Robert de Saint-Loup

Breton qui fut saisi par son côté magique et auquel l’objet fut cédé. Victor Brauner (1902-1966) ) *Loup-table, 1939-1947* Bois et éléments de renard naturalisé 54 x 57 x 28,50 cm La table, objet on ne peut plus familier et réconfortant car lié aux repas, à l’élément nourricier source de vie, se retourne en son contraire se métamorphosant en animal agressif et dévorant. Le mot loup, contenu dans le titre, évoque les contes d’enfants et les fantasmes d’engloutissement par dévoration. Néanmoins

La représentation de la mort et la quête d'immortalité dans les films de Walt Disney UNIVERSITÉ PARIS 8 VINCENNES SAINT-DENIS UFR ARTS, PHILOSOPHIE, ESTHÉTIQUE DÉPARTEMENT ARTS PLASTIQUES REPRÉSENTATION DE LA MORT ET QUÊTE D’IMMORTALITÉ DANS LES FILMS DE WALT DISNEY MASTER 1 MENTION ARTS PLASTIQUES ET ART CONTEMPORAIN Spécialité Théorie et pratique de l’art contemporain et des nouveaux médias Session juin 2012 SOMMAIRE INTRODUCTION p 3-5 I. DE BLANCHE NEIGE À LA BELLE AU BOIS DORMANT : UN

la famille Coupeau. Ce titre représente la déchéance de cette famille, il frappe instantanément le lecteur par la violence sèche de ses trois syllabes. Le mot est assez inhabituel pour que nous nous interrogions sur sa signification : D’après le Robert, un assommoir est initialement un bâton, garni de plomb à une extrémité, dont se servaient les chasseurs pour tuer les animaux à fourrure sans l’endommager. Il pouvait servir d’arme de guerre. Le mot désigne également un piège destiné à assommer renards

René Barjavel et Claude Schnerb, qui publie Humulus le muet (jamais publiée depuis sa création en 1932), avec des dessins de Raymond Peynet24, ainsi que sa nouvelle Histoire de M. Mauvette et de la fin du monde25. Toujours la même année, il rencontre Robert Brasillach (dont il demandera la grâce en 1945) « dans les coulisses, chez Pitoëff ». Anouilh décrira ainsi cette rencontre en 1955 : « Voilà un jeune homme qui vous aime bien, et qui aime bien le théâtre, me dit Georges, vous devriez le connaître

guadeloupéenne en France, Paris, L’Harmattan, 1978. AGEORGES Sylvain, Sur les traces des expositions universelles (1855-1937), Paris, Parigramme, 2006. AGERON Charles-Robert, « L’Exposition coloniale de 1931, mythe républicain ou mythe impérial  », in N ORA Pierre (dir.), Les lieux de mémoire, Paris, Gallimard, 1997. AGERON Charles-Robert, « Vichy, les Français et l’Empire », in AZÉMA Jean-Pierre, BÉDARIDA François, Le régime de Vichy et les Français, Paris, Fayard, 1992. AH-PENG Yves, « Les Réunionnais

Les Sorinières G 8 l'Hameçon Pas d'Ane Parc Bel Air Route Rue Bernard 33 D5 Clouzeaux Mortier Vannerie Trois Métairies Coqueluchon Grammoire Parc Industriel de la Vertonne Porte de Vertou n° 47 Robert Scott Gare Vertou Sud Saupin Porte de Vertou Clouet 33 Robinière d l'Ebaupin Landas L'Aufrère r ie Ma r ue riq é iph Rue 2014 t Es Sauvestre C SEMITAN - Tous droits de reproduction réservés

Quelques candidats : • Bruère-Allichamps (Cher) • Saint-Amand-Montrond (Cher) • Saint-Sauvier (Allier) • Saulzais-le-Potier (Cher) • Vesdun (Cher) France d'outre-mer La France reste aussi présente dans d'autres continents par des dépendances aux statuts administratifs divers : • Guadeloupe • Martinique • Guyane • La Réunion • Saint-Martin • Saint-Barthélemy • Saint-Pierre-et-Miquelon • Mayotte • Nouvelle-Calédonie

seule exception près — le terme même de métarécit. Ce mot-là ne se voit en effet utilisé que rarement (Genette lui-même parle couramment de «récit second» ou de «récit métadiégétique»), quelquefois même dans des acceptions erronées. Dans l'étude de Robert Scholes est désigné par le terme de métarécit le récit expérimental de notre temps, ou bien, pour reprendre les paroles de l'auteur, «l'œuvre consciente d'elle-même qui, en explicitant ou en parodiant, met à nu le procédé».20 Le procédé métafictionnel

la faire pleurer ainsi, elle et tout le monde. Elle me répondit qu’il y fallait, au contraire, une grande âme et un beau talent, mais je ne la compris pas. Je n’entendais rien alors à la volupté des larmes. La voiture nous arrêta dans l’île Saint-Louis, devant une vieille maison que je ne connaissais pas. Et nous montâmes un escalier de pierre, dont les marches usées et fendues me faisaient grise mine. Au premier tournant, un petit chien se mit, à japper : « C’est lui, pensai-je, c’est

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