Rodolphe Salis

pharmacien s'éloigna d'un pas rapide, sourire aux lèvres et jarret tendu, distribuant de droite et de gauche quantité de salutations et emplissant beaucoup d'espace avec les grandes basques de son habit noir, qui flottaient au vent derrière lui. Rodolphe, l'ayant aperçu de loin, avait pris un train rapide ; mais Mme Bovary s'essouffla ; il se ralentit donc et lui dit en souriant, d'un ton brutal : - C'est pour éviter ce gros bonhomme : vous savez, l'apothicaire. Elle lui donna un coup de coude

comment se comportaient les spectateurs ? Pourquoi les gens allaient-ils à un café concert ? Saviez-vous ? Ce sont des renseignements ou des gens importants dont il faut s’informer ; pour chacun, propose au moins 2 points signifiants |Rodolphe Salis | |[pic] | | | |

qu’elle côtoiera chez les Hydropathes. Elle participe régulièrement aux soirées littéraires du Chat noir fondé par Rodolphe Salis et en vogue à Montmartre en 1879. Marie Krysinska décrivait le club comme « l’union du monde de la musique et de la poésie dans le royaume de la peinture qu’est Montmartre. » Dès lors, on comprend mieux la dédicace du poème « Symphonie en gris » à Rodolphe Salis, alliant les trois arts fondamentaux dans sa poésie, musique, poésie et peinture. C’est avec eux que la jeune musicienne

cabaret se distingue grâce à  sa vente de vin " à assiette" c'est à  dire au détail. Les clients ont l'habitude de chanter. Il peut accueillir des réunions chantantes. Chants et boissons sont associés dans une même notion de plaisir et de détente. Rodolphe Salis imagine d'associer art et boisson ce qui va faire naitre la chanson de cabaret. Les cabarets se spécialisent peu à peu autour des thèmes macabres et pornographiques, maintenant la plupart sont devenus des petites salles de théâtres où on joue

dans Les Mystères de Paris ; mais on connaît surtout les cabarets artistiques, à l’origine de petits cénacles littéraires confidentiels, qui rapidement s’ouvrent à tous les publics : le premier en date, Le Chat noir, créé en 1881 et tenu par Rodolphe Salis à Montmartre, est le refuge favori des personnalités de l’époque (Alphonse Allais, Aristide Bruant) comme des quidams avides de divertissement (cirque, chant, danse) ; quant aux Folies Bergère, elles donnent naissance, en 1886 et sous l’impulsion

groupe fut divisé en deux. Les Hirsutes qui regroupaient les moins fortunés, opposés aux Fumistes. La même année, Rodolphe Salis crée le cabaret du Chat noir. Ce cabaret regroupait tout les artistes et tout les hommes de lettres, car il se trouvait dans le centre de Montmartre. On y entendaient des chansons populaires, des poèmes, même les garçons de salle fredonnaient. Rodolphe Salis y découvrit ses talents : «  On va préparer son absinthe, Avant d'éplucher les oignons, On peut bien s'en payer une

Logeant depuis 1883 sur la butte Montmartre (Seine), il y fit rapidement connaissance avec tout le petit monde artistique qui y gravitait. Il entra en relation avec Adolphe Willette, avec lequel il fréquenta à partir de 1884, le cabaret tenu par Rodolphe Salis, 'le Chat noir', devenant notamment l'ami d'Henri de Toulouse-Lautrec. Il y connut naturellement Aristide Bruant. Il exposa initialement au Salon des Indépendants (1893), puis régulièrement, à celui des Humoristes. Adversaire de l'injustice, compatissant

l’estampe remonte à l’enfance où il découvre Gustave Doré. Il s’intéresse aux procédés de reproduction photomécanique. Il travaille à la foi comme pigiste et illustrateur pour le Chat noir, revue fondée en 1882 par Rodolphe Salis, du nom d’un cabaret à Montmartre fondé par le même Salis. Il fait une série de dessin repris dans une série intitulée... .du chat noir qui regroupe les illustrations du journal. Rivière passe de l’illustration à la gravure. Ses amis l’ont convaincu, ses premières gravures

vers la maison du médecin, suivi d’un paysan marchant la tête basse d’un air tout réfléchi. – Puis-je voir Monsieur ? demanda-t-il à Justin, qui causait sur le seuil avec Félicité. Et, le prenant pour le domestique de la maison : – Dites-lui que M. Rodolphe Boulanger de la Huchette est là. 117 Ce n’était point par vanité territoriale que le nouvel arrivant avait ajouté à son nom la particule, mais afin de se faire mieux connaître. La Huchette, en effet, était un domaine près d’Yonville, dont

dirigeait vers la maison du médecin, suivi d'un paysan marchant la tête basse d'un air tout réfléchi. Puis-je voir Monsieur ? demanda-t-il à Justin, qui causait sur le seuil avec Félicité. Et, le prenant pour le domestique de la maison : Dites-lui que M. Rodolphe Boulanger de la Huchette est là. Ce n'était point par vanité territoriale que le nouvel arrivant avait ajouté à son nom la particule, mais afin de se faire mieux connaître. La Huchette, en effet, était un domaine près d'Yonville, dont il venait d'acquérir