou par toute une expression : |Métonymie |Elle remplace un mot par un autre mot selon un lien logique. |Ex : Je viens