Rodrigues

de Bivar est un personnage légendaire du XIes. Vassal du roi de Castille, Don Fernand, ses faits d'armes lui valent le surnom de Cid, seigneur en arabe. Le dramaturge s'intéresse avant tout aux amours contrariés des deux personnages principaux : Rodrigue le fils du noble don Diègue et Chimène la fille du Comte de Gormas. La scène d'exposition de la version définitive de 1682 se déroule à Séville, plus exactement dans les appartements de Chimène. L'intimité du lieu permet à la jeune femme de laisser

Cette scène commence par des répliques très courtes dans lesquelles Rodrigue interpelle le Comte («À moi, Comte, deux mots»). Les répliques de Rodrigue se poursuivent par une série d'interrogations auxquelles le Comte répond tout d’abord par des monosyllabes traduisant le mépris qu’il éprouve pour son interlocuteur («Parle», «Oui»…). Ces questions n’attendent pas particulièrement de réponses («Connais-tu bien don Diègue ?», «Sais-tu que ce vieillard fut la vertu même […] ?»). Ce sont des interrogations

remportera un succès inouï et marquera la naissance véritable du classicisme dans la dramaturgie française. La scène 6 qui clôture l’acte I « Un débat intérieur » met en scène Rodrigue qui exprime le dilemme qui le déchire : son père qui fut déshonoré par le compte le somme de le venger. Or, le compte est le père de Chimène, que Rodrigue aime passionément. Dans cet acte, le héros est déchiré : s’il sauve son honneur, il perd sa maîtresse ; s’il cherche à sauver l’amour, il perd son honneur. C’est le « conflit

Tourne .La Régie générale et lumière: Damien Leclerc, Jean-Yves Pillone et la Régie son: Christophe Cartier.Un petit résumé ?Rodrigue et Chimène s’aiment. Le père de Chimène, jaloux d’une faveur qu’a fait le Roi au père de Rodrigue, gifle ce dernier, qui, affaibli par l’âge et trop vieux pour répondre lui-même à cet affront, remet sa vengeance entre les mains deson fils. Rodrigue, déchiré entre son amour et son devoir, finit par écouter la voix du sang et tue le père de Chimène en duel !

vraisemblance) -unité d’action (une action Principale) LE CID Résumé Rodrigue, fils de don Diègue, et Chimène, fille de don Gormas, vont se marier.Mais le comte, jaloux de se voir préférer le vieux don Diègue pour le poste de précepteur du prince, offense ce dernier en lui donnant un soufflet. Don Diègue, affaibli par l’âge et trop vieux pour se venger par lui-même, remet sa vengeance entre les mains de son fils Rodrigue qui, déchiré entre son amour et son devoir, finit par écouter la voix du

originale a été publiée pour la première fois dans la revue « Je Bouquine » en 2001, puis chez Gallimard jeunesse en 2002 dans la collection Folio Junior. Le roman peut se résumé ainsi : Rodrigue et sa famille rentrent de vacances et s'arrêtent pour pique-niquer, Quelques temps après s'être remis en route Rodrigue se rend compte qu'ils ont oublié le chat,Balthazar, L'histoire commence là, Elle est racontée par un double récit : celui du chat qui va être confronté à la vie sauvage, à ses plaisirs et

C’est le cas dans Le Cid (1637), avec les stances de Rodrigue, ce long monologue montre qu’il s'interroge sur ce dilemme : l'amour ou l'honneur. Il s'agit en outre de Stances : c’est à dire un poème en forme de monologue, forme d'origine italienne, du latin "stare" qui signifie "se tenir debout", "faire une pause". Dans la pièce de théâtre, les stances sont donc utilisées comme pause narrative, comme moment de réflexion pour le personnage. Rodrigue exprime donc tout d’abord son profond désarroi et

verrons dans une dernière partie que la forme est le vocabulaire sont propre à une écriture théâtrale tragique. Dans cette première partie nous pouvons remarquer que ce qui fait de cette pièce une pièce tragique c'est la mise en scène. En effet, Don Rodrigue, le personnage centrale de la pièce est confronté à un dilemme tragique qui oppose l'honneur de son père et l'amour qu'il éprouve pour une femme, on le constate à travers les mots : « Viens, mon fils, viens, mon sang, viens réparer ma honte, Viens

Chapelain : Les Sentiments de l’Académie sur la tragi-comédie du Cid, qui contient un certain nombre d’observations de style. La plus connue fait référence à Chimène, qui n'hésite que très succinctement à défaire la promesse de mariage accordée à Rodrigue, assassin de son père. La promesse étant respectée, les moralistes se trouvèrent choqués de ce manque de bienséance et de vraisemblance. Toutefois, Corneille n’accepte pas ces critiques, puisque la majeure partie de son inspiration relevait de faits

à 963, qui est en fait le moment après le combat entre le compte et Don Sanche. La tâche à accomplir est simple, il faut montrer, à l’aide d’éléments de contenu et de forme, le conflit qui existe entre la raison et la passion entre Chimène et Don Rodrigue. Il sera donc question ici de l’importance de l’honneur dans ce conflit qui vient directement influencer la raison, au détriment de l’amour. Afin de débuter, il faut comprendre de quelle manière l’honneur influence la raison, qui est elle-même